Souvenirs du vendredi 9 août 2019, Saint-Raphaël :
Sur le bateau avant la plongée, 14h35 :
PDV Esteban :
« Pierre ! Tu veux un peu manœuvrer ? » je demande gentiment.
« Pourquoi pas ? Il va bien falloir que je me lance ! » me répond-t-il en souriant, avant de rajouter en riant : « Je vais corriger ta conduite de bourré ! Mais si je nous coule, je plaiderai victime de ce malencontreux accident ! » et il me tape l'épaule.
« Moi, bourré ?! Les autres n'étaient pas mieux que moi ! Et puis, tu porteras le chapeau quand même ! » dis-je d'un air faussement outré : « Moi, j'ai plus l'habitude de naviguer sur une mer plus agitée ! »
« Bon, c'est vrai que l'Atlantique ... allez, t'as raison ! » s'exclame-t-il avant de prendre la barre.
Je lui montre alors ce qu'il doit faire et comment, et je le laisse. Il se débrouille très bien et s'amuse, même si je reste derrière lui pour reprendre la main au cas où. Il prend suffisamment de confiance pour jouer un peu plus avec la vitesse, en accélérant puis en ralentissant.
« On dirait ta mère quand elle conduit un bateau, Monsieur GASLY ! »
« Comment ça ? Tu as déjà vu ma mère naviguer ? » me demande-t-il.
« Mais oui, souviens toi ! Lorsqu'on avait 11/12 ans, on avait fait une journée en bateau et il n'y a que ta mère qui avait le permis ! » je lui dis.
« Ah oui ! C'est vrai !! Je me rappelle de tout ça, c'était une super journée ! Bon, même s'il avait commencé à pleuvoir en plein océan Atlantique en fin d'après-midi et qu'on est rapidement revenu sur la terre ferme pour prendre une boisson chaude, j'avais adoré ! »
« Moi je me rappelle bien Pascale qui montrait à mon père comment conduire ... tu te souviens lorsqu'un ballon qu'on avait pris est passé par-dessus bord alors qu'on se le lançait ? » je rajoute en souriant.
« Oh oui !! On avait dû faire demi-tour pour le récupérer et la première chose que tu as fait pour montrer ton envie de la prendre a été de me jeter à l'eau aussi ! » s'exclame-t-il en commençant à rire.
« Ce n'était pas ma faute !! Les parents nous avaient donné le feu vert pour se baigner ... et moi, je voulais te faire une farce ! » je me justifie en haussant les épaules.
« Au moins, je me suis bien marré quand tu as eu peur d'un pauvre banc de touts petits poissons ... les pauvres, ils devaient être encore plus effrayés par toi que l'inverse ! » ironise-t-il en me donnant un petit coup de coude.
« Pff, mais non !! En plus, en rentrant chez toi, t'as voulu qu'on regarde Les Dents de la Mer ! Et même si ce film avait déjà 30 ans et qu'il a un peu mal vieilli, ça m'avait pas rassuré ! »
« Nos parents étaient morts de rire ... pour le film et nos têtes ! » réplique-t-il, et nous continuons à rire.
C'est dingue de repenser au bon vieux temps comme ça, une fois, sans animosité ni préavis. Sans se disputer, juste pour relater des souvenirs. Des bons. Des souvenirs tout simplement. Nous discutons encore un peu avant de partir pour la séance de plongée :
(Nb : il fallait que je case cette photo de Daniel, ça va avec le thème !)
{Ellipse de l'après-midi}
19h42 :
Je sors de la salle de bain tout en séchant mes cheveux mouillés de toute une après-midi sous l'eau : nous nous sommes super bien amusés et nous avons pu voir de beaux poissons.
Lorsque j'arrive dans le séjour, je vois mon téléphone allumé en train de vibrer sur la table. Il ne s'arrête jamais, et je regarde les autres d'un air interrogateur.
« Este, tu arrives au bon moment ! Ton portable sonne depuis tout à l'heure ! » s'exclame Anthoine en me le tendant.
Je le saisis : le numéro est français, mais je ne le reconnais pas. Pourtant, je n'hésite pas à décrocher pour entendre la voix de Cyril ABITEBOUL, le manager de Renault. Je retiens alors ma respiration alors que je l'écoute avec le plus grand sérieux : j'aimerais tellement que ce soit ce que je pense, ce que j'attends, ce que je veux et ...
Je ne peux m'empêcher de sauter de joie quand il m'annonce l'information qui me libère d'un lourd stress présent depuis la fin de la saison dernière. Je remercie Cyril autant que je peux avant de raccrocher. Les autres me regardent alors, insistants :
« Qu'est-ce qui se passe ?» me demande Charles.
Je tremble tellement je suis heureux et soulagé, et je sens un grand sourire se dessiner sur mes lèvres.
« Je ... je suis de retour en 2020 ! Je vais rouler pour Renault !!! » je m'exclame, excité.
« Renault ?! On sera coéquipiers !! » déclare Daniel enthousiaste, avant de me serrer dans ses bras : « Et dire que c'est moi qui a pris la place dispo que tu aurais pu avoir cette année ! »
« C'est super !!!! » répliquent Anthoine et Charles qui me prennent aussi dans une accolade.
Max reste distant, mais vient tout de même me serrer la main et murmurer des Félicitations sincères. Pierre s'approche à son tour, et c'est dans une attitude plus chaleureuse qu'il me félicite alors.
« Allons fêter ça dignement en soirée !! » impose Daniel : « Mais d'abord, je pense qu'on peut sortir 2/3 bières afin de trinquer à ton retour ! »
Je souris grandement, tellement heureux de ce qui m'arrive. Et dire que tout avait basculé il y a exactement un an avec le rachat de l'équipe devenue Racing Point.
Après ce coup à boire, nous allons en boîte : tellement d'ambiance, la musique bat son plein. Nous dansons tous au milieu de la piste, on rit, on discute, on boit un peu ...
Je m'assois alors un moment pour prendre une petite pause : devant moi ; Anthoine, Charles et Pierre bougent ensemble en rythme avec la musique, tandis que Daniel et Max sirotent des cocktails au bar. Je m'affaisse un peu plus, toujours content de cette annonce.
Mais tout d'un coup, je commence à me sentir triste.
Profondément triste.
Triste et énervé contre moi-même.
Je repense alors à tout ce que j'ai laissé passer à côté de moi, tout ce que j'ai abandonné pour ça, tout ce qui est arrivé ... j'ai l'impression de me sentir très seul soudainement. J'essaie de me forcer à retirer ça de mes pensées, mais c'est comme si elles restaient fixées dans mon cerveau en continu.
Un cercle vicieux.
Et je commence à enchaîner les verres.
Sans m'arrêter.
Mais ce n'est plus par joie ou contentement, mais par désespoir et agacement. Je vais au bar et je redemande de la vodka.
« Esteban ? »
Je n'ai plus l'impression d'être dans l'instant présent. Je ne sais pas pourquoi je continue alors que je ne prends jamais autant d'alcool, mais je me sens tellement mal !
Je continue comme ça, et le temps passe. Je n'ai plus aucune notion de ce qui m'arrive.
Et j'oublie.
Fin des souvenirs
Samedi 10 août 2019, Saint-Raphaël, 8h45 :
PDV Esteban :
Je me réveille sur mon matelas dans la chambre d'Anthoine en boxer, une bouteille d'eau en face de mon visage. Je redresse la tête, mais rien ne me semble anormal. Je sens alors une bouffée de chaleur énorme, et je me lève pour me diriger vers la salle de bain, en récupérant mes vêtements soigneusement pliés sur la chaise au passage. Quelqu'un a quand même pris la peine de le faire, pauvre de lui, je pense mentalement.
Face au miroir, je regarde mes yeux irrités et cernés et je me dépêche alors de prendre une bonne douche froide, qui me permet de me rafraîchir et de me réveiller pleinement en même temps. Qu'est-ce qui s'est passé hier ?? C'est la question.
Lorsque je finis de me laver, je sors et je décide d'aller sur le balcon. Au passage, je reste perplexe sur le nombre de serviettes de bain par terre dans le salon, et par les ronflements bruyants de Max. Je passe la porte-fenêtre pour me retrouver sur cette petite terrasse face à la mer. Mon regard se perd alors dans le bleu de l'eau pourtant transparente, ainsi que son infinité dans l'espace. Je m'adosse sur mes bras à la rambarde et je ne quitte pas des yeux la magnifique vue qui s'affiche à moi. Le mistral se lève alors légèrement.
J'essaie alors de me rappeler vainement la totalité de la soirée : l'annonce du siège, les verres en boîte, les danses, la bonne ambiance ... puis vient mon coup soudain au moral, mais je n'arrive pas à me rappeler de se qui s'est passé après avoir commandé cette foutue vodka qui fait travailler mon estomac. Bon, au moins, il ne me semble pas que j'ai couché avec quelqu'un ou que j'ai fait une grosse grosse connerie, ce qui me rassure à moitié. Mais bon, Putain de merde, quoi !
« Déjà debout Esteban ? Tu te remets de ta soirée ? »
Je me retourne, Pierre se trouve à l'entrée du balcon, déjà habillé en train de remettre un T-Shirt par dessus son torse. Ses cheveux sont mouillés et il halète un peu. Il met vivement une main devant ses yeux, un peu aveuglé par la lumière, mais vient tout de même s'adosser à la barre à côté de moi.
« T'as bien chaud, on dirait ? » je lui lance, amusé.
« Je sors seulement de la douche ! On était tellement énergiques avec Charlot qu'on a fait une partie de tennis aux aurores sur les terrains pas loin, quelques temps après être rentrés ici suite à la soirée. Il s'est lavé avant moi et il est parti dormir un peu. Je lui ai laissé mon lit pour que ce soit plus confortable, il était tellement motivé qu'il ne tenait pratiquement plus sur ses pieds lorsqu'on a terminé le jeu. Et puis, je n'ai pas sommeil, et comme je t'ai vu debout, surtout après cette soirée, j'ai voulu prendre des nouvelles. »
(Nb : j'ai mis la vidéo correspondante de la partie, même si on ne voit pas grand chose du jeu, ça fait plaisir ☺️.)
« Et alors, il y a eu quelque chose ? »
« ... de quoi ? »
« Pierre, j'ai des yeux. Et même si on peut parfois être stupide, ça, ça se voit. »
« Non, pas de ça ... je ne suis pas confiant ... en deux mois, il y a eu tellement de problèmes d'un coup ... je ne veux pas donner à Charles un boulet dans sa vie, surtout en ce moment ... et il doit juste me considérer comme ... un ami ? ... je suppose ...je ... » commence-t-il avec des yeux sombres.
« Hey, calme-toi ! Respire ! » je lui dis en mettant ma main sur son épaule : au moins, les deux, quoiqu'un peu idiots sur les bords, pensent la même chose : « Charles n'a qu'une envie et c'est de t'avoir ! Regarde toutes les petites gestuelles qu'il t'adresse ! Tu n'as pas à t'inquiéter là-dessus, je peux te l'assurer ! Après, tu n'es pas obligé de m'écouter si tu ne veux pas ... »
Un petit silence, je rajoute avec conviction :
« Ne te rends pas malade avec le reste, et fonce ! »
« ... d'accord, ... alors j'imagine que je dois te remercier ... »
« Pas besoin, t'inquiète ... enfin, j'aimerais juste savoir qu'est-ce qu'il y a eu hier ? »
« Tu ne te rappelles absolument de rien ?! » s'exclame Pierre en relevant les yeux, tandis qu'il ajuste rapidement un parasol près de la fenêtre pour avoir un peu d'ombre.
« La dernière chose dont je me souviens est d'avoir pris un mélange vodka/tequila-sunrise alors que je ne supporte pas vraiment ce type d'association ! ... et je me sentais très mal mentalement. »
« Effectivement, tu y es allé fort ! ... mais oui, tu étais chaud ... et d'un coup, t'es mal parti. Tu as voulu te rasseoir sur un fauteuil après avoir passé du temps au bar ... mais tu as failli te manger le sol après avoir trébuché, heureusement que Daniel t'a rattrapé. Ensuite, on t'a remis sur le canapé et tu as commencé à parler un peu tout seul, comme si tu extériorisais tes pensées ... Après, tu t'es pris la porte des toilettes la tête la première ... tu y es allé pour vomir un peu, je suppose, mais ce qui est sûr, c'est que tu n'étais plus barbouillé quand tu es revenu ... Et puis tu as commencé à trembler ... puis tu as pleuré ... lorsqu'on t'a pris pour repartir vers 5h30 du mat'. » m'explique-t-il calmement.
Et merde !
« Et qu'est-ce que j'ai dit ? » je demande alors avec insistance.
« ... Beaucoup de choses, déjà tu m'as tenu fermement lorsqu'avec Tonio on t'a aidé à marcher ... tu as dit des trucs du genre "J'ai fait le con !" ou "Putain, comment ça a pu partir comme ça ?!" un peu en continu ... mais il y a un nom que tu répétais en boucle ... »
Un nom ? Je le regarde avec des yeux interrogateurs mais ... je crois comprendre de qu'il s'agit ...
« J'ai parlé de Lance ? » je murmure même si je connais déjà la réponse, que Pierre me confirme d'un hochement de tête.
« Y a-t-il eu quelque chose entre vous pour que ce soit si désespérant ? » renchérît-il : « Tu peux m'en parler, si tu veux. »
Je soupire : je n'ai toujours pas enlevé ça de ma tête, et maintenant, c'est à moitié extériorisé, je me résigne.
« Je pense que tout le monde sait que Lance et moi sommes très bons amis ... »
« Oh oui, je sais ! Ce mec est le "super ami dont on puisse rêver, meilleur que toi et les autres que ce soit en piste comme en social", oui j'ai souvent compris ça effectivement. Tellement qu'il a pris ton siège ! » me coupe-t-il sur un ton sec auquel je ne m'attendais pas.
« Eh oh, là je n'ai démarré aucune hostilité, d'accord ? Donc, pourrais-tu attendre la fin de mon explication que tu veux connaître ? » je lui réplique sèchement : je ne lui ai rien sorti de désagréable à l'instant T.
Un silence s'installe, et je recommence :
« Comme je disais donc, Lance et moi sommes de très bons amis ... et on a été un peu plus ... mais pas forcément dans le sens que tu crois. »
« Sexfriends ? »
« ... exact. C'était au début de l'année 2018, aux essais ... même hôtel, l'un qui se trompe de chambre ... et l'instauration de ce "partenariat" particulier. »
Je marque une pause pour m'assurer de son attention, qui est restée intacte.
« Continue. »
« Au début, tout se passait bien ! On était chacun heureux avec ça, mais personne n'avait de problème. Je n'ai rien à dire sur cette première partie de saison ! C'est après que ça s'est compliqué ... »
On s'assoit alors sur les chaises présentes sur le balcon à cause de l'arrivée subite d'un vent très chaud qui nous déstabilise un peu.
« Force India a été rachetée et est devenue Racing Point. Et l'acquéreur, comme tu le sais, c'est son père, Lawrence. Gros milliardaire, plein d'argent ... il est rapidement rentré dans le business. Et j'ai alors compris qui serait celui poussé dehors pour laisser la place ... en tout cas, pas l'autre pilote qui a derrière lui pratiquement tout son pays ! ... Je n'étais pas bien à ce moment-là, car ma carrière aurait pu s'arrêter là à l'époque. Il y a des moments, j'avais du mal à bien regarder Lance dans les yeux avec un air sympathique. Entre-temps, malgré une relation encore plus variée, j'avais l'impression que Lance faisait plus attention à moi avec tout mon stress qui montait chaque jour. Parfois, il jouait avec mes limites, les dépassait un petit peu, et j'ai pensé, bien naïvement, qu'il y avait un message derrière ça. Alors j'ai fait un peu pareil. »
Je reprend ma respiration pour mieux repartir :
« Un jour, il m'a annoncé qu'il avait d'autres sexfriends. "Il faut voir un peu partout." ... en tout cas, une sorte de relation moderne, ce qui sur l'instant ne m'a pas vraiment dérangé, car on continuait nos relations. Mais je me suis rendu compte quelques jours après que ça ne me convenait pas aussi bien que ça ... et que surtout ... j'avais désobéis à la règle ... »
« Tu es tombé sous son charme. » complète Pierre : il a tout compris, j'acquiesce.
« Alors j'ai décidé de lui dire ! C'était à Mexico, dimanche après la course, mais il était tellement énervé par la voiture qu'il n'était pas très calme ce soir-là, que ce soit devant tout le monde comme au lit d'ailleurs ... mais je lui ai quand même avoué ... ça l'a agacé sur l'instant, il m'a crié qu'il ne voulait pas ce type de relation et qu'il ne ressentait rien de plus que des sentiments amicaux pour moi ... on est alors parti chacun de notre côté pour réfléchir. On n'a pas pu se parler au Brésil pour les raisons que l'on connaît, donc on s'est retrouvé à Abu Dhabi. »
Je m'arrête pour reprendre mon souffle, cette histoire ne me quitte vraiment pas. Pierre, attentif, m'incite alors à continuer.
« Lance m'a demandé si l'on pouvait rester amis, et j'ai accepté. Par contre, nous avons arrêté notre "association" sur ma demande, car je savais que je serai déçu si je continuais. Il a trouvé ça dommage, mais il ne s'y est pas opposé, même s'il lui arrive de me refaire des avances ... nous en sommes là depuis, mais je suppose que mes sentiments ne sont pas vraiment partis, même si j'ai laissé tombé ... »
Silence alors que je regarde au loin, Pierre se montrant compréhensif en me disant :
« C'est la vie, tu sais ... ça arrive les histoires comme ça ... que te dire là-dessus ... ? ... Personnellement, je ne sais pas ... »
Il est alors coupé par une sonnerie dans sa poche alors qu'il s'apprête à continuer à me donner son ressenti. Nous nous levons et Pierre prend son téléphone. Je le vois alors froncer les sourcils et écarquiller les yeux, dans lesquels se montre un soupçon d'incertitude, peut-être même ... d'inquiétude ?
Il relève la tête vers moi, alors que je l'observe intrigué :
« Il faut que je réponde. »
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Qui appelle donc notre Pierrot ? Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ?Je vous laisse faire vos suppositions.
Que pensez-vous de la liaison d'Esteban aussi ? Je ne savais pas trop comment l'exprimer ...
À part ça, je m'excuse de mon retard, je n'ai pas eu beaucoup de temps depuis mon arrivée sur mon lieu de vacances, mais sachez que le prochain chapitre est pratiquement tout trouvé et que j'ai commencé à l'écrire.
J'espère que celui-là vous a plu quand même 😊.
D'ailleurs, si vous voulez, vous pouvez me dire ce que vous pensez à propos du prochain chapitre ... j'appelle ça dès pronos, et j'expérimente déjà ça avec des personnes de mon entourage, le retour est très intéressant pour moi.
Sinon ... quel fin de GP dimanche dernier ! Et on a un dans 3 jours ! Déjà ! Quelle vie ...
En tout cas, un grand merci encore à vous de me lire, j'ai dépassé les 1,14K de lecture grâce à vous et ça me fait extrêmement plaisir 🥰 !!! Et dire que j'ai eu la 1ère idée en novembre (celle de l'accident à Silverstone, justement) et que j'ai mis la fanfic à l'écrit en avril, il y a pratiquement 4 mois ... juste whaouh !
À bientôt pour la suite 😉😉