IMMORTELS : ANGELS ACADEMY (...

By evegssm

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Elle-Rhyne est une espèce d'ange extrêmement rare. Le Conseil Céleste ne peut la laisser en liberté, alors il... More

P r e m i é r e m e n t
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Merci les zamis
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Hola la populaziiiiion

Chapitre 31

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By evegssm

La trahison est une cicatrice douloureuse à la vie.  Elle fait plus mal que le chagrin.

Je me réveille, bercée par le vent qui chantonne dans mes oreilles mais je suis trop épuisée pour faire le moindre mouvement. Et je n'ai pas envie de bouger, je suis beaucoup trop à l'aise contre la chaleur qui me caresse, chassant le froid envahissant. Une bourrasque me fait frissonner et cette fois-ci, j'ouvre brusquement les paupières. Mon regard se pose d'abord sur le ciel prêt à s'endormir, avant de fixer un visage sublime et masculin. Caressés par les vent, le cheveux sombres de Knox volent et dévoile un peu plus son profil parfait.

Il me porte tout contre lui, un bras sous mon dos et l'autre sous mes genoux, le visage concentré sur l'horizon. Même si son visage est une masque d'impassibilité, je peux voir les réflexions fusées dans son esprit, trop nombreuses pour être totalement invisibles.

Je pose ma tête sur son torse, avec la désagréable sensation qu'elle pèse une tonne avant de frotter doucement ma joue contre son t-shirt, pour m'imprégner de son odeur, de sa chaleur. Me rassurer. Il tressaillit, avant de poser les yeux sur moi, son expression se radoucissant.

— Où est-ce qu'on va ?

Ma voix semble bizarre, plus  profonde, presque caverneuse, semblant émerger en échos de la coquille vide que je suis apparemment devenue. Knox me sonde du regard, comme s'il s'attendait à me voir à tout moment pété les plombs comme tout à l'heure. Et ça aurait été le cas, si je n'étais pas aussi exténue. J'ai l'impression d'être complément vide, sans aucune énergie. L'attaque magique m'a complètement éreintée, et la révélation de la potentielle trahison d'Osh a finit par m'achever.

Mais je garde espoir. Mon Osh n'aurait jamais pu me faire ça, jamais. Le sbire a du lui donner un faux nom, tout ça n'est rien d'autre qu'une tentative pour provoquer ma haine à l'encontre de mon ami, pour nous diviser. Du moins, je l'espère de tout mon cœur.

Je ne pourrais jamais lui pardonner s'il m'a vraiment trahit, s'il à réellement attenté à ma vie.

— Dans mon temple. Pas question que tu restes à l'académie, après ce qu'il vient de se passer. Un autre danger peut rôder. Je vais te soigner, et demain nous iront rendre une petite visite de courtoisie à Ezore.

— Je n'aurai pas dû guérir grâce à mes pouvoirs ?

— Sûrement, mais tu as sûrement épuiser trop de magie lorsque tu as tuer Siu.

— Les pouvoirs ne sont pas inépuisables ?

— Oui, et non. Ils ont juste besoin d'être requinqués après une trop grosse utilisation. Ils sont toujours là, en toi, mais tu es trop faible pour faire appel à eux. Les miens aussi sont très diminués. Un champ de force très puissant entourait la bibliothèque, c'est pour ça que j'ai pris autant de temps à venir : j'étais occupé à le déjouer.

Et il est apparue pile poil au bon moment.

Je hoche la tête, avant de me rendre compte de ce qu'il avait dit précédemment. Qu'est-ce qu'Ezore a avoir avec tout ça ?

Ezore est une sorte de Seigneur des Déchus sur terre. C'est un hybride, mi-vampire mi-démon qui est le propriétaire d'une tanière d'être obscure qui s'adonnent à la débauche. C'est également une connaissance de Knox, et même s'il l'appelle « Mon veil ami » je sais qu'une rancœur les lies.

— Pourquoi allons-nous voir Ezore ?

—  Siu était l'une de ses Créatures.

Un frisson me parcours, lorsque je repense à cette bête monstrueuse.

— « Ses créatures » ? Qu'est-ce que c'est ?

— Des tueurs à gage qui travailles à son compte. Elle était également une de ses maîtresses.

Berk. Mon visage doit exprimer tout le dégoût que je ressens car Knox m'envoie un petit sourire en coin. Je n'essaye même pas d'imaginer comment ils faisaient pour copuler, au risque de traumatiser mon esprit et de finir aliénée.

— Ezore aime tout ce qui est unique. Et elle était la seule de son espèce.

Son regard se durcit. Et je comprend pourquoi.

— Et comme je suis spéciale, il s'intéressera à moi ?

— C'est déjà le cas.

Je repense au regard qu'avait posé Ezore sur les parcelles de mon corps nues. Ses yeux s'étaient illuminés avec convoitise et désire. Mais ce n'était pas seulement un désire sexuel, c'était surtout un désire matérialiste. Il s'était montrer très charmant avec moi, et n'avais pas hésiter à répondre à mes questions. Mais il n'a agit comme ça seulement pour m'amadouer, attiser ma confiance en lui.

Nous arrivons au-dessus de l'ouverture du toit de la chambre de Knox. Il pénètre dans le trou, et nous nous glissons dans sa tanière. Knox remplie ses ailes dans son dos, avant de me déposer sur le sol. Je baisse les yeux sur ma tenue et me rend compte que mes vêtements sont tachés de sang et une odeur de fumé s'y est imprégner. Je grimace de dégoût.

— Il faut que je nettoie tout ça.

Knox attrape un nécessaire de toilette, puis je le suis en dehors du temple. Nous marchons sur l'herbe humide sans un bruit, et si je n'avais pas été attaquée ce soir, je n'aurais pas eu besoin de sa présence pendant que je prenais mon.  Mais mieux vaut qu'il soit à mes côtés, au cas-où je suis de nouveau victime d'une tentative d'assassinat. Nous arrivons finalement devant la riviére, Knox dépose le nécessaire de toilette entre mes bras.

— Tu peux te retourner, s'il-te-plaît ?

Je me tourne vers Knox qui me dévisage comme s'il s'attend à tout moment de me voir m'étaler sur le sol et tomber dans les pommes. Je dois vraiment avec une sale gueule pour qu'il ait l'air si préoccupé par ma santé.

— Tu ne comptes quand même pas m'aider à prendre ma toilette ?

— J'y songe fortement, répond-t-il le plus sérieusement possible. Et je sais, qu'il ne rigole absolument pas.

Je lève les yeux au ciel.

— Je suis assez en forme pour prendre un bain seule. Retournes-toi s'il-te-plait.

Il reste campé là pendant quelques secondes, en me sondant. Et je sais qu'il cherche une faille afin de pouvoir obtenir gain de cause. Mais je n'ai pas besoin d'être assisté, et je le lui montre trés bien en lui lançant un regard déterminé. Il cède.

— Essaye de faire vite, on a une longue soirée qui nous attend.

Il se retourne finalement, et j'enfonce ma tête dans mes épaules. Je n'ai aucunement envie de continuer la soirée, encore moins si nous devons aller voir Ezore et que je sois obligée de jouer un rôle. J'ai reçu trop de pression aujourd'hui : d'abord, on m'enlève certaines de mes puces, ensuite j'embrasse Knox, puis j'apprend que Viskaya est amoureuse d'un hommes qu'elle ne pourra jamais avoir, ensuite je me fais attaquer par une bête cauchemardesque, pour finir par la calciner.

Ça fais un peu trop pour une journée.

Depuis que je l'ai laisser émerger, la chose en moi est beaucoup plus silencieuse. Comme si le fait de l'avoir laisser émerger, de l'avoir laisser utiliser ma magie à fin de mettre un terme à l'existence de Siu l'avait calmée.

Je retire doucement ma veste, puis mon t-shirt avant de le jeter sur le sol. Au niveau de mon avant bras gauche, là où Siu m'a touchée j'ai une coupure du poignet jusqu'au milieu de l'avant bras. Mon sang à coaguler autour de la blessure et je sais que sans mes pouvoirs je saignerais toujours. Je me retiens de retiré les amas avec mes ongles. J'enlève ensuite mes chaussures à l'aide de mes pieds, avant de défaire les boutons de mon pantalon. Je le laisse tomber sur le sol, et lorsque je tente de libérer ma jambe droite du tissus, je grimace de douleur. Je n'ose même pas baisser les yeux vers ma blessure à l'aine, de peur de voir sa gravité et d'en perdre connaissance.

Je me dirige vers la rivière, et cette fois-ci je n'hésite pas à plonger mon corps dans cette source d'eau pure. Je la laisse me recouvrir, me purifier, débarrasser mon corps de cette crasse et de ce sang. L'eau froide ne me dérange même pas, je la laisse entourer mon corps, en appréciant sa morsure.

Je frotte mon corps avec mes mains, débarrasse mes blessures de toutes hémoglobines, de toutes souillures. Je ne suis même pas dérangée par la froideur de l'eau. Au contraire, elle me revigore, me débarrasse de mes courbatures et détend mes muscles ankylosés. Je me laisser plonge la tête dans l'eau, nettoyant mes cheveux et mon visage transpirant.

Je finis finalement mon bain, avec l'agréable sensation d'être comme neuve. Je me sèche, en passant très doucement la serviette sur mes plaies avant de remettre mon soutient-gorge. Mes blessures à l'aine et à l'avant-bras sont assez importante, mais ne me font étonnement pas plus mal que ça. Je m'entoure de la serviette, avant d'attraper mes vêtements souillés par le sang.

— Rentrons.

J'avance aux côtés de Knox, qui est étrangement silencieux. Pas qu'il soit très bavard d'habitude, mais aujourd'hui son silence est si bruyant, que je peux que l'entendre. Même si aucun mot ne sort de sa bouche, son corps, lui, murmures des choses inaudibles.

Lorsque nous rentrons au temple, Knox me laisser aller seule dans la chambre, tandis qu'il reste en bas. Il ne me dit pas pourquoi, et je suis trop exténuée pour jouer les indiscrètes. Je monte dans la chambre, jette mes affaires sur le sol et me laisse tomber sur le lit. J'observe le ciel bleu nuit à travers l'énorme trou dans le plafond, et je comprend pourquoi je suis aussi... bizarre.

C'est parce que je me sens coupables. Coupable de ne pas me sentir non-coupable. Coupable de n'éprouver aucune culpabilité, aucune honte de pitié pour avoir mît fin à la vie d'être. Aussi monstrueuse fut-elle, Siu était un être vivant. Et je lui ai ôter la vie.

J'ai tué une personne, et je n'éprouve aucun remords. Peut-être suis-je un monstre, au fond ? Comment peux-t-on tué un être de chair et de sang, et ne pas être le moins du monde désolée ?

Nous avons tous notre part d'ombre. La mienne vient dans aucun doute de se dévoiler au grand jour.

Je me lève et me dirige vers le commode de Knox, pour enfiler un t-shirt. Il m'arrive jusqu'à mi-cuisse, et j'enfile ma culotte par la suite. Elle est un peu tachée par le sang sur la partie près de mon aine, mais peu m'importe. J'enroule la serviette autour de mes cheveux, pour éviter qu'il mouille le sol pierreux.

Les pattes de Siu ont balafré avec fureur mes avant-bras de lignes rouges. L'entaille sur mon avant-bras gauche saigne encore. Je remonte le t-shirt assez haut pour voir la blessure sur ma cuisse. C'est un trou placé très haut. Cette bête a essayé de percer mon artère fémorale. Elle avait eu l'intention de me tuer, mais c'est moi qui l'ai finalement tuée. Sa mort ne me fait toujours aucun effet. C'est un vaste espace indolore. Peut-être aurais-je des remords le lendemain, peut-être pas. Parfois on reste insensible simplement parce que le contraire ne servirait à rien. Parfois, l'insensibilité permet de ne pas devenir dingue.

Lorsque je retourne me redresse, Knox entre dans la chambre avec une housse de vêtements sur les bras. Il l'a posé sur la coiffeuse à la vitre du miroir complémentèrent briser, avant de s'assoir dans sur le lit, face à moi.

— Qu'est-ce que c'est ?

— Ta tenue, pour lorsqu'on ira voir Ezore. Mais montre moi tes blessures avant.

Je m'installe à côté de lui en lissant le t-shirt pour qu'il soit parfaitement décente et lui tend mon bras.
Il le prend de ses deux mains pour le soulever, le pliant afin de mieux voir la blessure. Ses doigts ont l'air plus grands qu'ils ne le sont, leur contact plus intime que je ne m'y suis attendue.

— Certains muscles ont été déchirés.

— Certains muscles on été déchirés, ça devrait faire mal. Mais j'ai l'impression de ne pas pouvoir ressentir quoi que ce soit, en ce moment.

Il pose sa main chaude, presque bouillante, sur mon front.

— Tu es en état de choc, ton front est froid au toucher. . Tu as besoin d'être soignée et mise au chaud.

Je retire ma main.

— Je n'ai pas assez d'énergie pour me soigner, et t'es pouvoirs sont aussi diminués. Il va falloir que je me contente de quelques bandages.

— Je peux te guérir par une autre forme de magie.

Je le questionne du regard

— C'est une méthode assez... intime.

Je pose ma main dans la sienne et il attrape fermement la mienne en la repliant au niveau du coude. Elle est positionner de façon à ce que je ne puisse pas la retirer.

— Ça va faire mal ?

— Un peu au début.

— Je peux guérir ta plaie, mais pas avec mes mains.

— Tu veux dire que tu vas lécher la plaie pour la refermer ?

— Oui.

Intriguée, je gardai les yeux fixés sur lui.

Il se penche vers mon bras tandis que mon visage est un masque d'incrédulité. Son haleine est presque brûlante contre ma peau, puis sa langue passe légèrement sur ma plaie.

Je frissonne.

— Je t'ai fait mal ?

— Non, je... non.

J'en perd mes mots, beaucoup trop surprise par la sensation qui s'était nichée en moi. Knox raffermit sa prise sur mon bras, et le sang se met à couler, je grimace. Avant qu'il ne tombe de mon bras aux draps, il pose sa langue dans la blessure et avec une lenteur déconcertante, lèche l'intérieur. Immédiatement, la douleur cinglante me fait trembler et serrer les dents. Mais Knox tient mon bras fermement, et je ne peux plus le retirer.

Sa langue explore ma plaie béante, mes tendons déchirés, aspire le sang, lèche, fouille, et soudain, la douleur disparaît pour laisser place à une sensation enivrante de magie traversant mes veines. C'est tellement grisant, que je perd partiellement le contrôle de mon corps et m'appuie contre lui pour ne pas tomber sous cette avalanche de magie brute.

Knox ferme les yeux, concentré à la tâche, alors que mon corps commence à réagir d'une façon tout sauf attendue. C'était comme si ma plaie était direction relié a une partie tout autre de mon anatomie. Avant que je ne me m'en rende compte, mes gémissements de douleurs deviennent plaisir. Je me mord la lèvre inférieur pour essayer de me contrôler, mais c'est comme si mon corps ne me répondait plus. Knox plonge les yeux dans les miens, et je bascule la tête en arrière, comme foudroyer par une vague de magie quittant ses yeux pour venir plonger dans mon âme.

Il avait raison, cette magie est intime, beaucoup même. Je serre les cuisses et ferme les yeux, essayant de retrouver mon calme, mais une nouvelle bourrasque de magie me fait voler, et je me laisse complètement aller à ce plaisir coupable.

Ma peau commence à rayonner, luminescente dans la lumière douce de la chambre. Je jette un regard vers lui, mais ses yeux sont baissés, concentrés sur son travail. La chaleur de sa magie emplie la plaie, l'inondant à tel point que je crains d'en recevoir trop. Knox commence également à rayonner. Sa peau brille comme un clair de lune dans une flaque d'eau. Sauf que ce clair de lune vient des profondeurs de son corps, en ombres brillantes et noires se succédant sous sa peau.

Des volutes de pouvoirs chauffent doucement la pièce, et je rend alors compte qu'il s'agit de ma propre magie. Elle grandit, encore et encore et la partie la plus intime de mon corps fait de même, comme directement lié à la bouche de knox, et ma magie qui sature l'air jusqu'à jaillir sans crier gare.

Nos deux pouvoirs fusionnent l'un vers l'autre et, le temps d'un soupir, la chaleur de guérison de Knox flotte à la surface de ma chaleur. Puis les deux chaleurs se déversèrent l'une dans l'autre, s'unissant dans une vague de magie qui courbe les échines, fait danser les peaux, arque les corps.

Knox leva son visage de mon bras.

— Qu'est-ce que...

Le pouvoir coule à travers nous en un flot de chaleur, d'incandescence, qui se noue au plus profond de mon corps jusqu'à me couper le souffle. Puis le pouvoir se déverse à l'extérieur de mes doigts comme un poing s'ouvrant brutalement, tentant vainement de saisir l'insaisissable. Je laisse échapper un cri de plaisir et le pouvoir explose en une bombe éclatante.

Je vois Knox à travers une espèce de brouillard brillant. Il se tient sur les genoux. Il tend une main comme pour éviter un coup, puis le pouvoir vint le frapper de plein fouet. Il se retrouve plaquée contre le mur par une force invisible, si brutalement que quelques pierres se mettent à s'écrouler autour de lui. Puis, mon pouvoir se dirige droit sur lui, mais il réussit à se défaire de cette emprise avant qu'un jet lumineux ne s'abat sur l'endroit où il se tenait une seconde plus tôt.

L'incroyable rayonnement de la pièce s'atténue comme si ma peau absorbait la lumière, l'aspirant de nouveau vers les profondeurs de sa source.
Je m'assois et dévisage mes mains qui gardent encore des traces de cette douce lumière lumineuse. Je pose les yeux sur le mur, les yeux écarquillé de surprise. Il est recouvert d'une substance poudreuse, dorée comme...

— De la poussière d'anges...

Sa voix est un mélange de stupéfaction et d'émerveillement.
Je tourne la tête vers Knox, mais ses yeux restes braqués sur le mur doré. Dos à moi, il approche doucement sa main, avant de stopper net son geste, comme s'il craignait que la substance ne dissout ses doigts. Il tourne la tête vers moi, les yeux brillant d'une lueur que je ne peux décrire.

— Comment est-ce possible ?

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