Fear - Le Deal de la Mort - Tome 1 - en correction

Chapitre 13

C'est enfin le lendemain et Monsieur Mersey vient de partir de son bureau et il parlait au téléphone je devrais donc avoir assez de temps. Je me dépêche de briser la caméra. Sans être aperçu. En vrai je ne sais même pas comment j'ai fait. Je rentre rapidement dans le bureau et je vois l'autre caméra se brisé lorsque je la regarde.

Juste de savoir que je peux les brisés juste en les regardants me donne froids dans le dos.

Je me met à fouiller dans les tiroirs pour finalement trouver les registres sur les élèves. Ils sont classés en plusieurs piles de façons alphabétique et du plus récent au moins ressent. Donc le miens devrais se retrouver dans les premiers. J'entends des pas dans le couloir. Je trouve enfin ma copie, mais tous ce que je vois en gros c'est inconnu à côté d'où il est écrit pouvoir.

J'entends quelqu'un jouer avec la poigner de porte. Mon cœur bat si fort que je crains qu'il cesse de battre.

La personne tourne la poigner et la porte s'ouvre. Je sens mon sang bouillir en moi. Je deviens aussi chaude qu'une bouloir. Le visage de Monsieur Mersey apparait.

- Que fais-tu dans mon bureau pendant que je ne suis pas là?

Je tiens dans mes mains la feuille de mes données personnelles incomplète.

- Je...

- Tu sais que tu n'as pas le droit de venir regarder les infos des autres.

Je panique. J'ai si peur que je ne contrôle plus mes mouvements. Je laisse tomber la feuille et une faux apparait dans ma main. Le prof est pétrifié.

- Tu...

Je ne me contrôle plus du tout. Comme si j'étais complétement quelqu'un d'autre. Ce doit être-elle... Mes mains sont moites, mon corps est brulant et ma respiration haletante se faisait de plus en plus bruyante et pénible. Je ferme mes yeux les fermants si fort que je me faisais mal. J'entendu mon prof déglutir puis mollarder. C'est à ce moment là que je réouvre les yeux et je suis traumatisé par ce que je vois. La faux traverse son corps... Je suis vraiment la faucheuse... non...

Il est là devant moi et le sang coule... et coule... se liquide rouge opaque me coule entre les mains. Après avoir repris conscience j'avais posé mes mains sur la plais du prof, mais je panique si fort que ma tête me fait mal. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je reçois un coup sur la tête.

Le noir s'installe partout autour de moi. Tous ce que je vois c'est l'obscurité. Tranquillement, je vois apparaitre quelque chose devant moi. Cette chose à l'aire de volé dans les aires. Soit elle vole, soit c'est quelque chose qui la retiens, mais pourquoi ça serait le cas?

Mais qu'est-ce que c'est?

Je commence à voir plus claire, mais c'est encore sombre. Je vois une corde et je suis sûr d'apercevoir un corps.

C'est comme un souvenir. Un souvenir perdu depuis longtemps.

Mais peut-importe à quel point j'essaye de me rappeler de qui il s'agit je n'y arrive pas.

Dans l'ombre je vois une autre personne. Malgré la triste scène elle n'a pas l'air triste. Elle a même un sourire au lèvre, comme si c'était dans ses plans que cette personne se mette la corde au cou. Des frissons me parcours le dos.

Je plisse les yeux pour voir le visage des personnes, mais je ne vois pas bien. J'ai l'impression de faire un pas devant pour mieux voir. Après plusieurs pas je voit le visage de la personne qui sourit. Une dame assez âgé se tient là et regarde le pendu toute sourire, presque même en riant. Je regarde la victime et son visage me semble si familier.

Mais pourquoi? Pourquoi me dit-il quelque chose? Le visage de la jeune femme qui est devant moi me rappelle quelqu'un, mais à par mes parents adoptif je n'ai jamais vu de tante ou jamais eu de sœur. Ce n'est certainement pas une professeur, pourquoi je me souviendrais d'un visage d'une prof?

Mais alors de qui s'agit-il ?

La dame qui sourit tourne son visage vers moi si rapidement que je fais le saut. Va-t-elle me faire subir la même chose? Lorsque je regarde le plancher je trouve qu'il est beaucoup trop près comme si j'étais redevenu petite. Je regarde mes mains et je crois que je suis rendu une enfant.

Une enfant?

Pourquoi suis-je dans un corps d'enfant ?!

- Qui est là, dit alors la vieille dame.

J'essaye de ne pas faire de son et recule lentement pour pouvoir partir de cette horrible scène de meurtre. Quelque chose tombe et fait un bruit immensément fort. Je sens des palpitations arrivé, mais pas simplement ça. Je sens de la sueur dégouliner de mon petit front d'enfant. Je sens même le dessous de mes bras devenir humide tout comme je sens mon estomacs se nouer. Un mal de tête me traverse et me rends nauséeuse.

Oh non... j'ai la tête qui tourne. Je voit le monde tourné complétement. Dans le peu de chose que je vois autour de moi tout deviens vaguer, tout les objets ondulent comme si je tombe dans un monde qui n'a aucun équilibre.

Je prends un moment pour penser et je remarque que ma vie est vraiment insensée.

J'essaye de respirer tranquillement, mais c'est très difficile. Je n'arrive pas à me calmer... Le visage de la dame me stresse. Malgré ma peur je chercher du regard la porte de sortie. Je garde toujours un regard sur la vieille dame pour être sûr de ne pas me faire découvrir.

J'arrive enfin à voir la porte, mais elle est dans la lumière. Si je passe je vais me faire voir. J'attends que la dame détourne le regards et lorsque c'est fait je cour vers la porte et part. Je ne crois pas avoir été vu, mais je préfère quand même courir au cas où. Je cour dans les corridors et après en avoir fait plusieur je remarque que je suis en fait dans le château. Le même que mes cauchemars passé... Est-ce ma vie passé?

Pendant que je cour, j'accroche une femme habiller comme une servante.

- Miss, miss, dit-elle pendant que je continue de courir, ne courez pas.

Je ne porte pas attention à ce qu'elle me dit et je continue de courir trop effrayer par la scène vu plus tôt. Rapidement j'arrive dans un grand hall.

- Meggen, les invités vont bientôt arriver.

Les invités? Comment vais-je savoir qui est qui? Le stresse en moi monte encore plus.

- Mère, dit alors l'homme qui m'avait parler.

Je me retourne et je vois la dame que j'avais vu dans le noir. Je n'ose même pas regarder le visage de cette femme qui souriait de façons maniaque lorsqu'elle regardait le pendu. Un frisson me parcours le dos.

- Dit bonjour à ta grand-mère, Meggen.

Quoi? Impossible. Ce monstre est ma grand-mère ?! Non...

- Meggen, dit l'homme qui doit être mon père.

- Bonjours grand-mère, dis-je en me forçant à l'appeler ainsi.

Le simple fait de lui dire ça me donne un mal de cœur intense. J'ai presque l'impression que je vais vomir toutes mes tripes. Je respire de plus en plus rapidement. J'ai bientôt l'impression de manquer d'aire. Il faut que je me clame et que je reste loin de cette femme.

Justement elle me regarde avec un aire effrayant. J'envale durement ma salive et même si je ne veux pas la regarder mon regard ne peut pas quitter le sien. Ses yeux noir me fond perdre tout mes moyens. J'ai l'impression de me perdre dans le vide.

J'ai la tête qui se met à tourner, j'essaye de garder mes yeux ouvert, mais quelque chose que je ne saurais décrire ce passe en moi. J'entends tic, tic, tic, puis le son de goutte d'eau qui tombe de façon synchroniser dans une flaque d'eau.

Les deux sons se mélange et l'odeur de l'eau commence à apparaitre. Je commence même à sentir l'eau sur mon visage, mais je n'ai pourtant rien de liquide sur mon visage de petite fille.

Tout-à-coup je me sens recouvert d'eau comme si quelqu'un me tenais en dessous de l'eau. Je sens l'eau dans ma gorge. Je ferme mes yeux tranquillement, car mes paupière sont lourde.

Je replonge dans le noir profond et perd complètement connaissance.