Lâcher Prise

lauramassi115 tarafından

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Mariella a tout pour plaire : Multimillionnaire a seulement vingt-sept ans, elle gère ses entreprises d'une... Daha Fazla

Chapitre I - Une femme de pouvoir
Chapitre II - Une conférence intéressante
Chapitre III - Un nouveau travail
Chapitre IV - Un geek attachant
Chapitre V - Première tentative
Chapitre VI - Apprendre à se connaitre
Chapitre VII - Percer la carapace
Chapitre VIII - Petites confessions
Chapitre IX - Premières interrogations
Chapitre X - Un fantôme du passé
Chapitre XI - Un métier inattendu
Chapitre XII - Une nouvelle tentative
Chapitre XIII - Une relation cachée
Chapitre XIV - Un diner plutôt compliqué
Chapitre XV - Se changer les idées
Chapitre XVI - L'amour est là où on ne s'y attend pas
Chapitre XVII - Une interview osée
Chapitre XVIII - Rencontre avec la matriarche
Chapitre XIX - La vie de Miss Mills
Chapitre XX - Voyage en amoureux
Chapitre XXI - De surprises en surprises
Chapitre XXII - Une protection plutôt mal vue
Chapitre XXIII - La fin d'une grande dame
Chapitre XXIV - Apparitions publiques
Chapitre XXV - Un renvoi prévisible
Chapitre XXVI - Prise de conscience
Chapitre XXVII - Réception au sommet
Chapitre XXVIII - Une erreur magistrale
Chapitre XXIX - Sauver l'entreprise familiale
Chapitre XXX - Revenantes
Chapitre XXXI - Confrontations musclées
Chapitre XXXII - Soupçons
Chapitre XXXIII - Un complice prit sur le fait
Chapitre XXXIV - Prise au piège
Chapitre XXXV - Au fil des années ...
Chapitre XXXVI - Comprendre et apprendre
Chapitre XXXVII - Des secours inattendus
Chapitre XXXVIII - Le choix
Epilogue
Remerciements

Chapitre XXXIX - Condamnation

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lauramassi115 tarafından

« - Mesdames et Messieurs, veuillez-vous lever pour accueillir l'honorable juge Howard qui sera en charge de l'affaire Andrews et Mills contre Crabs et O'Brien.

- Bien ! Commença ce dernier. Veuillez-vous asseoir. Au vu des éléments à charge dans le dossier, il est clairement évidement que les charges retenues contre les deux accusés prouvent leur culpabilité. La décision du jury déterminera donc les sanctions à établir à leurs encontres. Nous devrons aussi déterminer si le cas de Mademoiselle Crabs, ici présente, relève de la psychiatrie et nécessite un internement ou si elle a prémédité ses actes en toutes connaissances de cause. La parole est à l'avocat de la défense, veuillez faire entrer votre premier témoin. »

Toute la matinée durant, les auditions se succédèrent. Chaque camp essayant de prendre le dessus sur l'autre. D'abord les témoins des méfaits du passé tel que Carolina et Katherine :

« - Mademoiselle Crabs est une manipulatrice qui nous a poussé à mentir. Nous n'aurions jamais dû l'écouter, pleura Katherine. Je te demande pardon pour tout Mariella ... »

Puis vint le tour des dommages collatéraux :

« - A cause de leurs actions, j'ai failli être brulé vif, hurla Karl Mills, furieux de ne pas avoir su protéger sa petite fille correctement. Cette fille est complétement folle et ce garçon s'est laissé manipulé ... Dieu seul sait ce qui serait arrivé si ma petite Mariella était montée dans cette voiture à ma place ! Il faut qu'ils soient punis comme il se doit ...

- Oui, c'est vrai ! » Crièrent en chœur des personnes dans le fond de la salle. Une cohue s'éleva alors entre les partisans d'Hanna et ceux de Jeremiah et Mariella. Les défenseurs du tyran prétextaient que seul l'amour qu'elle portait au jeune homme était le responsable de sa folie et qu'il fallait lui venir en aide car elle souffrait beaucoup. Mariella se sentait de plus en plus mal. En plus de ressentir des douleurs dans le bas du dos à cause de sa grossesse, le stress qu'elle sentait avec les hurlements lui paraissait insupportable. La fatigue et l'agitation commençait avoir raison d'elle et le simple fait de penser qu'Hanna se tenait à quelques centimètres de son enfant, le sourire en coin la terrifiait.

« - Calmez-vous, calmez-vous, tonna le juge. Reprenez-vos esprits ou je fais évacuer la salle ! Nous vous remercions pour votre témoignage Monsieur Mills. Maitre, veuillez appeler votre prochain témoin.

- J'appelle à la barre Monsieur Kyle O'Brien, votre Honneur. »

On fit amener le détenu qui ne savait pas vraiment ce qu'il devait faire. Dans sa tête tout était mélanger. Devait-il une nouvelle fois suivre Hanna pour lui prouver son amour au risque de perdre sa liberté et le peu de dignité qu'il lui restait ou devait-il au contraire se retourner contre elle au risque de la perdre elle pour toujours ?

« - Monsieur O'Brien, pouvez-vous nous dire comment vous avez connu la victime, Mademoiselle Mills ? Pouvez-vous nous donner toutes les circonstances liées à votre rencontre ?

- C'est Hanna qui m'a parlé d'elle. C'était visiblement une de ces obsessions. Elle m'a convaincu de travailler pour elle et de garder un œil sur elle.

- Est-ce que vous voulez dire que mademoiselle Crabs vous a séduit pour garder un œil sur Mademoiselle Mills ?

- Objection, spéculations, s'écria l'avocat de la défense.

- Pardonnez-moi, je reformule, reprit l'avocat de Mariella. Vous avez dit, je cite « Elle m'a convaincu de travailler pour elle et de garder un œil sur elle ». Pouvez-vous nous dire comment elle vous a convaincu ?

- Hanna et moi nous sommes rencontrés il y a cinq ans. Je sui immédiatement tombé amoureux d'elle et elle le savait très bien. Je crois qu'elle a utilisé les sentiments que j'avais pour elle pour me manipuler ...

- Vous êtes en train de nous dire que Mademoiselle Crabs s'est rapprochée de vous dans le seul but de vous utilisez contre la victime, mademoiselle Mills ?

- Non, au début, elle s'est mise avec moi pour essayer d'oublier son amour pour Jeremiah ...

- Alors, elle ne vous aimait pas vraiment ? Elle ne sait mise avec vous que pour oublier Monsieur Andrews. Mais qu'à-t-elle fait quand elle a réalisé qu'elle ne pouvait ou qu'elle ne voulait pas l'oublier ? Est-ce que c'est à ce moment là qu'elle a décidé de garder un œil sur ma cliente ? Ainsi vous êtes en train de nous dire qu'elle a prémédité ses actes en tout connaissance de cause ?

- Objection, votre Honneur, l'avocat incite le témoin.

- Objection retenu ! » S'enquit le juge. Maitre tenez-vous en fait et rien qu'aux faits.

Le jeune avocat sourit sachant qu'il venait d'ouvrir une brèche dans les défenses de Kyle.

« - Je suis désolé votre Honneur mais je ne fais qu'essayer de comprendre ce que le témoin nous dit à demi-mots. D'après les déclarations précédentes, Mademoiselle Crabs a pris pour cible ma cliente depuis des années. D'après les dire de Monsieur O'Brien, il est clair qu'elle agit de façon rationnelle et méthodique et c'est ce que j'essaye de démontrer au jury. Mademoiselle Crabs ne souffre pas de problèmes psychiatriques ! Au contraire, c'est une personne seine d'esprit qui est capable des pires actes. Elle ne mérite certainement pas qu'on la prenne en pitié ni qu'on lui prodigue des soins qui couterait une fortune aux contribuables.

- C'est vrai elle est complétement dingue ! Hurlèrent de nouveau les voix au fond de la salle.

- Ça suffit ! Calmez-vous ! Si vous n'avez pas d'autre question, maitre, nous allons faire évacuez les accusés. Je suspends la séance pendant les deux prochaines heures. Ça nous laissera ainsi assez de temps pour nous restaurer et je l'espère, de retrouver nos esprits. »

Tout le monde sortit calmement mais Mariella resta immobile dans son fauteuil attendant seulement de retrouver un peu de calme autour d'elle. Elle pencha la tête en arrière et mit ses avant-bras sur ses yeux, voulant ainsi tout oublier pendant quelques secondes. John qui n'avait rien rater de la scène, s'inquiéta immédiatement de la situation et profita d'une minute d'inattention de la part de Jeremiah pour se rapprocher d'elle. Il s'agenouilla à sa hauteur :

« - Mademoiselle Mills ? Est-ce que tout va bien ? »

Mariella fut surprise d'entendre sa voix car ils ne s'étaient pas reparlés depuis qu'ils avaient eu leur fameuse conversation à l'hôpital. Elle se redressa et lui sourit tendrement :

« - C'est gentil de t'inquiéter pour moi ... A vrai dire, je ne sais pas trop ... J'espérais que ce procès allait m'aider à pardonner et à tourner la page mais je réalise que j'ai peur qu'elle s'en reprenne à moi et à mon bébé ... »

John posa la main sur son ventre pour la rassurer et lui signifier que l'enfant allait bien. La jeune femme se sentit quelques secondes en sécurité quand Jeremiah vint les interrompre :

« - Mon amour, est-ce que tout va bien ? Pourquoi tu ne sors pas prendre un peu l'air ? Est-ce qu'il t'ennuie ? Dit-il en désignant John.

- Bien sûr que non ! Nous parlions justement du procès. J'ai besoin d'un peu de calme et je ne veux pas recroiser tous ces gens qui me regardent avec pitié ou tous ces journalistes qui me posent des millions de questions. Est-ce que tu voudras bien aller me chercher un peu d'eau ? »

Jeremiah soupira mais compris que cela lui faisait du bien de parler avec John. Jamais il ne pourrait les empêcher d'être amis si la jeune femme le voulait alors il n'irait jamais contre ses sentiments. Il hocha la tête et s'éloigna à contre-cœur.

« - Et toi ? Comment vas-tu ? Reprit la jeune femme. Louise m'a dit que vous passiez beaucoup de temps ensemble ...

- Oh, sourit John qui ne s'attendait pas à sa remarque. Nous avons tous les deux une relation spéciale mais je n'ai pas vraiment envie de parler de ça avec toi ... Mon cœur va mieux mais c'est un peu étrange de parler de mes sentiments avec mon ex-petite amie, tu ne trouves pas ?

- Je n'avait pas vraiment vu ça sous cet angle ...

- J'ai apprécié le fait que tu t'occupes toujours de Xander malgré mon éloignement. Même si nous ne sommes pas vu, je te remercie de l'avoir accueilli chez toi pour qu'il ait un endroit stable ou vivre.

- C'est normal ! J'ai promis de toujours m'occuper de lui alors je vais tenir ma promesse. Il peut rester avec nous tant qu'il le voudra et tu sais que tu peux venir le voir chez nous.

- Je viendrais, c'est promis. Je ne suis pas encore tout à fait prêt mais je viendrais ... Alors tu me disais que tu as peur d'Hanna. Comment est-ce que c'est possible ? Elle est derrière les barreaux, tu ne crains plus rien maintenant.

- Je suis désolé de vous interrompre mais vous devez sortir de la salle pendant la pause, les interrompit le greffier.

- Je suis désolé, dit Mariella en se relevant, c'est moi qui l'ai retenu. J'ai eu un vertige.

- Je comprend parfaitement vu votre état », s'excusa l'homme.

John aida Mariella à sortir de la salle et tous deux allèrent s'asseoir sur un banc dans le tribunal, loin des témoins, des médias et de l'agitation du procès.

« - Tu as l'air épuisé si je peux me permettre, reprit le jeune homme inquiet de l'état de santé de son interlocutrice.

- Toutes les femmes enceintes sont un peu fatigués à la fin de leur grossesse. Je vais bien je t'assure ! Tout rentrera dans l'ordre quand ce procès serait terminé et que j'aurais accouché ... »

Elle s'interrompit quand elle aperçut aux loin deux policiers emmenant Hanna. Malheureusement cette dernière aperçut sa pire ennemie et décida de ne pas en rester là. Huit mois, elle avait ruminé sa vengeance huit mois durant et elle savait pertinemment qu'elle n'aurait pas d'autre occasion. Elle tenta le tout pour le tout et saisit l'arme à la ceinture du policier de droite avant de courir vers Mariella qui écarquillait les yeux en voyant la scène. Elle réalisa que toute la terreur qu'elle ressentait ces derniers jours était justifiés et comprit qu'Hanna allait en finir.

« - Tu es morte Mariella ! Tu es morte ! Hurla-t-elle tandis que le deuxième policier sortait son arme et lui tira dessus, la blessant mortellement.

Hanna s'effondra aux pieds de Mariella, qui ressentait soudain de la peine pour elle. Elle s'agenouilla près d'elle et lui prit la main :

« - Accroches-toi, Hanna ! On va appeler les secours et tu vas t'en sortir !

- Arrêtes ! Chuchota-t-elle. Arrête de prendre soin alors que je m'apprêtais à te tuer ...

- Je n'ai jamais voulu tout ça ! Toi et moi, on aurait pu être de grandes amies, si tu m'avais laissé t'aider sérieusement. Si tu m'avais vraiment connu ...

- Nous n'aurions jamais pu l'être tant qu'il était là, Marie ... »

Jeremiah qui avait entendu les coups de feu se précipita vers sa fiancée et lui demanda si elle allait bien. Il jeta un œil vers Hanna qui était en train de mourir et il ne savait pas s'il lui en voulait d'avoir attenter une nouvelle fois à la vie de sa femme ou s'il était triste car il savait que cette fois, tout cela mettait une fin définitive à leur histoire.

« - J'ai la chance de mourir près de toi, sourit Hanna en regardant Jeremiah.

- Ne dis pas des choses comme ça, reprit Mariella. Je veux que tu saches que je te pardonne tout. J'ai mis du temps à m'en rendre compte pensant que j'avais peur de toi mais en fait j'ai vraiment de la peine ... Je suis triste que tu n'es pas su voir que l'amour n'est pas égoïste. Il ne peut pas être forcé et n'obéit à aucune règle. Je te pardonne sincèrement pour tout ce que tu m'as fait.

- Même quand je vais mourir tu trouves le moyen de ramener l'attention sur toi, se mit à rire Hanna. J'ai toujours été persuadé que seule la mort nous séparerait Jeremiah et aujourd'hui, c'est le cas. J'espère sincèrement que tout ira bien pour vous maintenant. J'ai fait ça pour toi, mon amour ... »

Jeremiah se sentait terriblement coupable que les événements est pris cette tournure et ne savait plus quoi dire. Une larme coula le long de sa joue :

« - Je te demande pardon Hanna. Je n'ai jamais voulu te faire souffrir ... J'aurais aimé que les choses se passent autrement.

- On ne peut pas aller à l'encontre de son destin ... » Dit-elle avant de fermer les yeux et de perdre connaissance.

Aussitôt les secours arrivèrent et se ruèrent vers elle pour la prendre en charge. Cependant, il était déjà trop tard et un médecin déclara son décès. Jeremiah serra sa femme dans ses bras pour essayer de la rassurer mais cette dernière ne se sentait pas mal. Au contraire, un poids énorme venait d'être enlevé de ses épaules car la personne qui lui faisait du mal n'était plus et donc elle n'avait plus rien à craindre. Elle se releva soutenu par John et son fiancé et souffla pour retrouver ses esprits :

« - Tout est définitivement terminé maintenant. Elle ne pourra plus jamais nous faire de mal ...

- Elle ne sera jamais puni pour ses actes non plus, s'énerva John.

- Je crois qu'elle a suffisamment souffert de ne pas être aimé par l'homme de ses rêves.

- C'est vrai que c'est une punition plus grande que la prison », soupira John en la fixant longuement.

Deux heures plus tard, la salle d'audience se réunit pour mettre un terme à toute cette histoire :

« - Au vu des récents évènements qui ont eu lieu, le décès de Mademoiselle Crabs annule toutes les poursuites à son encontre. J'ai communiqué avec les jurés qui ont décidés de prendre une décision concernant l'inculpation de Monsieur O'Brien. Nous aurons leur délibération en fin de journée. En attendant, je vous prie d'évacuer le tribunal. La séance est ajournée. »

Mariella avait cependant de plus en plus de mal à se concentrer sur les paroles du juge car elle ressentait des contractions suite au stress de voir Hanna lui foncer dessus avec un revolver. Elle avait peur de devoir affronter la césarienne que les médecins préconisaient dans son cas car elle savait que toutes interventions chirurgicales comportaient un risque. Le risque de perdre son enfant ou même de perdre la vie et de ne jamais le voir grandir.

« - Tu n'as pas l'air d'aller bien, commença Jeremiah. Je devrais te conduire à l'hôpital. Tu as subi beaucoup de stress aujourd'hui et j'aimerais bien qu'un médecin t'examiné.

- Je pense aussi que c'est une bonne idée. J'ai de plus en plus de contractions ... »

Jeremiah se laissa subitement dominé par ses émotions et resta immobile ne sachant plus comment faire un pas. John qui n'avait pas raté une miette de ce spectacle décida de soutenir la jeune femme et pris les choses en main.

« - Venez tous les deux, je vais vous y conduire. Jeremiah ! Reprends tes esprits et aide-moi ! »

L'homme s'exécuta et tous deux conduisirent la jeune femme à l'hôpital où elle fut rapidement prise en charge. Malheureusement, le travail s'annonçait compliquer et on dut interdire l'accès au futur papa, qui paniquait de plus en plus.

« - Calmes-toi, reprit John. Mariella est forte et tout va bien se passer ! Ton bébé ira bien et vous allez être heureux. C'est toi l'homme de famille alors c'est à toi de garder ton calme.

- Tu es vraiment quelqu'un de super. Elle peut compter sur toi en toute circonstance ... Je ne peux pas m'empêcher d'être jaloux quand je vous vois tous les deux. Est-ce que tu l'aimes encore ?

- Une partie de moi l'aimera toujours ... Mais comme une grande amie. J'ai compris aujourd'hui en la revoyant que mon cœur appartenait à une autre. J'aurais dû m'en apercevoir avant, mais elle y est entrée petit à petit sans que je m'y aperçoive et je comprends maintenant que les choses devaient se passer comme ça. Alors crois-moi quand je te dis que ça va aller ! Je suis certain qu'après tout ce que vous avez vécu, le bonheur est à portée de main ... »

Le médecin les interrompit demandant qui accompagnait une certaine Mariella Mills.

« - C'est moi, dit le jeune papa impatient de savoir comment les choses s'était déroulé.

- La césarienne s'est bien passé. La maman et le bébé vont bien. C'est un magnifique petit garçon qui pèse 3, 155 kg et qui mesure 48 cm. Vous pourrez les voir très bientôt mais rappelez vous que malgré sa réputation de dur à cuire, mademoiselle Mills à besoin de repos. Félicitations ! »

Jeremiah poussa un grand soupire de soulagement et sentit la joie l'envahir et serra John dans ses bras, fou de bonheur. Quelques heures plus tard, il put enfin rejoindre les deux amours de sa vie et un sentiment d'accomplissement total envahit son être quand sa fiancée déposa l'enfant dans ses bras. Il en oublia tout ce qu'il avait traversé et ne pensa qu'à une seule chose : la joie et l'amour que tous les trois allaient enfin partagés.

« - Je suis tellement fière de toi, lança-t-il à Mariella. Tu as été si forte. Tu es vraiment extraordinaire. J'ai tellement de chance de vous avoir tous les deux ...

- Notre fils est tellement beau. J'ai l'impression qu'une nouvelle vie s'offre à nous. Plus de méchant pour nous mener la vie dure et que du bonheur à venir mais comment allons-nous l'appeler ?

- C'est vrai qu'après tout ces mois nous n'avons jamais réussi à nous mettre d'accord ... Mais j'ai peut-être une idée qui pourrait te convenir si tu es d'accord ?

- Je t'écoute ... Dit-elle, impatiente.

- Que dirais-tu de John ? Après tout, c'est grâce à ce garçon qu'on en est là et même si je le déteste parce qu'il est proche de toi et que je suis très jaloux de votre relation, c'est un homme qui a changé nos vies pour toujours.

- ça me plait beaucoup, avoua Mariella en embrassant son mari, ravie de sa décision.

- Je pourrais quand même l'appeler Junior pour ne pas trop penser à lui », dit-il en éclatant de rire.

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