Sue Me - T1

By rayenntimeo

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- SPIN-OFF DE WHERE ARE THE AVOCADOS - À vingt-huit ans, il est impossible d'être Juge à la Cour Suprême. Mai... More

1. Who does the malin falls in the ravin
2. Mettre les méchants en prison
3. E-mail
4. You fucking doughnut
5. Iris
6. Contacts
7. Pas d'chat, pas d'chocolat
8. Le meurtre parfait
9. Paysonnage
10. Tu le mérites
11. Travail
12. Blablabla
13. Contrôle parental
14. Réfléchis
15. Pertes
16. Noah Bieber
17.1. Des millions
17.2. Des millions
18. Père
19. Fucking Merlin
20.1. IKEA
20.2. IKEA
21. Monter ou démonter
22. Cette femme
23. Ego
24. Coup de feu
25. État d'alerte
26. Impatient
27. Bleu
28. Pourquoi
29. Seul
30. Adolescents
31. Avec elle
32. Un nom
33. Sécurité
35. Endormie
36. Normal
37. Deux contre un
38. Fucked up
39. Fucked her
40. Fucked us
41.1. Pause
41.2. Pause
42. Mags
43. Un mot
44. Ne me cherche pas
45. Ne me force pas
46. Ne me trouve pas
47. Ne me provoque pas
48. Tue-moi
49. Balle
50. Pars
51. Trois
52. Deux
53. Un
54. Zéro
55. Coma
56. S'il te plaît
57. Mon chou
58. Mon petit-ami est cassé
59. Amnésie
60. Drogué
61. Dickhead
62. Regrets
63. First date
Épilogue
yesyesyesyes

34. Marcel

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By rayenntimeo

Nous nous sommes assoupis d'épuisement au bout d'un moment, mais trois heures plus tard, je suis bien éveillé.

Le cul de Margaux est resté appuyé contre ma queue toute la nuit et c'est à cause de mon érection douloureuse que je suis maintenant pleinement conscient, le corps en feu, mais les derniers neurones fonctionnels de mon cerveau me hurlant d'aller prendre une douche froide et de revenir me coucher ni vu ni connu. Pourtant, les grains de beauté sur son épaule, la courbe douce de sa taille, le tissu fin qui lui enrobe délicieusement la fesse, ses lèvres roses entrouvertes et son sein rond qui déborde de son soutien-gorge me donnent envie de la réveiller pour la déguster comme un putain de festin.

En désespoir de cause, j'appuie plus fort ma queue qui est prête à bondir de mon boxer contre ses fesses en gémissant dans ses cheveux. Elle soupire dans son sommeil, se tortille contre moi et ses doigts trouvent instinctivement les miens sur son ventre.

Je bande comme un âne.
Ça ne m'est pas arrivé de me réveiller avec une telle érection depuis mon adolescence.
Ça, aussi, c'est l'effet Margaux.

— Noah, murmure-t-elle lorsque je pose un baiser enfiévré dans son cou.

— Pardon... J'ai envie de toi.

J'inspire son odeur en essayant de réfléchir à quelque chose qui me ferait débander.
Mon ancien employeur, peut-être ? Ouais.

Ça devrait marcher, ça.

Mais dans un sommeil semi-conscient, elle tourne la tête par-dessus son épaule et aspire ma lèvre inférieure dans sa bouche. Je gémis alors malgré moi en l'embrassant passionnément pendant que son corps s'échauffe sous mes doigts. Nos langues s'emmêlent pendant qu'elle remue doucement des hanches pour frotter ses fesses contre mon érection. Une de mes mains saisit son sein à travers son soutif et l'autre lui fait pivoter la tête pour que je puisse lui dévorer les lèvres.

Elle gémit dans ma bouche lorsque je pince son téton. Impatient ce soir, je baisse son vêtement sur son ventre pour la toucher directement. Je roule son téton entre mes doigts jusqu'à ce qu'il durcisse comme une petite perle. Je les pétris un à un, lourds, ronds, doux, moelleux, assez gros pour remplir mes paumes, absolument divins. J'ai envie de me frotter entre eux.
J'ai envie de me frotter sur tout son putain de corps.

— J'adore tes seins.

— J'adore tes mains, chuchote-t-elle entre deux halètements.

— Devine où elles vont après ?

Son gloussement me rend encore plus dur, ce que je n'aurais jamais cru possible.

Dans un état second, je caresse ses flancs, son ventre, fais claquer l'élastique de son string sur ses hanches pour lui arracher un petit cri, pendant qu'elle caresse mes avant-bras, mes biceps, mes cheveux, tout ce qu'elle peut atteindre dans cette position. Son corps brûlant ondule de manière délicieuse contre ma queue, tellement que je pourrais éjaculer dans mon froc.

Je retrouve la petite française inconnue et brûlante qui m'a fait vivre l'une de mes meilleures nuits de baise à vie. Et elle est toute à moi, ici, dans ce lit.

Est-ce que ça paraît que ça fait beaucoup trop longtemps que je n'ai pas baisé ? Non, pas du tout.

Margaux m'arrête entre deux gémissements lorsque je suis sur le point de glisser mes doigts entre ses cuisses.

— Attends... je ne... me suis pas rasée...

— Ce n'est pas grave.

— Mais genre... vraiment pas rasée.

— Si c'est pour trois poils, je ne te ferai pas de cunni, rassure-toi, lui chuchoté-je et elle glousse incontrôlablement.

Elle me regarde par dessus son épaule avec des yeux liquides, ivres de désir.

— Et si tu découvres que j'ai un pénis ? Et si j'ai des couilles ? En vrai, je suis un homme, Noah. Je m'appelle Marcel dans mes temps libres.

Je donne un coup de reins pour loger mon érection monumentale entre ses fesses et elle retient son souffle.

— Dans ce cas, Marcel, je crois bien que je suis bisexuel.

Elle se remet à rire et je souris.

Puis ses gloussements se transforment en petits soupirs lorsque je glisse la main sous sa culotte.

— Et si je n'ai pas envie de toi ?

— Tu serais une menteuse.

Elle est glissante, chaude et trempée. Infiniment douce.

Je glisse mon majeur en elle en grognant dans son cou. Elle se tend, tremble.

Je la fais pivoter sur le dos pour mieux la caresser et elle écarte largement les jambes et en gémissement sans aucune gêne. Et c'est ce que j'adore avec elle. Dans la vie, elle est réservée et négligente dans son apparence, mais se transforme en une petite boule de feu irrésistible au lit. Ma petite boule de feu à moi.

— Je n'ai pas envie de toi, proteste-t-elle toujours en se tordant sous mon doigt.

— Tu mens beaucoup, non ?

Un deuxième doigt se joint au premier pendant que je ravage sa bouche de la mienne. Son corps aspire mes doigts avec des petits bruits d'eau et les laisse repartir à regret. Je deviens complètement fou lorsqu'elle roule fiévreusement la tête sur l'oreiller en plaquant ses mains sur ses seins.

Je continue à la baiser avec mes doigts pour la préparer jusqu'à ce qu'elle ronchonne :

— Tu vas te mettre au travail, oui ou non ?

J'éclate de rire.

Il n'y a personne qui pourrait me faire rire et bander à la fois dans un moment pareil.

— J'arrive, mon chou.

Je me débarrasse de mon sous-vêtement et la débarrasse du sien.

Je grimpe sur elle, lui écarte largement les cuisse et me glisse en elle d'un seul mouvement qui nous coupe tous les deux le souffle. Parce qu'il n'y a pas de chichis entre nous, pas de préliminaires inutiles.

Ma peau se couvre d'une fine pellicule de sueur pendant que je m'avance en elle, centimètre par centimètre pour ne pas lui faire mal. Ses yeux se révulsent et ses ongles se plantent dans mes épaules lorsque je suis entièrement installé au fond de son corps. Je m'appuie sur mes bras tremblants pour me retirer et pour revenir en elle avec un long gémissement qui me brûle la gorge. Margaux pousse un cri lorsque je répète la manœuvre, le souffle court, les joues cramoisies, les traits crispés de plaisir.

Nous sommes tous les deux sur le bord de jouir et nous avons à peine commencé.

Putain.

Je me sens déjà sur le point d'avoir l'orgasme le plus dévastateur de ma vie alors que je viens à peine de faire le quatrième va-et-vient. Dans ses yeux, je sais qu'elle se sent comme ça aussi.

C'est trop. Trop bon, trop fort, trop.

— Tu le sens ? chuchoté-je en lui mordillant le lobe.

Son corps se cambre contre moi lorsque je fais un cercle avec mon bassin pour frotter son clitoris. Elle pousse un cri en plaquant ses seins contre mon torse.

— Peut-être que si tu mettais du cœur à la besogne, je sentirais quelque chose, me provoque-t-elle en me mordant à son tour méchamment l'oreille.

— Petite. garce. exaspérante, grogné-je en ponctuant chaque mot d'un puissant coup de reins.

Je commence à la baiser vraiment.

De grands coups qui font remonter son corps sur le lit et en fait claquer la tête contre le mur.

Elle gémit. Je râle.
Elle me griffe. Je la mords.

Les premières larmes coulent au coin de ses yeux. Dans un grognement, je double d'ardeur.

À peine trois minutes plus tard, son corps se tend et se relâche pendant qu'elle jouit dans un hurlement et j'éjacule à mon tour avec soulagement.

C'était la baise la plus intense de toute ma vie.

Je ne sais même pas ce qui vient de se passer.

J'enfouis mon visage dans son cou et elle halète  en s'essuyant les joues :

— Tu pues.

— Toi aussi.

Je l'embrasse avec tout ce que j'ai jusqu'à ce qu'elle se laisse aller et qu'elle me rende mon baiser avec tout autant d'ardeur. Je l'écrase sous mon poids contre le matelas et elle soupire en encerclant ma taille de ses jambes.

J'essuie le reste de ses larmes de mes pouces.

— Si tu n'avais pas envie de moi comme ça, Dieu sait ce qui va m'arriver lorsque tu auras vraiment envie de moi, la réprimandé-je en lui pinçant ensuite le bout du nez.

Elle glousse à nouveau et je râle parce que je savais pertinemment qu'elle faisait exprès.

— Tu aimes me faire chier, hein ?

— Absolument.

Cette fois, elle cherche mes lèvres et je lui offre sans protestation aucune en me sentant merveilleusement bien dans ses bras, sur elle, encore en elle.

— Tu prends la pilule ?

Elle me lève la lèvre inférieure.

— Oui.

— Excellent.

Puis à ma grande surprise, deux minutes à peine et plusieurs baisers plus tard, Margaux se frotte de nouveau contre moi avec du désir plein les yeux.

Je fais mine de soupirer dramatiquement.

— Je viens juste de veiller à cela, femme.

— Eh !

— Et si, au fond, j'étais une femme ?

Elle retient son rire à grande peine et je ne lutte pas contre mon sourire.

— Alors je suis bisexuelle aussi. Baise-moi encore.

À ses ordres. Toujours.

🥰

un petit sandwich à leur image : réel, exaspérant, drôle, mais fucking hot.

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