Promotion futur tome

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Rebonjour! Pas d'inquiétude, je n'annonce pas subtilement la fin de piégés. Je publie cette partie pour faire la promotion de la prochaine fiction que je publierai prochainement.

Elle est différente sur plusieurs points. Premièrement, les dialogues seront particuliers. Quand il y aura des guillemets, cela voudra dire que l'on des personnages écrit ou signe.

Je veux absolument tout savoir sur ce qui vous a traversé l'esprit.

Bonne lecture!!!


-New York-

Tout a commencé durant cette journée durant lequel le ciel, le vent et la température semblaient être en parfaite harmonie. Le vent caressait ma peau, me promettait une belle journée, le soleil me souriait, les 20°C me réchauffaient parfaitement pourtant, malgré cette magnifique concordance, mon esprit n'était pas apaisé. Loin de là.

Je cherchais du travail depuis déjà deux semaines et toujours rien. Aucun coup de fil, aucun e-mail, rien. Je regardai ma montre et grimaçai. Encore un nouveau truc à acheter. J'avais cette montre depuis longtemps, mon père me l'avait offerte pour mes 15 en me disant que ça me permettra de pouvoir arriver à la maison à l'heure du couvre-feu qu'il se fatiguait de donner encore à ma soeur, mon frère et moi.

Je souris en me souvenant de cette journée. C'était le bon temps. Enfin, jusqu'à ce que j'apprenne que mon père avait une maitresse et qu'il ne se passe autres choses.

Je chassai une mèche brune qui me tombait sur le front et grimaçai. Je devrais arriver à destination dans une heure et à cause de mon stress, j'avais décidé de partir de la maison 2 heures plus tôt, car j'avais peur de raté le métro, de me tromper de métro ou d'avoir écrit la mauvaise adresse, bref, mon lot de stress habituel, quoi ?

Je ne pouvais pas arriver une heure en avance, me dis-je en me rendant compte qu'il ne me manquait qu'à marcher peut-être une dizaine de minutes avant d'atteindre la propriété.

Je regardai autour de moi avec attention. Le traque que je ressentais m'avait empêché de me rendre compte de mon entourage.

Non loin, il y avait un parc de jeu tout neuf, brillant, invitant les enfants à venir y jouer. À ma gauche, il y avait un magnifique lac que des conifères et des bancs entouraient. Bref, le cliché des lacs. À droite, il y avait un grand terrain vide et en avant de moi, il y avait une route.

Je tournai à ma gauche et commençai à marcher vers le lac. Je sortis mon cellulaire pour changer de chanson et continuai d'avancer. Arrivée plus proche, la vue du lac me coupa le souffle. Ce n'était le fait qu'il y avait des canards, mais à cause des feuilles rouges, orangés, jaunes qui tapissaient les petits chemins. De la rue, il était impossible de voir ce détail, car des sapins cachaient les feuillus.

Les arbres se tenaient, grands, petits, portant les couleurs de l'automne et m'invitaient à les contempler. Je souris et allai m'asseoir pour contempler cette beauté. J'enlevai mes écouteurs, arrêtai la musique et laissai les bruits des canards, du vent, des arbres, me calmer.

Je restai ainsi en souriant avant de fermer les yeux, contente de cette paix. Comment se faisait-il qu'un tel parc était vide en une aussi belle journée ?

Je restai ainsi avant d'ouvrir les yeux. Quand je le fis, je remarquai qu'à l' autre bout du lac, il semblait y avoir une personne en train de dormir sur un banc.

Je fronçai les yeux, ajustai mes lunettes pour mieux voir et effectivement, il y avait une silhouette sur un banc en train de dormir, une casquette sur le ventre et le bras sur le visage.

Piegés ✅Where stories live. Discover now