EPISODE 6

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DANIEL LEONELLI

On a passé une bonne soirée ensemble, mais j'ai du allé plutôt de chez elle pour une affaire importante avec son père. Je me suis habillé de façon présentable.

Zack: Qu'est-ce que tu vas faire ?

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Zack: Qu'est-ce que tu vas faire ?

Xerces: On le tue ?

Je souris en jouant avec ma bague. Je leur jette un regard et ils froncent les sourcils.

Xerces: Tu-tu-tu vas le tuer ? Ditil avec un sourire.

Thomas: Daniel ?

Moi: J'ai juré de tuer toute personne mêlée à l'assassinat de mon père. Il n'y aura aucune exception. Dis-je froidement.

Thomas n'en revenait pas.

Thomas: T-t-t-tu sais que c'est le père de Brooklyn Kazennof, Daniel. Ta femme.

Je lui jette un regard.

Moi: Et alors ? Je ne ferais jamais d'exception...si vraiment il était mêlé à tout ce ceci. Je le tuerai...Et Brooklyn pourra ressentir la haine et la tristesse que j'ai ressentis. Dis-je en regardant le dossier que ma tendu Zack.

Xerces: J'aime ce côté fou de toi chef. Dit-il avec un sourire.

Zack: c'est moi qui le tuerai tu n'as pas à salir tes mains chef.

Je ne les regarde pas mais je lève mon doigts et le secoue de façon technique.

Moi: No. C'est moi qui s'en occupera.

Thomas: Eh on est sur de rien. On va pas se précipiter comme ça, on a aucune preuve ! Juste une source de Zack on sait même pas si-

Zack: C'est vrai. Mais pourquoi Mr. Kazennof n'a pas prévenu la chef pendant ces deux mois de silence ?

La voiture se gare devant le domaine du père de Brooklyn. Des hommes partout autour de la maison.

Un de mes hommes m'ouvre la portière. Je descends avec Zack et Xerces. Des russes voulait nous fouiller mais mes hommes se mettent entre nous.

Je lève ma main. L'assistant de Vladimir Kazennof se précipite vers nous et fais signe a leurs hommes de baisser leurs armes et nous laisser passer.

Je rentre dans le domaine après avoir saluer l'assistant d'un hochement de tête. J'ordonne aux autre de m'attendre dehors.
L'assistant russe m'ouvre la grande porte du salon de Vladimir. Je rentre et retrouve le quadragénaire assis comme m'attendant.

Moi: Tu t'attendais sûrement à une visite de ma part.

Vladimir: Des que tu as mis les pieds sur le sol russe. J'ai été mis au courant.  Dit-il en me versant un verre.

Je viens m'installer en face de lui.

Vladimir: Ni un câlin ni un « bonjour beau père » ? Dit-il en allumant son cigare.

LEONELLIOnde as histórias ganham vida. Descobre agora