VINGT-SIX

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𝙰𝚂𝚃𝚁𝙸𝙳 𝙷𝙾𝙲𝙺

Benjamin - Allez Hock, on est presque arrivés

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Benjamin - Allez Hock, on est presque arrivés.

Je levais mon index vers Ben pour lui faire signe de me laisser prendre mon temps et soufflais longuement avant de reprendre ma course jusqu'à lui. Il me regardait venir à lui et alors que j'allais lui dire que j'étais exténuée par ce footing matinal, il passait ses bras sous mon dos et mes jambes pour me basculer à l'horizontal. Mes pieds décollaient du sol et je m'agrippais en moins de deux à son cou en sursautant.

- T'es tout transpirant. rigolais-je en embrassant sa joue alors qu'il souriait.

Benjamin - Parce que moi je cours vraiment mademoiselle.

- C'est toi aussi tu m'as forcé à venir, je t'avais prévenu que j'allais plus te ralentir qu'autre chose.

Benjamin - Tu rentres demain, je veux au moins passer nos dernières minutes ensemble.

- T'étais pas obligé de me rappeler ça. soupirais-je en laissant ma tête tomber en arrière dans le vide.

Benjamin - Joues pas la drama queen. rigolait-il avant de se pencher vers mon cou pour le chatouiller avec ses lèvres, me faisant me tordre de partout.

- Arrêtes ! réussissais-je à articuler. Fais plutôt attention à ne pas me faire tomber.

Benjamin - Je suis en train de marcher, y a pas de raison que tu glisses bébé.

Je souriais avant d'enrouler mes bras autour de son cou et de le laisser me ramener chez lui. Camille était rentrée à sa maison hier avec les deux nouveaux joueurs comme n'arrêtait pas de le répéter Lucas et on en avait profité avec Benjamin pour retourner chez lui le reste de mon séjour. Sa douche était largement plus confortable que la mienne, sans tabou.

Benjamin - Et voilà madame la princesse. il me lâchait sur le canapé avant d'aller dans la cuisine pour se servir à boire. Tu veux du jus d'orange ?! me demandait-il depuis l'autre coté de la pièce.

- Oui s'il te plaît ! lui répondis-je avant de m'asseoir comme il faut pour enlever mes chaussures, mes pieds me faisaient un mal de chien. Je suis bonne à m'acheter de nouvelles chaussures. soupirais-je en m'avachissant sur le dossier du canapé.

Benjamin - Tes baskets sont trop petites ? me questionnait-il en revenant avant de me tendre un verre et il s'asseyait à mes côtés.

- Ouais, je vais avoir des cloques et des ampoules j'en suis sûre.

Benjamin - J'ai ce qu'il te faut en haut, une grande pharmacie de footballeur.

- Je doute pas, vu comment tu simules sur le terrain.

𝘵𝘩𝘦 𝘵𝘸𝘰 𝘰𝘧 𝘶𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant