5.1 || chapitre trente-sept

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— JOYEUX ANNIVERSAIRE ! crièrent les personnes présentes dans le salon quand Katsuki entra dans la pièce

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— JOYEUX ANNIVERSAIRE ! crièrent les personnes présentes dans le salon quand Katsuki entra dans la pièce.

Les yeux ronds, il sourit, sentit ses joues chauffer. Il secoua la tête, fixa Kirishima, avec qui il venait de passer l'après-midi dans un café. Celui-ci avait le regard brillant, l'expression heureuse.

— Tu savais ? demanda le plus jeune.

— J'avais le rôle de te distraire pendant qu'ils préparaient tout, lui confia-t-il avant de lui embrasser la tempe.

Katsuki entreprit de lui râler dessus, se jeta plutôt dans les bras de Mitsuki lorsqu'il l'aperçut. Il la serra fort contre lui, enfouit son visage dans le creux de son cou, fondit dans l'étreinte.

— Joyeux anniversaire, mon Kat, murmura-t-elle.

— Merci, répondit-il sur le même ton.

— Déjà seize ans, tu grandis tellement vite.

— C'est pas énorme, ça me laisse encore beaucoup d'années pour rattraper tout ce qu'on n'a pas pu faire ensemble.

— À peine arrivé et déjà avec Mitsuki ! grogna papi ronchon à sa gauche. Une vraie sangsue !

L'adolescent lui tira la langue avec une espièglerie enfantine.

— C'est mon anniversaire, je fais ce que je veux, rétorqua-t-il.

— Ne fais pas comme si tu ne faisais pas déjà ce que tu veux tous les jours de l'année ! s'indigna le grand-père.

— Eh ! Je fais moins d'heures sup' depuis que t'as engagé Kirby !

— Elle travaille mieux que toi, de toute manière.

— Même pas vrai, se vexa le plus jeune.

Puis les deux se sourirent et Katsuki se logea dans les bras tendus de papi ronchon.

L'adolescent réserva le même traitement à Inoue, Inko et Deku, puis à ses pères et ses frères, le cœur gonflé d'une joie simple d'être entouré par ceux qu'il aimait.

Il se tourna ensuite vers dents de requin, lui embrassa la joue avant de lui prendre la main pour le tirer jusqu'à Mitsuki.

— Maman, je te présente Kirishima. Kirishima, ma mère.

L'aîné rougit, se gratta la nuque avant de s'incliner respectueusement.

— Enchanté de vous connaître, madame ! la salua-t-il d'une voix un peu trop forte.

— Inutile d'être aussi formel, s'esclaffa-t-elle. Je suis enchantée aussi de rencontrer celui qui fait enfin battre le cœur de mon fils. Il a toujours été campé sur ses positions, à proclamer qu'il n'aimerait jamais personne et que l'amour ne l'intéressait pas ! Heureuse de voir que tu as pu lui faire changer d'avis, ça veut dire beaucoup !

Et un jour, je vivrai | Katsuki : les origines |Where stories live. Discover now