51## Dis moi au revoir

Mulai dari awal
                                    

Ca faisait beaucoup.

Chris : Mon père a juré de le tuer si Tomas rend visite à maman...

Quel homme affreux...
Ca nous fait un point commun. Deux pères qui veulent le contrôle totale de nous.

- Est il en danger ?

Chris : Non. Notre père lui fera rien. L'entreprise de notre père appartient en réalité au père de Tomas qui l'a légué à notre mere avant sa mort, rendant Tomas le véritable héritier légitime. Et ça mon père en a peur. Le jour où Tomas décide de le prouver, mon père est fini. Il ne lui fera rien.

Je souffle de soulagement.

Chris : Il t'aime Sienna...et je ne sais pas ce que tu vas faire, mais sache que dans tous les cas...tu l'as sauvé, de notre père et de lui même.

Son joli visage apparaît lorsque je ferme les yeux.
Que suis je sensé faire ?
Je lui en voulais, de ne pas me l'avoir dit plus tôt. Au dessus de ce mensonge, son amour était sincère, je ne peux pas mentir sur ça. Je le sais. Je l'ai ressenti au plus profond de moi. Il m'aimait autant que je l'aimais et ça, ce n'était pas un mensonge.






















Je ne pouvais pas rester. Toute ma vie j'ai dû vivre à travers cette emprise. Celle de mon père, bien qu'il ne soit pas là, bien qu'il soit invisible, il m'empoisonnait et me faisait mourir à petit feu. De savoir que même l'amitié avec Rémi n'était que le fruit de son contrôle me tuait. J'avais réussi à créer une très forte amitié avec ce dernier mais elle m'avait pas été initié naturellement.
Je me suis toujours sentie comme si j'étais son éternelle marionnette. Ce mal être incessant, venait de celle que j'avais réussi à devenir par sa faute. La peur de l'abandon constante, des amitiés et connaissances qui m'avait été forcée. Il avait empoisonné ma vie, détruit des amitiés. J'avais perdu Amber, et Cécile qui malgré moi avait décidé que la manière dont elle avait agit n'était pas digne d'une meilleure amie. Rémi était rongé par les propres mensonges qu'il devait constamment raconter à Cadi, leur coutant leur magnifique relation.

Il avait finit par lui avouer. Cette dernière lui avait pardonné. Ce qu'ils avaient d'après elle était bien plus fort que de mauvais intentions influencées par de mauvaises personnes. Elle le connaissait elle m'avait dit.

Et ça m'avait anéanti. De savoir qu'au fond de moi, j'étais capable de pardonner Tomas. Mon cœur le voulait, il n'attendait que ça, mais ma raison était traumatisée. Son frère m'avait tout dit. Et je lui ai demandé de faire passer un message à son petit frère, je lui ai demandé de lui dire que je partais. Loin. Et que mon cœur était d'accord de l'emmener avec moi.

Cette dernière partie je ne lui avait pas dit de lui communiquer. Non...j'allais le faire moi-même.
Me voilà devant sa porte, après avoir sonné il y a quelques secondes.

Quand il a ouvert la porte, mon monde s'est arrêté.
Ses yeux gris pris de surprise m'admirait comme ils avaient toujours eu l'habitude de le faire.
Moi aussi je le connais. Tomas Lacoste.

Pas le petit garçon blessé cette fois ci. Non, l'homme qui se tenait devant moi, le crâne maintenant fraîchement rasé entièrement. Ce nez droit, cette bouche pleine et rose, ses trois petits grains de beauté appelant à ce que je vienne les toucher, ses sourcils broussailleux à caractère, cette gueule d'ange. L'Apollon, aux blagues nulles, aux airs fiers, et au regard doux, au caractère trempé, impulsif et insolent.
Je le connais, Tomas Lacoste.
Et je veux lui dire à travers mon regard, que mon cœur est prêt à l'emmener avec moi.

On se comprends sans échanger un mot, et on ne perd pas de temps. Ma bouche se retrouve sur la sienne. C'est un au revoir. Il me serre dans ses bras si fort que mon souffle se coupe. Je n'ai pas besoin de lui exprimer à quel point j'ai mal. À quel point je lui en veux. Je n'ai pas besoin de lui dire, qu'il ne viendra pas avec moi. La a ce moment précis nos corps se contente de se mouver l'un contre l'autre.

Il retire mon manteau, mon corps plaqué contre la porte sous le sien. Ses yeux brulent ma peau, et nos respirations se bousculent. Et nos bouches se retrouvent à nouveau, sa langue invitant la mienne.

On se retrouve la minute d'après dans sa chambre sans se quitter. Arrivés devant son lit, on se détache l'un de l'autre rattrapant notre souffle. Les yeux dans les yeux, je retire son t shirt avec hâte tandis que ses mains parcourent mon corps. Sa bouche vient trouver la naissance de mon cou, qu'il vient aimer d'une grand expertise. Je suis prise de frissons, appréciant l'attention. Son torse a découvert, ses mains viennent retirer mon haut me dévoilant à lui.

Nos peaux brûlent à présent en harmonie. Ses mains sur ma taille, elles se baissent pour atteindre le bouton de mon jeans, je les repousse retirant moi même mon bas. Ses yeux ne loupent aucun details de mon corps, alors qu'il se précipite pour ôter son jeans également. Mon cœur tambourine dans ma poitrine alors que mes mains cherchent sa chaleur. Après s'être manquées nos lèvres se retrouvent une nouvelle fois pour ne plus se quitter.

Son corps près du mien, je ne voulais plus jamais quitter ses côtés. Je m'y sentais trop bien.
Je n'avais pas peur. Près de lui je n'avais jamais peur. Depuis mon agression, je n'avais eu aucune relation intime avec personne. C'était ma toute première et j'étais considérée comme la première merveille du monde dans ses bras et entre ses mains. Il me touchait avec douceur et parfois avec maladresse. Ses yeux étaient affolés essayant de me communiquer une multitude de choses à la fois. Il avait peur de me laisser partir. Il avait peur que cet instant se termine. Il voulait que tout se passe en même temps, profitant de tous les instants qui nous avaient été volés. Ma respiration se perd dans la sienne tandis que son corps trouve le mien. Je le serre contre moi davantage, ses yeux dans les miens. Le visage concentré, son œil laisse échapper une larme, que j'accueille sur sa joue. J'ai envie de lui dire un millier de choses alors mes larmes s'échappent à mon tour. J'étais folle de lui.

F l a s h b a c k

[La folie. Il me rendait folle et j'adorais perdre la raison seulement si il en était responsable. Comment j'ai pu vivre sans lui ? Quel était le but et le sens de ma vie avant lui ?
Tomas Lacoste je te veux, tout entier pour moi. Pour que tu me rende aussi folle que je ne le suis déjà, aussi brisée et aussi malade, parce qu'aujourd'hui, je ne doute plus. Dans tes yeux je n'ai plus peur, de la pensée de qui que ce soit. Si mon frère m'aime vraiment il comprendra à quel point je suis attaché à toi. Aimer est un trop grand mot, un trop grand risque, l'utiliser sans en savoir le sens serait futile de ma part. Laisse moi le temps, de te detester un peu plus, de t'aimer, de te chérir avant de te confesser ses mots trop sérieux pour nous.
Ca y est, je sais maintenant, Je te veux Tomas Lacoste, pour toujours et à jamais.

- Pour toujours et à jamais...

Tomas : Pour toujours et à jamais. ]
(Réf. Chap 36)


Tomas : Je t'aime, il me murmure à l'oreille dépassé par la passion

- Je t'aime...je murmure dans la sienne, pour toujours et à jamais








[☝🏾]

Yo !

Je suis littéralement en pleur mdrrr il me reste un chapitre à vous poster💞 Est ce que Siemas finit ensemble bordel ?🤧

Il suffit d'attendre le chapitre de demain les loves !
En attendant je veux tout savoir ! Qu'avez vous pensé de ces quatre derniers chapitres ?
Commntez et dites moi tout !!!

Love love love

𝐄𝐈𝐆𝐇𝐓𝐄𝐄𝐍. (Correction)Tempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang