Je vis avec ma peine...

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Bienvenu mes chers curieux ou encore mes futurs lecteurs. Comment allez-vous ?

Donc... c'est très simple ce que je vous demande. Je commence:

-Vous êtes en colère, êtes euphorique à propos d'un personnage, commentez.

-Vous voulez faire une blague, commentez.

-Une faute vous attaque, commentez.

-Bref, commentez pour tout ce que vous voulez. N'hésitez pas. Si vous avez envie de critiquer, vous pouvez le faire, poliment, bien sûr. Écrivez ce que vous voulez, parlez de torse si vous voulez, je vous répondrai, je le fais toujours.

-Sinon, votez si ce que j'écris vous plait.

-SVP, pas de publicité ici. Je peux en faire si vous le demandez, je lirai un peu votre fiction et irai en parler, mais ne le faites pas de vous-même.

Cette fiction est le fruit de mon imagination, elle m'appartient alors ne copiez pas.

Elle a une suite, si vous le désirez, passez jeter un oeil.

Sinon, comment l'avez-vous trouvée ? Première lecture ?

Oh! Ne gâchez pas la surprise des autres😊

Prenez une tasse de chocolat, une petite couverture, installez-vous confortablement.

Fait ?

Bonne lecture!!!

💋Carrie💋

Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se mutilaient encore et encore, se faisaient du mal pour chercher à se débarrasser de leurs maux précédents. Bien sûr, je savais que personne ne voyait la vie comme moi.

Moi, depuis ma plus tendre enfance, durant laquelle les enfants chanceux partaient à Disney rencontrer leurs princes et leurs princesses durant les vacances, moi malchanceuse que j'étais, je les avais passées à la maison, seule ou accompagnée par ma mère qui, elle, à son tour, avait un de ses princes qui venaient lui rendre visite.

Je la regardais embrasser un nouveau prince chaque jour et partir dans sa chambre avec lui pour jouer, comme elle disait. Après qu'elle avait fini de jouer, le prince partait, la laissant seule, en train de pleurer.

J'avais passé mon enfance à regarder ma mère pleurer et voir des princes débarquer à la maison.

Un jour, plus précisément quand j'avais 12 ans, elle m'avait annoncé qu'elle avait besoin de mon aide. Je lui avais tout de suite répondu que je ferais tout pour elle. Elle m'avait sourit et m'avait dit à quel point elle me trouvait adorable, à quel point j'avais grandi et ensuite elle s'était mise à pleurer. Ne comprenant pas pourquoi ma maman pleurait cette fois-ci, je l'avais prise dans mes bras et avais tant bien que mal essayé de chasser le torrent de larmes qui lui coulait sur les joues.

Je détestais la voir pleurer, la voir ainsi me donnait l'impression d'une petite fille inutile qui ne passait son temps qu'à être accrochée aux jupes de sa pauvre mère.

– Maman, dis-moi ce qui ne va pas maman, lui avais-je dit en lui touchant ses cheveux soyeux.

Elle avait mis ses mains sur mes joues et me regardait d'un air suppliant.

Piegés ✅Où les histoires vivent. Découvrez maintenant