𝘁𝗮𝗿𝗶𝗸 𝗮𝗻𝗱𝗿𝗶𝗲𝘂 "𝗮𝗱𝗲𝗺𝗼"
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je t'aime comme l'on aime certaines choses obscures de façon secrète entre l'ombre et l'âme
(23aou.2020 /17jan.2021
#1 fanfiction : 27-28janv.2021 / 1-2-3fév.2021)
dernier chapitre de TIGRESA : vendredi 15 janvier 2021
• Naëlia Andrieu •
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A V R I L 2 0 2 4
~ Donc le mieux je pense ce serait d'investir dans le projet un plutôt que le projet deux.
Sasha ~ Bah essaies et tu me donnes des nouvelles aussi des fournisseurs, faut qu'on voie avec eux s'ils sont tout le matériel pour.
~ T'inquiètes pas pour ça, je vais le gérer. j'entendais la porte de chez moi s'ouvrir, suivi de pleurs de Seyna, me faisant grogner. Ils sont rentrés, je dois te laisser.
Sasha - Ça sent la crise de larmes ça. riait-elle.
~ Ouais, je vais devoir aller taper Tarik. Bisous je t'aime.
Sasha ~ Moi aussi, tiens moi au jus.
J'acquiesçais avant de raccrocher et de sortir de mon bureau qui était une pièce sans but dans l'appartement. Je marchais jusqu'au salon et à peine je posais un pied sur le parquet qu'une petite masse se ruait dans mes jambes.
Je m'abaissais pour prendre ma fille dans mes bras et elle collait sa tête à mon cou en explosant en pleurs.
Tarik - Et commences même pas à chialer vers ta mère Seyna.
- Il se passe quoi ?
Tarik - C'est ta fille qui m'a tapé ses nerfs au centre co parce-que j'voulais aps lui prendre sa poupée à trente balles. Oh, trente balles un jouet alors que c'est même pas Noël. Elle en a une tonne dans sa chambre.
- Calme-toi s'il te plaît.demandais-je calmement en embrassant le front de Seyna qui était tout chaud.
Tarik - J'suis calme. Et après elle va venir faire la malheureuse avec toi pour que tu lui paies tout, j'en ai marre de jouer l'méchant dans l'histoire.
- Pourquoi tu t'énerves comme ça Tarik ? Détends-toi por favor.
Tarik - Mais j'suis calme ! Faudrait p'têtre que tu t'durcisses un peu avec ta fille si tu veux pas qu'elle te marche dessus comme elle veut.
- Pardon ?
Tarik - Ouais, ouais. Tu m'as très bien entendu.
Il partait sur le balcon pour s'en griller une j'imaginais et je fixais seulement le mur, ne comprenant pas comment on venait de s'embrouiller en même pas cinq secondes. Je soupirais, me rappelant que j'avais épousé un homme au caractère bien trempé et posais Seyna au sol pour lui enlever sa doudoune, son écharpe et ses chaussures.
Il était dix-neuf heures environ et je la mettais directement dans le bain comme ça c'était fait.
- Qu'est-ce qu'il s'est passé avec papa ? demandais-je calmement à ma fille en la mouillant.
