Kidnappée par ... [TERMINÉ]

> Chapitre 11 <

Je vois un homme habillé en noir qui pointe une arme sur moi.

Homme : salut ma belle il se rapproche de moi, je recule jusqu'à être bloqué par le mur, je sors l'arme que Naïl m'a donné mais il rigole et me chuchote à l'oreille fait de beau rêve, il sort de sa poche une seringue et me la plante dans le coup.

Moi : connard ! Je prend le flingue de Naïl et lui tire dans la cuisse.

Homme : SALOPE ! tu vas le regretter.

Il essaie de me frapper mais je me défend comme ont m'a appris c'est à dire esquiver les coups et donner des coups de genoux dans le ventre mais je me sens de plus en plus faible et je m'écroule au sol puis trou noir.

Point de vue de Naïl :

J'étais en train de me battre avec mes hommes quand d'un coup ils se replient tous et partent. Je décide d'aller voir Hayden mais quand j'arrive devant ma chambre je vois la porte au sol et Hayden n'est plus là, je pète un plomb.

Moi : RÉUNION GÉNÉRALE ! Tout le monde est réuni dans le salon, alors nous avons un gros problème Hayden n'est plus là.

Moussa : QUOI ! Tu rigole j'espère.

Moi : malheureusement je suis sérieux,.

Je leur explique le plan pour commencer les recherches.

J'ai oublié de préciser Alicia était parti voir notre mère donc elle est au courrant de rien.

Point de vue de Hayden :

Je me réveille attaché à une chaise, génial ça recommence. Je vois qu'il y a une caméra de surveillance et un homme avec une cagoule arrive.

Homme : bien dormi ? Il rigole

Moi : détache moi !

Homme : non et tu vas souffrir comme j'ai souffert.

Moi : euh tu es qui ?

Homme : je suis ton père.

Moi : mdr on est pas dans Star Wars.

Homme : tu ne me reconnais pas ? Il enlève sa cagoule

Moi : c'est impossible tu ne peux pas...

Homme : et si ma fille, tu vas souffrir. il rigole et me frappe en même temps

Moi : un père ne ferait jamais ça à sa fille !

Et oui c'est Samuel mon père qui nous a abandonnés.

Mon père : tu parles trop !

Il arrête de me frapper et me met on foulard sur la bouche puis part, je m'endors d'épuisement.

On passe 2 jours, je suis toujours dans cette cave attaché à cette chaise, je n'ai rien manger depuis que je suis là, je suis recouverte d'hématomes et de sang car mon " père " se lâche sur moi, il utilise ses mains, point américain, couteau... mais le pire c'est la torture psychologique qu'il utilise en me parlant de mon passé.

En parlant du loup il arrive avec un couteau dans la main.

Mon père : tu reconnais ce couteau ? C'est celui que tu as utilisé pour te couper les veines. Il rigole toujours c'est relou, bien-sûr que je l'ai reconnu, les larmes commence à couler et si on s'amusait un peu.

Moi : non.

Mon père : si, tu n'as pas le choix mdr. Il passe le couteau sur ma peau et fait des petites entailles

Moi : arrête !

Mon père : NON !

Moi : pourquoi tu fais ça ?

Mon père : tu as gâché ma vie, tu n'étais pas désiré, ta mère est tombé enceinte de toi par accident, tu es une erreur, tu aurais pu être un gars mais non il fallait que tu sois une fille.

Moi : en quoi ça dérange que je sois une fille ?

Mon père : une femme c'est bon à faire que le ménage et la cuisine, être au service de son mari, porter des robes et ne pas contredire un homme mais toi il fallait que tu sois tout le contraire, sérieusement pompier, tu fais un métier d'homme ma fille, tu n'es pas féminine regarde toi, j'étais encore en uniforme tu n'as jamais été en couple ma belle, j'ai toujours souhaité que tu te fasses violer mais non tu es toujours vierge ! Il me plante le couteau dans la cuisse

Moi : AH, CONNARD ! tu ne sais pa...

Mon père : FERME LÀ ! il prend une bouteille d'alcool et me la verse dessus, sa pique et ça brûle sur mes plaies sachant que il y en a beaucoup. Il continue d'en rajouter, j'essai de ne pas montrer la douleur mais au bout d'un moment je n'en peux plus.

Moi : HAAAAAAA ARRÊTE ! Je crie tellement fort que je n'ai plus de voix.

Il rigole, au bout de je ne sais pas combien de temps de torture il part. Je pleure comme pas possible, je veux que tout soit fini, je veux mourir.

Le lendemin matin mon père arrive le grand sourir au lèvre.

Mon père : aujourd'hui est un grand jour !

Moi : tu vas me tuer génial je dis ça d'un ton ironique même si en ce moment je voudrais bien crevée

Mon père : pas encore d'abord tu vas perdre ta virginité.

Moi : QUOI ! NON !

Mon père : si et je vais avoir l'honneur d'y assister.

Moi : plutôt crevé.

Moi père : ne t'inquiète pas je vais te tuer dans peu de temps, Et il rigole encore HUGO !

Le Hugo en question arrive.

Hugo : je suis prêt.

Mon père : je t'en prie fais la souffrir comme jamais.

Hugo : ne vous inquiétez pas pour ça mdr.

Il me détache mais je tombe au sol car je n'est plus de force, il commence à me déshabiller, je me débats mais il a trop de force et quand je cris il me frappe, il est en caleçon et moi en sous vêtement, il me fait des bisous partout ça me dégoute, je pleure comme pas possible quand soudain j'entend un coup de feu.