> Chapitre 37 <

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Point de vue de Hayden :

Je me dirige vers le canapé ou ils étaient cachés. Les trois hommes sont mort au sol, Soan est allongé au sol les yeux ouvert.

Soan : *voix faible tu m'as pas eu salo... *pan

Je lui est tiré une balle entre les deux yeux. Tout le monde me regarde.

Moi : quoi ! Je ne suis pas une salope !

Nino : il était encore vivant ?

Moi : plus maintenant.

Nino : je pense que ton chef sera fière de toi.

On rentre à la villa, les hommes de Naïl s'occupe de brûler les corps.

Le trajet ce fait dans un silence de plomb.

Alicia : Hayden ! Elle me saute au cou sauf que je m'écroule au sol avec elle

Moi : aïe.

Alicia : désolé.

Moi : t'inquiète.

Moussa : et nous on compte pour du beurre ?

Hayden : oh les jaloux mdr.

Moussa : il me tire la langue c'est qui qui est au sol ? Je lui tire la langue de vrai gamin mdr

Alicia : c'est ton sang ?

Moi : non.

Naïl : j'ai appelé Tiago (médecin personnel), il arrive dans 15 minutes.

Alicia : pourquoi ?

Moussa : parce que ta pote à eu la merveilleuse idée de lancer une grenade sur nos ennemis mais la petite était trop prêt et elle s'est prise l'explosion en pleine gueule.

Moi : au moin ça a marché.

Naïl : il en restait un.

Moi : mais il était dans un état misérable.

Moussa : comme ta gueule mdr.

Moi : mé euh.

Alicia : tu es recouverte de sang et de poussière.

Moi : on s'en fiche le principal c'est qu'ils sont mort.

Alicia : il est mort comment le dernier ?

Moi : une balle entre les deux yeux, en plus je suis trop fière de moi j'ai bien visé au milieu.

Moussa : moi je dis que tu es une psychopathe meuf.

Moi : quoi, ça ne vous arrive pas d'être fière d'avoir bien visé ou tranché parfaitement la gorge du gars qui veut te poignarder ? Bon OK j'avoue que tu n'as pas totalement tord.

Naïl : c'est vrai que c'est satisfaisant quand la balle est pile au milieu mais toi tu kiffes utiliser le couteau.

Moi : merci enfin quelqu'un qui me comprend.

Nino : par contre je ne sais pas comment ça se fait que tu soit toujours en vie alors que quatre gars te tiraient dessus.

Moi : gilet par balle mon gars !, sinon je pense que je serais morte depuis un moment.

Je me lève mais ma jambe me fais mal, j'ai la tête qui tourne et je vois tout flou puis trou noir.

Je sens que l'on me fait des papouilles dans les cheveux, j'ouvre les yeux et je vois Yilian assis à côté de moi sur le lit.

Yilian : coucou toi.

Moi : salut.

Yilian : je vais prévenir les autres que tu es réveillée.

Moi : ok

Il sort et il revient avec Alicia, Tiago et Naïl.

Tiago : comment tu te sens ?

Moi : j'ai mal à la jambe.

Tiago : c'est normal l'anesthésie ne fait plus effet.

Moi : vous m'avez enlevé la balle ? Qu'est ce qu'il sait passé ?

Naïl : oui avec Nino on a mis un anesthésiant dans la bouteille que l'on t'avais donné dans la voiture pour que tu t'endorme.

Moi : vous pouviez tour simplement pas me demander de le prendre ?

Naïl : c'est vrai que ça aurait été plus simple.

Tiago : tu ne dois pas bouger pendant 2 semaines.

Moi : roh.

Alicia : arrête de râler.

Moi : j'avais plein de chose à faire.

Yilian : rectification tu n'avais rien à faire.

Moi : ta geule toi.

Tiago : bon je vais vous laisser, Hayden repose toi bien et tu devras prendre des antibiotiques 2 fois par jour pour calmer la douleur.

Moi : d'accord et merci. Il part

Alicia : tu ne bouge pas.

Moi : mais...

Alicia : il n'y a pas de mais.

Moi : *souffle

Naïl : vous pouvez nous laisser que tout les deux.

Alicia : ok. Yilian et Alicia sortent je me retrouve seule avec Naïl, il s'allonge à côté de moi sur le lit et il regarde le plafond

Naïl : jolie t-shirt Je porte un t-shirt trop grand pour moi

Moi : laisse moi deviner il est à toi ?

Naïl : bonne réponse.

Moi : comment tu te sens ?

Il tourne la tête vers moi en froncent les sourcils.

Moi : par rapport à ce qui c'est passé tout à l'heure.

Naïl : en vrai plutôt bien et toi ?

Moi : je ne sais pas quoi en penser, je viens de tuer mon père, un "ami" et une dizaine d'hommes sans aucune pitié.

Naïl : je pense que tu as pu te libérer.

Moi : oui mais pas autant que je le voudrais.

Naïl : laisse toi du temps.

Moi : hum. il pose sa tête sur mon ventre, vas-y te gêne pas.

Naïl : je te signale que l'on est dans ma chambre.

Moi : et pourquoi on est dans ta chambre ?

Naïl : comme ça c'est moi qui décide si tu peux partir.

Moi : la vraie raison.

Naïl : bon ok, je vais te poser une question et je veux que tu me réponde sincèrement.

Moi : ça dépend ce que c'est.

Naïl : ...

Kidnappée par ... [TERMINÉ]Donde viven las historias. Descúbrelo ahora