Fear - Le Deal de la Mort - Tome 1 - en correction

Chapitre 17

La nuit tomber, Élora dort profondément, je peux donc me lever et prendre mon sac pour le remplir de chose essentiels comme des pansements et du désinfectant. C'est la seule chose que je vais emmener avec moi. Enfin aussi à manger et de l'eau, évidement. Sinon je n'ai pas besoin d'autre chose... Peut-être je devrais amener un arme avec moi. Je devrais en prendre un à la café en bas au cas où, mais ça c'est si j'y arrive... Sinon je vais simplement me battre avec mes mains je devrais y arriver non? Je dois retourner à la ville ou j'allais à l'école... avant...ou j'ai vécu la grande parti de mon enfance et de mon adolescence... Lorsque je vais pour partir je m'assure qu'élora soit bel et bien endormis et puis je sors sans bruit. Enfin en essayant de fermer la porte le moins fort possible.

Lorsque je suis hors de la chambre, je regarde pour être sûr de ne pas croiser personne. Aucun surveillant qui travail de nuit. Ils sont là pour s'assurer que tout va bien, que personne décide de se battre ou faire la fête et boire. Tout ça c'est interdit. Enfin c'est sur puisque la majorité par ici ne sont pas encore adulte, dont moi.

Je réussi à descendre les marches sans me faire voir, mais lorsque je tournais le coin je faillis me faire voir, il y avait un surveillant. Rapidement je me recule pour ne pas être vu. Lorsque je ne le vois plus, je me dépêche de passer et de me rendre à l'une des portes qui mènes à l'extérieur. Je suis dehors et le vent froid me frappe en plein visage. Sans le vent, je crois qu'il ferait moins froid. Rapidement, je sens mes joues devenir geler, tout comme mon nez. Je marche vite, car le vent est trop fort et glacer. Il fait aussi très noir, mais j'arrive quand même à bien voir, comme si je regardais à travers des lentilles. C'est un effet de flou et sombre sur le côté de mon champs de vision. J'arrive enfin à une station d'autobus. Je m'accroche sur une branche d'un petit buisson qui m'écorche le mollet. Ma blessure se referme immédiatement. Je regarde mon bras, mais la morsure ne sait toujours pas refermer. Est-ce parce que ce sont des vampires modifier? Peut-être bien... Ce doit forcément être à cause de ça, sinon pourquoi elle resterait ouverte?

Je soupire et pars m'assoir sur le banc. Je regarde l'heure sur mon cellulaire et je sais donc que le bus passe dans 10 minutes. Je peux supporter le froid pour 10 minutes... n'est-ce pas? Je reste sur mon cellulaire en attendant que le temps passent. Je vois enfin le bus arriver au loin. Je saute presque de joie. Je rentre aussitôt dans celui-ci et pars m'installer sur un siège libre. En quelque temps je me réchauffe, mais je dois déjà bientôt débarquer pour prendre le prochain autobus. Celui dans lequel je suis en ce moment va continuer son chemin vers la droite alors que je dois continuer encore tout droit.

Je descends lorsque l'autobus s'arrête et rentre dans l'autre qui est, heureusement, déjà arriver. Le trajet va durer 2 heures, je peux donc dormir. Je ferme les yeux, mais à peine l'ai-je fait que j'entends un homme crier. Mais quel est son problème !? Je réouvre les yeux, me lève et je vois une jeune fille qui s'excuse. L'homme assis continue de chialer malgré les nombreuses excuse de la fille. Je lève les yeux au ciel et m'avance pour aller à côté de la fille. Avant de me mettre à parler je me gratte le cou et baille.

- Qu'est qui s'est passé, je demande à la fille.

- Je l'ai accroché et ça la réveiller, marmonne la fille.

Je ris.

- Vous êtes fâché parce qu'elle vous accroche et que sa vous réveille, mais en quoi ça vous permet de déranger les autres et de les réveiller?

- Elle avait qu'à regarder ou elle allait, blâme là elle!

Je secoue la tête décourager.

- Non, non, non. Vous êtes celui qui cri seulement parce qu'elle vous accroche, mais regardez comment vous êtes assis!

Il marmonna quelque chose dans sa barbe.

- Va t'assoir, dis-je à la fille.

- Merci, dit-elle.

Je lui souris et me retourne pour partir vers mon siège. J'entends l'homme se lever pour me frapper. Non, mais il est fou! Je ne voulais pas me battre pour ça! Je veux juste dormir moi! Je ne regarde même pas derrière, mais j'arrive à arrêter son poing. Je me tourne vers lui tout en lui tournant le bras pour le mettre dans son dos.

- Watch ce que tu fais, dis-je d'un regard sérieux.

- Lâche-moi, dit l'homme.

Je fis un sourire de dégoût et lui cracha sur le côté de la face.

- Tu devrais apprendre à respecter les autres, vieillard.

- Je ne suis pas si vieux, dit-il furieux.

- J'ai tu l'air d'en avoir quelque chose à faire ?!

- ...

- Là tu va t'assoir dans ton siège, arrêter de chialer et rester tranquille. Merci d'avance, dis-je avec un sourire arrogant.

L'homme resta assis et tranquille le reste du trajet. Ou sinon peut-être il est descendu. Le chauffeur me réveillai lorsque que je devais débarquer.

- Merci, dis-je.

Il me souris simplement et repars s'assoir sur son siège.

Il me reste un autobus à prendre et j'arrive à destination...

...

Je viens d'arriver... c'est fou rien à changer ici... Je regarde dans mon sac pour manger quelque chose. Je viens de me rappeler que j'avais oublié le couteau que je voulais prendre... je vais devoir faire sans...

Je mets un pansement autour de mon bras lorsqu'une idée me viens en tête. Je dois aller acheter un briquet. Au dépanneur. Je dois avoir un briquet pour mettre le feu au labo si vraiment je ne peux pas sauver personne.

Je me rends au dépanneur et je prends un briquet, je le met dans mes poches, je vais à moitié le voler. Je me prends des petits sacs de bonbons et je lui laisse le montant pour payer le briquet.

Souvent le mineur ont pas le droit d'acheter des briquets. Les adultes pensent souvent que c'est pour aller fumer de la cigarette ou mettre le feu. C'est rarement pour les fêtes d'anniversaire.

Après quelque pas je suis devant le laboratoire.

À un pas de sauver un grand nombre de surnaturel...