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Billy

Retour dans le présent:

Maintenant ça fait trois semaines.

Et rien n'a changer.

Nous sommes le 16 janvier et le bébé aura bientôt 1 mois dans 10 semaines et ce connard de Kazey ne veux toujours pas le voir.

Ce petit est son fils et il veut rien savoir de lui alors que ce n'est sa faute. Non seulement il commence à avoir marre de ma présence puisque je suis le seul à m'occuper de lui. Bon, il y a Harvine aussi mais il est occupé au local informatique depuis la découverte et Hylarie...ne parlons pas d'elle, elle ne l'a vue qu'une fois et est repartie comme d'habitude.

Il n'a pas de nom en plus de ça.

Je le regarde bouger tout seul ses petites mains dans tout les sensés ce qui le rend encore plus beau. Je pose mon index sur son tout petit ventre et le chatouille et il me donne le plus des minis vague sourire. Le même que son père. Son regard croise le mien et j'admire ses yeux magnifique.

- Tu sais que tu as de beau yeux toi? Dit je en caressant sa joue.

Il me répond en faisant des gazouillis avec sa bouche.

Je lâche un petit rire comme réponse.

*************

Deux jours plus tard

Je n'en peux plus il faut que je lui dise.

Cette avec une grande inspiration que je me dirige dans le bureau de Kazey. Il est plongé dans sa lecture et ne daigne même pas à lever les yeux vers moi.

- Il faut qu'ont parlent.

- Il faut toujours parler avec toi. Mais vas-y je t'en pris exprime toi. Dit-il en tournant la page de son livre.

- Je dois te montrer quelque chose.

Il m'ignore toujours.

- C'est assez urgent.

Il lève enfin ses yeux vers moi et retire ses lunettes de lecture en se tenant le haut du nez en soufflant. Il se redresse sans dire un mot et me faisait signe de lui montrer le chemin. Nous sortons de son bureau en silence puis je me dirige vers la sortie.

- Pourquoi ont n'est sortie? Où est ce qu'ont va?

Je ne lui répond pas beaucoup trop anxieux et stresser de comment il va l'apprendre. Je rentre dans l'auto en claquant la porte suivis de lui à son tour. Je démarre la voiture et roule en silence sans dire un mot.

5 heure de route plus tard

- Tu peux me dire ce qu'ont fait ici? Demande t'il

Je continuais de marcher tandis que lui claquait la porte du côté passager.

- Billy pour l'amour du ciel parle-moi bon sans! S'écria t'il

Je m'arrête, les pieds sur le perrons et lui fait face.

- Tu te rappelle c'était quand la dernière fois que tu es venu ici?

- Je sais pas moi 6 ans peut-être? Et c'est quoi l'important dans tout ça?!

- Tu avais dit que tu ne voulais plus jamais y mettre les pieds depuis la mort de ta mère.

- Oui et alors?

- Je pense que tu changeras d'avis après t'avoir montrer ce que je veux te montrer.

- Tu commence à me faire flipper dis-moi ce qui ce passe c'est un ordre.

Je lui fait signe de tête de venir. Il s'approche hésitant à rentrer dans l'endroit où il avait passé ses vacances avec sa famille étant jeune. Je cogne trois fois et m'arrête puis recommence une autre fois.

- Qu'est-ce que tu fais pourquoi tu cognes? Dit-il les sourcils froncés

- Parce que je cognes.

La porte s'ouvre sur mon nouvel ami depuis 3 semaines. Kazey le dévisage de la tête au pied.

- Tes qui toi?

- C'est lui? Me dit-il en ignorant Kazey

- Oui.

Nous rentrons dans la maison et rien n'a changer depuis.

- Quand tu m'avais annoncé qu'il était le père je m'attendais que ça soit lui.

Kazey allait se retourner pour lui parler - à sa manière - mais je le retenais. Ce n'est ni le moment ni le temps de ce battre.

- Ton ami est présent?

- Non il est retourné directement en Italie pour s'occuper de sa fille.

- Ah je vois.

Nous montons tous à l'étage et seul les bruits de nos pats résonne. Nous arrivons devant la fameuse porte dans laquelle j'ouvrais souvent durant mon temps libre. Mon ami rentre d'abord, Kazey allait rentrer à son tour mais je l'arrête en déposant fermement ma main sur son torse.

- Quoi qu'est ce qu'il y'a?

- Ce que je m'apprête à te montrer n'est pas facile. J'ai trouvé ça très dure de ne pas te le dire durant ces trois semaines. Mais promet moi de ne pas t'énerver.

- D'accord.

- J'ai fait ça pour une bonne raison sache-le.

J'ouvre la porte et regarde mon ami qui est installé sur une chaise. Il me fait signe qu'il peut entrer.

Cette avec une grande inspiration que j'ouvre la porte...

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Ah ah ah suspense...

Torey MoreyliWhere stories live. Discover now