Imagines TBS [COMMANDES FERMÉES]

Commande Thomas Brodie-Sangster

Voici la commande de lea___532. Le personnage principal de cet imagine s'appelle Léa. Bonne lecture !

J'avais toujours rêvé de visiter Paris. C'était comme un objectif que je m'étais fixé : si je visitais Paris, je pourrais tout visiter après. Alors le jour où Thomas m'avait offert ce billet d'avion, j'avais été la fille la plus heureuse du monde. Bien entendu, mon ami savait parfaitement que je souhaitais absolument aller là-bas, ce n'est pas pour rien que c'est à moi qu'il avait proposé de l'accompagner pour l'avant première du Remède Mortel, à Paris. J'avais donc immédiatement accepté et, bien qu'il me restait une semaine à patienter, ma valise avait été prête le soir même.

-Impatiente ? me souffla-t-il en souriant une fois que nous fûmes dans l'avion.

-Et comment ! Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse d'y aller, je ne sais pas comment te remercier Thommy ; c'est trop !

-Mais non, ça me fait plaisir. En plus, je n'ai rien dû payer et j'avais le droit à un accompagnant, alors tu ne me dois rien. Cesse donc de t'en faire.

-Tout de même, tu réalises mon rêve, comment veux-tu que je ne me sente pas redevable ?

-Tu sais quoi ? Je veux bien que tu fasses quelque chose pour moi en arrivant à Paris. Après ça, tu ne me devras plus rien.

-Je t'écoute.

-Profite. Vis l'expérience à fond, fais-toi plaisir et c'est tout.

Il me lança un petit clin d'œil qui me fit rougir et ferma les yeux, près à s'endormir pour le voyage. Je profitai de ce moment en solitaire pour réfléchir à mes sentiments pour mon ami. C'était indéniablement plus que de l'amitié, je ne pouvais le cacher. On pouvait le voir rien qu'à la façon dont je rougissais dès qu'il me regardait ou à la manière dont mes yeux pétillaient lorsque je parlais de lui.

Mais... et lui ? Qu'en était-il de ses sentiments envers moi ? Il n'était probablement par intéressé le moins du monde, mais l'espoir était toujours bon à prendre, non ?

***

-Léa, réveille-toi, on est arrivés.

La voix de Thomas, comme une délicieuse mélodie, me réveilla de la plus belle des façons. Je papillonnai des yeux afin de croiser ses iris sombres. Il souriait légèrement. Son index pointa le hublot à côté de moi afin que je regarde le paysage qui s'offrait à moi. Nous étions toujours dans les airs, et je pouvais voir la Tour Eiffel ainsi que tout ce qui l'entourait : les maisons, les paysages,... La France.

Face à mon émerveillement, Thomas ne pût s'empêcher de sourire niaisement.

-Alors ? C'est aussi beau que ce que tu t'étais imaginé ?

-Oh Thomas, c'est... C'est merveilleux ! Je... Oh mon Dieu, je suis si heureuse !

Je me jetai sur lui pour lui faire l'étreinte la plus reconnaissante que je n'avais jamais faite. Je le sentis sourire d'autant plus et mes joues prirent une teinte écarlate qu'il ne pût apercevoir. Cependant, à cause de la position inconfortable de l'accoudoir, nous dûmes nous séparer. La mine réjouie, Thomas souriait toujours. Les hôtesses de l'air nous indiquèrent qu'il était temps de nous attacher pour atterrir, ce que nous fûmes avec des gestes impatients. Malgré le fait que ce n'était pas la première fois que mon ami venait ici, il n'en avait pas moins hâte d'arriver, ce que je pouvais parfaitement comprendre.

-La ville lumière, murmurai-je rêveusement.

Le blondinet à côté de moi me prit la main qu'il étreignit chaleureusement, sachant pertinemment qu'il réalisait mon plus grand rêve en me demandant de l'accompagner. Je posai ma tête sur son épaule sans cesser de regarder le paysage à travers le hublot.

-Merci Thomas.

***

-Oh Thomas, regarde ! C'est l'avenue des Champs-Élysées !

Le regard pétillant, ma main toujours enlacée avec celle du garçon avec moi, je poussais des exclamations émerveillées à chaque coin de rue.

-C'est si beau...

Je m'arrêtai un instant, le temps de regarder attentivement autour de moi. Je voulais garder chaque millimètre parcouru gravé dans mon esprit, tel une preuve intemporelle de ce merveilleux voyage. Je sentis soudain la main de Thomas exercer une douce pression sur la mienne.

-Viens, je t'emmène quelque part.

J'acquiesçai, curieuse de voir ce qu'il avait à me montrer. Nous traversâmes quelques ruelles, jusqu'à arriver à un appartement dont le mur latéral possédait un escaliers en fer, comme ceux que l'on voit à New York. Mon ami m'invata à y monter, ce que je fis avec empressement.

Une fois tout en haut - ce qui nous prit un bout de temps quand même, mine de rien ! - j'eus la merveilleuse surprise de me retrouver sur le toit d'un appartement de Paris, nous dévoilant ainsi la célèbre ville sous son plus beau jour, baignée de soleil et d'activité.

-Wahou...

Je m'avançai lentement, subjugué par le magnifique décors devant moi. Je sentis Thomas s'approcher à son tour, saisissant ma main par la même occasion. Je me tournai ensuite vers lui, des étoiles dans les yeux.

-Thomas, c'est... Magique.

-Je voulais que tu puisses voir Paris dans son ensemble. Cet endroit était parfait pour l'occasion.

Je m'avançai vers lui, le cœur battant à tout rompre, et le pris dans mes bras. Il me rendis mon étreinte tout en enfouissant son nez au creux de mon cou afin d'inspirer une grande bouffée de mon parfum. Mes cheveux bruns voletaient légèrement au gré du vent.

-Je ne sais pas comment te remercier Thomas. Tout ce que tu fais pour moi c'est... Si merveilleux.

-Je te l'ai dis : je veux juste que tu profites.

-N'empêche, tu en fais tellement pour moi. J'ai l'impression d'être le jour de Noël.

-Je t'aime tellement que ce n'est rien comparé à ce que je voudrais t'offrir.

Je relevai vivement la tête et nos regards se croisent. Que voulait-il dire ? Je n'eus pas le temps de m'attarder plus longtemps sur la question car Thomas m'embrassa timidement, provoquant en moi une multitude de papillons dans le ventre. Je lui rendis son baiser avec douceur et tendresse, plus amoureuse que je ne l'ai jamais été. Au bout de quelques instants, nous nous détachâmes, les yeux perdus dans ceux de l'autre.

-Je t'aime Léa. Et ce, depuis des années. Seulement, je n'ai jamais eu le courage de te l'avouer avant.

-Moi aussi je t'aime Thomas. Ce n'est pas Paris mon rêve ; c'est y aller avec toi qui est merveilleux.

Sur ces derniers mots, j'unis à nouveau nos lèvres pour une déclaration d'amour sincère, sur un des toits de la ville lumière, qui ne m'a jamais parue aussi belle.

***

Et voilà lea___532, j'espère que cet imagine t'a plus. Si pas, n'hésite surtout pas à me le signaler ;)

Bisous à tous ! ❤