Kidnappée par ... [TERMINÉ]

> Chapitre 43 <

Moi : tu racontes n'importe quoi. je me lève mais il me prend le bras

Naïl : ah oui ? et là il me plaque contre lui et il m'embrasse, je répond à son baisé mais quand je réalise ce que je suis en train de faire je le repousse

Moi : pourquoi ?

Naïl : parce que je t'aime.

Moi : qu quoi tu m'aimes ?

Naïl : oui je t'aime, je ne te l'ai jamais dit mais tu es la personne qui compte le plus à mes yeux, malheureusement je m'en suis rendu compte trop tard, quand tu m'as quitté, alors c'est vrai je ne suis pas le meilleur copain du monde mais si tu n'éprouve rien pour moi dit le moi clairement.

Moi : wouah, j'ai du mal à réaliser ce que tu viens de dire.

Naïl : figure toi que moi aussi mais j'attends ta réponse qu'elle soit positive ou négative.

Je le regarde dans les yeux, je rapproche mon visage de lui, nos lèvres ne sont plus qu'à quelques centimètres et je l'embrasse, il répond à mon baisé.

Naïl : ça veut dire oui ?

Moi : oui.

Naïl : j'ai réussi à casser de cœur de pierre qui était en toi.

Moi : on peux dire ça mdr.

Naïl : ça c'est parce que je suis l'homme le plus fort du monde.

Moi : les rêves c'est la nuit. je lui balance une boule de neige

Naïl : tu ferais mieux de courir.

Il commence à faire une grosse boule de neige alors je décide de suivre son conseil et de fuir.

Il me court après et il me lance la grosse boule de neige qu'il a fait dans le dos et je tombe au sol à cause de la force.

Naïl : mdr tu es tombée comme une merde.

Moi : c'est pas drôle, c'était pas de la neige mais un bloc de glace ton truc.

Naïl : non juste avoue que je suis le plus fort.

Moi : tu peux toujours rêver, il commence à m'écraser et à me faire manger de la neige pour rigoler, mdr arrête.

Naïl : d'accord mais d'abord prête moi ton téléphone.

Moi : si tu veux rien. je lui passe

Naïl : merci. il fait je ne sais quoi avec et il me le rend

Moi : qu'est ce que tu as fais ?

Naïl : j'ai pris une petite photo et je l'ai postée sur Instagram. je regarde la photo

Moi : tu es relou en plus je suis moche dessus.

Naïl : non tu es la plus belle et interdiction je la supprimer.

Moi : maintenant j'ai froid.

Naïl : en même temps tu es allongée dans la neige.

Moi : la faute à qui.

Naïl : je ne vois pas de quoi tu parles.

Moi : bon moi je veux rentrer alors pousse toi.

Naïl : d'abord un bisous. je lui fait un smack, eh.

Moi : tu n'as pas présisé maintenant lève toi, il se lève, merci.

Je rentre au chalet, les autres sont déjà rentré.

Alicia : tu étais où ?

Moi : j'étais dehors derrière le chalet.

Alicia : et Naïl il est où ?

Naïl : ça parle de moi ici.

Alicia : tu étais où ?

Naïl : avec Hayden dehors.

Moussa : Hayden regarde ce qu'on a acheté. il sort un paquet de chamalow.

Moi : oh c'est trop bon.

Lexa : surtout quand c'est grié au feu de bois.

Noémie : tellement.

Moi : bon moi je vais me changer car je suis trampée. je regarde Naïl mal mdr

Naïl : mdr je tien à préciser que j'y suis pour rien.

Moussa : j'ai du mal à te croire.

Naïl : j'avoue c'est ma faute mais tu aurais vu comment elle est à tombé mdr.

Moi : c'était un bloc de glace que tu m'as lancé.

Naïl : arrête de chercher des excuses.

Je souffle et je monte dans ma chambre pour me changer.

Je range mes affaires quand je tombe sur le colier que Naïl m'avais offert, je souris bêtement.

Naïl : je savais que tu l'avais toujours. je sursaute

Moi : tu m'as fait peur.

Naïl : je savais pas que j'étais effrayant.

Moi : mdr.

Naïl : je vais tout arrêter.

Moi : arrêter quoi ?

Naïl : je vais faire comme toi, je vais arrêter le biz et me poser pour pouvoir fonder une famille avec la femme de ma vie.

Moi : très bon choix.

Naïl : j'ai toujours raison madame ****(nom de famille de Naïl).

Moi : va pas trop vite.

Naïl : je trouve que ça sonne bien. il me fait des bisous dans le cou

Moi : on l'annonce quand au autres.

Naïl : quand tu veux.

Moi : on a le temps.

Naïl : oui surtout que on avait une relation spéciale, les personnes dans la rue nous prenais pour un couple.

Moi : c'est vrai on était pas des amies ordinaire mdr.

Naïl : en même temps on a jamais été normal.

Moi : ça c'est sûr.