IMMORTELS : ANGELS ACADEMY (...

Від evegssm

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Elle-Rhyne est une espèce d'ange extrêmement rare. Le Conseil Céleste ne peut la laisser en liberté, alors il... Більше

P r e m i é r e m e n t
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Merci les zamis
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Hola la populaziiiiion

Chapitre 22

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Від evegssm

Un moment d'inattention, et la vie bascule.

Je hurle... et atterris brutalement sur mon postérieur, mains arc-boutées contre les draps luxueux d'un lit.

— Oufff.

Jurant intérieurement qu'un cri de surprise ait pu m'échapper, je m'assoie sur le lit, essayant de reprendre mon souffle.

— Tu veux que je meurs d'une crise cardiaque ? parvenais-je à articuler après un silence bien trop long.

Knox se tient au-dessus de moi, vision sortie tout droit d'une peinture du ciel et de l'enfer. De l'une ou de l'autre.

— Si j'avais voulu te tuer, tu serais morte.

Ignorant ses paroles menaçantes, j'inspecte mon nouvel environnement.
Je me rend alors compte que je suis à l'intérieure du temple en ruine devant lequel il me donnait mes cours de combat. Knox a réussi à créer un coin cosy dans une des pièces qui n'est pas démolie. Il allume une bougie posée sur un amas de pierre,  j'admire les deux immenses fenêtres projetet leur mosaïque de couleurs sur le sol pierreux et les murs où des tapisseries sont accrochées pour masquer les trous. Le lit sur lequel je suis tombée est énorme, assez large pour contenir cinq personnes et ses draps soyeux glissent sur la peau.

— Tu t'es fait une chambre dans les ruines du temple ?! Demandais-je, ahurie.

Je me suis souvent demandé si Knox dormait à l'académie. Je ne le voyais pas traîner dans les couloirs le soir, -excepté la nuit où Eddine est mort, ce qui s'avère assez suspect finalement-, mais désormais j'ai ma réponse : il s'est créé un petit hôtel particulier, tranquille dans son coin. Non mais j'hallucine...

— Je peux me dématérialiser. J'ai juste à descendre sur terre et prendre des objets, pour les ramener ici, sa voix est toujours froide et distante.

J'ai déjà été témoin de sa dématérialisation lorsque nous sommes partis sur Terre. Je jette un coup d'œil sur l'énorme lit à baldaquin sans rideaux sur lequel je suis.

— Mais tu n'as pas transporté ce lit ici quand même.

Il hausse les épaules.

— Tu ne devrais pas me sous-estimer.

L'ignorant, je me remets debout, masquant péniblement le besoin urgent que j'avais de masser mon coccyx meurtri. Les fesses et le bras cassé... et moi qui voulait m'entraîner.

— Tu es toujours aussi délicat pour faire choir tes passagers ? grognais-je. Espèce de brute.

Il s'approche de moi, jusqu'à poser sa main chaude contre ma gorge et plonger ses yeux dans les miens. Il ouvre plus grand ses doigts contre ma gorge et la serre doucement.

— J'aurais pu te laisser tomber la tête la première et te briser la nuque, murmure-t-il tout bas.

Mon cœur rate un battement.

— J'aurais pu mettre fin à ta vie en un seul mouvement, et je peux toujours le faire. J'ai tué de nombreuses personnes tu sais, une de plus ça ne change rien pour moi.

Je me pétrifie. Un froid insidieux s'empare de moi tandis que la peur rampe dans mon ventre. Mes mains deviennent moites et mon cœur bat à tout rompre tandis que la chose en moi, se réveille doucement. Elle semble apparaître seulement quand Knox est dans les parages.

Je me demande alors si le je connais vraiment. Si l'image que j'ai créée autour de lui n'était pas un ramassis de conneries, c'est un ange noir après tout, il n'est pas censé être un Saint. Mais il a tué des personnes, et cette aveu me choque autant qu'il m'intrigue. J'aurais dû crier, fuir, mais je ne pouvais m'empêcher de vouloir savoir qui il est vraiment. La noirceur qui se cache sous ses paupières sombres est ancienne, puissante. Knox est bien plus âgé que ce qu'il en a l'air. Il est arrivé que des anges noirs d'une centaines d'années intègrent l'académie afin de "guérir". Et si Knox était l'un de ces centenaires ?

— Tu as peur ? Il me demande avec un sourire satisfait.

Je sais ce qu'il tente de faire, j'ai conscience de la distance qu'il essaye de créer par la peur. J'ai souvent fait la même chose, lorsqu'une personne s'approchait de moi et commençait à me connaître au point de me rendre faible, je la faisais fuir. Ça avait marché avec un bon nombre d'élèves, et Knox essaye désormais d'utiliser cette technique contre moi. Je respire profondément pour essayer d'apaiser le tambourinement de mon cœur. Ma gorge gonfle sous sa paume avant que mon souffle ne s'abat sur son visage si près du mien et que l'une de ses mèches sombre tombe sur mon front.

— Tu es puissant, ce serait bête de ne pas avoir peur de toi, avouais-je.

Un sourire félin s'empare de son visage, ses doigts se serrent plus forts autour de ma gorge et je pose doucement ma main sur la sienne.

— Mais je ne fuirai pas Knox, sache-le.

Ses yeux s'enflamment et il recule de quelques pas. Je me relève pour lui faire face, mon cœur tambourine dans ma poitrine alors que j'observe cette être magnifique en face de moi.
Il reste silencieux un long moment avant dire d'un voix calme :

— Pourtant, tu m'as choisi. Tu regrettes déjà ce choix ?

Je relève brusquement la tête pour le fusiller du regard. 

— Je ne t'ai pas choisit Knox. Osh est mon ami, mais j'ai besoin de tes entraînements.

Son visage se ferme brusquement. Il s'attendait sûrement à ce que je lui saute dans les bras et que je file dans ses draps, mais il ne le mérite pas. Pourquoi est-ce que je lui offrirais ce qu'il souhaite alors qu'il se comporte comme un connard ? Non. Tant qu'il n'auras pas fait ses preuves, il n'obtiendra rien de ma part.

— Alors allons nous entraîner.

Sa voix est dure comme de la roche. Il s'approche de moi et pose sa main sur mon bras en écharpe. Alors que j'allais lui demander ce qu'il fabrique, un courant magique et chaud me traverse. Il se déverse dans mon bras lentement, me donnant l'impression d'être parcourue par des milliers de doigts soyeux. Lorsque Knox retire sa main, la douleur a complètement disparue.

Je le dévisage, avant de retirer mon écharpe et d'étirer mon bras pour m'assurer qu'il est bel et bien soigné.

— Comment est-ce que t'as fait ça ?

— J'ai juste projeté ma magie hors de mon corps.

— Est-ce que je suis capable de le faire aussi ?

Il me dévisage.

— Même si c'est le cas, tant que tu as ces trucs dans le corps, tu ne pourras pas l'utiliser.

Je sais très bien que les « trucs » ne sont autres que mes puces. Silencieusement, je le suis alors qu'il avance dans les ruines du temple qui sont désormais son chez-lui. En sortant de la chambre, nous arrivons dans un couloir de pierre dont le mur à ma gauche s'est écroulé, donnant sur un immense arbre aux branches garnies de fleurs roses et bleues, éclairé par la lueur du ciel sur le point de laisser le relai à la nuit.

Un instant plus tard, nous descendons des marches étroites. Certaines pierres de l'escalier qui plonge en une spirale ont disparues, et ma descente se fait difficile. Je manque même de tomber et de les dégringoler la tête la première. Je n'ose même pas poser la main sur la rampe en pierre sombre, de peur qu'elle se brise en milles morceaux. Knox, lui, semble serein.

Nous arrivons devant une porte donnant sur une immense pièce. Knox lève la main et un fil translucide s'échappe de ses doigts. La seconde qui suit, les bougies de l'énorme lustre de la salle s'illuminent totalement. Le sol est couvert d'étoiles sculptées qui sont comme le reflet du ciel nocturne, alors que le plafond représente la terre. Pourquoi cette inversion ? Je regarde les murs moulés et porte la main à mon cœur.
D'innombrables symboles gravés à leur surface forment une multitude de volutes et de spirales, de lignes et de carrés. Les plus petits fusionnent pour en composer de plus grands, et ces derniers d'encore plus grands, si bien que l'ensemble semble chargé d'un sens mystérieux.

— Comment est-ce que tu as découvert cet endroit, je demande à Knox.

En retirant mon regard des murs pour les poser sur lui, je remarque qu'il s'est mis en position de combat. Je retire ma capuche avant d'attacher mes cheveux et de faire de même.

— J'ai survolé tout le purgatoire, c'est comme ça que je l'ai découvert.

Une réponse honnête. C'est donc normal si je ne m'étais jamais rendue ici : je ne sais pas voler, et temple semble être à l'extrême opposé de l'académie. Je doute que les autres élèves se soient déjà rendus ici également, ce temple semble ne pas avoir connu de public depuis un sacré bon moment.

Je fais l'erreur de me retourner au moment où il passe sa chemise encore boutonnée par-dessus la tête. Ma bouche devint sèche. Ses épaules sont larges et parfaitement sculptées, comme le reste de son torse. Sa poitrine est ferme, son est ventre plat et fin.

Knox me surprend à l'observer et hausse un sourcil. Je détourne aussitôt les yeux pour les poser sur les moulures au plafond comme si elles étaient les choses les plus intéressantes du monde.

— Je te propose un marché, il me lance.

Là, je suis intéressée.

J'arrête mon analyse intensive des moulures pour plonger mes yeux dans les siens.

Ne regarde pas son torse.
Ne regarde pas son ses abdos.
Ne regarde pas sa ceinture d'apollon.
Mais surtout, ne bave pas...

Je me mets une claque mental.

— Si tu arrives à me mettre un coup, rien qu'un seul, je t'offre la confession de ton choix.

Je hausse les sourcils, avant d'éclater  de rire.
Je dois avouer que je suis plutôt surprise qu'il m'offre cette chance sur un plateau d'argent. Je vais lui sortir les vers du nez comme personne. Mais il semble tellement sûr de sa victoire, que j'ai envie de lui arracher la tête.

J'ai l'air si faible que ça ? Un coup, c'est pas la mer à boire !

— Si tu tiens tant que ça à te confier. Et qu'est-ce que tu as à gagner, toi ?

Il reste silencieux tellement longtemps, que je sais d'avance que la réponse qui va suivre sera fatale. M'offrant une sourire vicieux, il me lance:

— Une conséquence.

— Une conséquence ? Je répète

Il hoche la tête.

— Tu devras faire une chose pour moi.

Je reste silencieuse en me mordant la lèvre inférieure. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne le sens pas du tout là. J'ai beau craindre le pire, l'offre qu'il me fait avec un sourire l'air de dire «  tu te dégonfles », je ne peux faire autre chose qu'accepter ce défi.

— En corps à corps ?

— Tu es perspicace, il répond sarcastiquement.

Je lève les yeux au ciel.

— T'es sûr de toi ? Je n'ai pas envie d'abîmer ta gueule d'ange, je le nargue.

C'est juste de la frime. Même si je me débrouille plutôt bien, je sais que je ne vais pas faire long feu avec Knox mais lui mettre un ou deux coups me satisferait amplement.

— Ne sois pas condescendante, ma douce.

Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas répliquer une réponse cinglante. Il doit remarquer que son petit surnom me tape sur les nerfs car il m'offre un sourire satisfait.
Je décide de jouer le jeu.

— Je ne suis pas condescendante mon lapin en guimauve, je minaude.

Il se crispe et me fusille du regard. Super, il semble aussi enchanté que moi par son surnom. Je jubile.

— Je suis juste déterminée.

Je retire mon sweat-shirt pour éviter que son poids ne me ralentisse. La seconde qui suit, sans plus de cérémonie, il lance un rapide coup de pied circulaire qui m'aurait projeté son pied nu droit dans la figure si je ne m'étais pas jetée en arrière. Je percute le sol sur le dos, le souffle coupé par l'impact.

— Tu veux me tuer ?!

Car si je n'avais pas esquivé le coup, il m'aurait sans aucun doute décroché la tête !

— Tu as de bons réflexes.

C'est ça son excuse ?

À quelques mètres, Knox me considère avec curiosité. Je me redresse, les paumes bien à plat sur le sol poussiéreux, remonte les jambes, roule en arrière et me retrouve soudain sur mes pieds après un bond fulgurant.

— Très joli.

— Pas besoin de me le dire, je le sais, dis-je avec un sourire satisfait.

Puis je décris un cercle autour de lui, à la recherche d'une faille. Knox, campe fermement sur ses jambes musclées, m'invitant à attaquer d'un geste de la main.

— Alors voyons ce dont tu es capable.

Je reporte aussitôt mon attention sur le défi qui m'attend et tente ma chance. Je lui lance un coup de poing, faisant tourner mon poignet pour le percuter de côté ; mais il évite mon attaque, suit le mouvement de ma main et projète sa jambe en un mouvement rasant qui faillit me faucher les pieds. Je bondis juste à temps et me cambre pour effectuer un saut de mains qui me propulse à quelques mètres de lui, hors de portée.

C'est du moins ce que je croyais jusqu'à ce qu'il se propulse en avant par la force de ses ailes si vite que son mouvement est brouillé. Je fait un nouveau flip arrière, puis un autre, me livrant à cette pirouette sans aucun effort. Mais il continue à avancer. Quand je me redresse la dernière fois, je m'accroupis aussitôt, ce qui me met hors de portée du coup qu'il essaye de m'envoyer à la mâchoire.

Son poing frappe l'air et je tente de lui saisir les genoux, mais il s'envole au-dessus de moi, atterrissant dans mon dos avec un bruit sourd. Je pousse de nouveau sur mes pieds et me tourne pour le découvrir en train de sourire, ses yeux sombres jetant des éclairs.

— Tu es avantagé par tes ailes.

— Tu n'es pas si nulle que ça.

Puis son expression se fait plus grave et il sautille sur place, m'invitant de nouveau de la main. Levant les yeux au ciel, je tente un coup de pied papillon.

J'avais vu une fois Osh pratiquer cette figure mais pendant nos entraînements, mais je n'avais eu ni la force ni la détente pour l'exécuter.
Malgré tout, les réflexes de Knox demeurent plus rapides que les miens et je le manque une nouvelle fois. Il rejete son torse en arrière de presque 180°, déploie ses ailes tout en restant debout, et il évite mes jambes tendues.

—Presque, concéda-t-il d'une voix essoufflée.

—Presque, mais pas assez près.

Je souris néanmoins, excitée d'avoir réussi ce coup. Il faut que j'atteigne ses ailes, c'est la faiblesse de chaque anges. Mais Knox prend toujours soin de rester face à moi et ailes repliées dans son dos lorsque je mène l'offensive. Il faut que son attention se dirige vers autre chose que moi, même le temps d'un minuscule instant.

Soudain, le poids du talisman pèse plus lourd sur ma poitrine. Une idée germe dans mon esprit, je la mets directement à exécution. Je décale  légèrement sur la droite pour que mon bijou capture la lumière des cristaux, avant qu'elle n'aveugle Knox.

Il pose sa main devant ses yeux pour éviter le rayon lumineux.

C'est ma chance. Je fond sur lui, mais ce salopard sournois anticipe mon assaut. Il glisse sur la gauche juste avant que je puisse le pousser à terre. Je tends les bras pour amortir ma chute en le dépassant mais avant que j'atterrisse, il me saisit par un bras, me fait tourner en l'air et me plaque au sol. J'atterris à plat dos, Knox au-dessus de moi, son corps allongé sur le mien, ses ailes me bloquant la vue. Il me cloue les poignets sur le sol au-dessus de ma tête, malgré mes efforts pour lui échapper.

La scène est sans aucun doute obscène mais je lutte pour ne pas rougir.

— C'était tellement facile.

Je me débats toujours mais il me colle plus fort contre la pierre froide et glisse un genou entre les miens.

—Accepte la défaite.

Je grogne d'irritation.

Du moins, je me dis que c'est parce que je suis agacée, et pas du tout parce qu'il sent délicieusement bon, une odeur propre de lin, de vent et de nature. Pas non plus parce que son poids contre moi semble complètement naturel, une chaleur languissante afflue soudain dans ma poitrine, comme si l'union de nos deux corps venait de fermer un circuit électrique.

Je m'efforce de résister à cette sensation.

— Tu vois, tu devrais passer plus de temps à t'entraîner, et moins à batifoler, ma douce.

C'est la remarque de trop. Mes yeux lancent des éclaires mais je force mon cœur à ralentir ses battements frénétiques. Je ne peux pas me laisser faire comme ça, je ne peux pas laisser ce petit sourire satisfaisant prendre place sur son visage. Je dois faire un coup de poker. Il faut que je le déconcentre, et une petite chose diabolique sème ses graines dans mon crâne.

Feignant l'acceptation, je relâche mes muscles alors qu'il retire ses mains de mes poignets. Il ne recule pas pour autant, préférant poser ses mains de part et d'autre de mon visage. Nous sommes si proches, que nos haleines se mêlent mais je me force à garder mon sang froid.

— Je suis toute tendue, je murmure d'une voix suave.

Doucement, je fais glisser ma main sur ma gorge pour tracer un chemin dangereux. Ses yeux suivent mes mouvements lents jusqu'à ce que j'atteigne le haut de ma poitrine. Je fait glisser doucement un doigt sur leurs cambrure, avant d'enrouler mes jambes autour de son bassin.

Il reste stoïque contre moi, mais je peux sentir sa respiration s'accélérer. Il a beau vouloir garder un visage neutre, je peux voir ses yeux s'enflammer. Je relève le bassin, pour venir à sa rencontre et ne peux retenir un sourire de satisfaction en sentant sa rigidité contre moi.

Trop facile.

Prenant avantage de cette situation, j'abat brutalement mon poing sa tempe, et il s'écroule sur moi en jurant.

J'éclate de rire.

— Alors c'est qui la plus forte, mon lapin en guimauve ?

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