Bodypump [KatsuDeku]

Par S_E_Meyrow

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Deku est un Héros et il souhaite modifier son entraînement en commençant des cours de Bodypump. Lorsqu'il ren... Plus

#01 Un cours.
#02 Un prof.
#03 Un élève.
#04 Une soirée.
#05 Un aveu.
#06 C'est bon.
#07 Une attente.
#08 Un fan obsessionnel.
#10 Une promesse.
#11 Une absence.
#12 "Pas Todo".
#13 Une réconciliation.
#14 Un Héros.
#15 Un vide.
#16 Un retour.
#17 Une idée.
#18 Un souper.
#19 Pas à pas.
#20 Une plante.
#21 Un jeu.
#22 Bodypump.
#23 Un hammam.

#09 Un repas.

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Par S_E_Meyrow

IZUKU

- Oui, par où commencer pour faire simple ?
          - Votre rencontre, suggérai-je.
          - C'était dans le club, il a commencé avant moi, mais il donnait déjà ses cours, donc il y était depuis au moins trois mois. J'étais le novice, m'avoue-t-il en grimaçant. Ce club m'a permis de tout recommencer à zéro. J'ai pu cacher mon alter et tenter d'avoir un comportement acceptable. Lorsque je suis arrivé, je suis directement tombé sur lui. Et ce fut immédiat. Son regard froid m'a mis en pétard ! Je croyais qu'il en voulait à la terre entière, mais ce n'était pas du tout le cas. Je lui ai mal parlé et il m'a calmé avec son alter de la glace. Je me suis retenu d'utiliser le mien. Il fallait que je lui montre que je ne suis pas un méchant, et même si j'ai mal agi dès les premières secondes, je me suis rapidement excusé. Il m'a pardonné à condition que je me tienne à carreau pendant les trois mois d'essai. Évidemment, c'est lui que j'ai dû suivre pendant tout ce temps. Au début, j'étais jaloux de lui, mais plus le temps avançait et plus ça me plaisait d'être à ses côtés.

          La sonnette retentit, l'obligeant à interrompre son discours. Il se lève, mais étant plus rapide que lui, j'arrive à sa porte en un éclair vert. De mon sourire en coin, je me permets d'ouvrir la porte pour accueillir le livreur. Ayant déjà payé lors de la commande, je prends simplement le sac, tout en lui donnant un pourboire, puis je ferme la porte.

          - Tu as payé ?
          - Est-ce un problème ? Lui demandai-je sur le même ton.
          - J'aimerais bien payer, un jour.
          - Ne t'en fais pas, tu auras bien d'autres occasions.
          - Tu as l'air sûr de toi, chuchote-t-il.
          - Évidemment. Tu me plais et ça se passe bien entre nous. Le moment où nous parlerons de notre couple arrivera bien plus vite que prévu.
          - Pour ça, faut coucher ensemble.
          - Pour ça, faut que tu termines de me raconter ton histoire, dis-je en employant ses mots.

          Il lève les yeux au ciel, puis il met la table. Je souhaite l'aider, mais il tape le dos de ma main du bout de ses doigts. Étrangement, ce geste me donne le sourire. Et il le remarque. Ses lèvres s'étirent et pour une fois, il n'a pas l'air mesquin, mais joueur. Je perçois de la joie aux coins de ses yeux rubis. C'est comme ça que j'aime le voir. Mon cœur s'affole instantanément dans ma poitrine, je ne m'attendais pas à avoir une réaction de la sorte. Encore moins grâce à un simple sourire. Ochaco a raison, mon manque d'amour commence à peser et un rien m'émoustille. Bien qu'au début, je craignais Katsuki, maintenant ce n'est pas le cas. Pas du tout. Pourtant, notre rencontre date presque d'hier. Seulement, je me sens étrangement proche de lui. Proche d'une autre manière qu'une simple rencontre. J'ai cette sensation agréable qui me dit que tout va bien se passer avec lui, parce que c'est lui.

          - À quoi penses-tu pour avoir une tête aussi mignonne, me demande-t-il en employant un ton mi-Katsuki, mi-démon.
          - Rien de bien particulier, souris-je en commençant à manger.
          - Dis-le-moi, je ne vais pas te manger.
          - Ce n'est pas ce que tu disais à notre rencontre.
          - Non, il y a une différence entre : manger et dévorer, me nargue-t-il en me jetant un regard rempli de soif sexuelle.
          - D'accord ! Et... Si, on passait à ton histoire ?
          - Pressé ? Continue-t-il sur le même ton.
          - De quoi ? Non, pas du tout ! Non, non ! Hum... Parle. S'il te plaît.

          Mais il ne fait pas ce que je lui demande. Au lieu de ça, il plonge son regard de braise dans le mien et il le tient. Je ne veux pas qu'il sache que je suis soudainement dans tous mes états. Seulement, je ne suis pas discret et je ne sais pas cacher mes émotions. Il a compris que ma soif dépasse la sienne. En même temps, il le fait exprès ! Sortir de la douche en short et débardeur, c'est de la torture visuelle ! Comment ne pas avoir chaud en voyant ses muscles si bien dessinés. Son corps d'athlète finement sculpté oblige mon regard à se poser dessus pour deviner le reste de son corps... sans les vêtements. Ses abdominaux si durs, son fessier si ferme et son pénis... J'en frissonne de désir.

          Je l'imagine désormais en train d'embrasser mon cou, ma mâchoire, mon lobe, puis terminer sa course sur mes lèvres, en les écrasants de toute son excitation. Je sentirai alors son sexe durcit contre le mien et un hoquet de plaisir s'échappera de ma bouche gonflée par le désir. De ses mains habiles, je rêve qu'il écarte délicatement mes cuisses pour avoir accès...

          - Deku, je te fais l'amour, maintenant, si tu ne me réponds pas.

          Merde, il a deviné. Et moi, comme un idiot qui tente de sortir de mes songes, je ne réponds pas. Je suis trop absorbé par son charisme et mon envie de le sentir en moi. Il me saute alors dessus et m'allonge à même le sol pour s'emparer véritablement de ma bouche qui répond à ce baiser brûlant d'envie. Ça y est, je suis devenu le repas du soir et je ne veux pas le repousser. Alors, je m'agrippe à lui et arrache son vêtement. Je ne contrôle pas ma force et ça le fait rire - tant mieux. Je ne suis pas d'humeur à me prendre la tête. Il me soulève avec facilité et continue de m'embrasser, comme si sa vie en dépendait. La mienne en dépend aussi pour le coup. Je dépends de lui comme mes poumons ont besoin d'oxygène.

          Il me fait mollement tomber sur le matelas et j'en profite pour retirer mon haut avant qu'il ne s'allonge sur moi pour reprendre où il en était. Il descend si rapidement le long de mon corps que je n'ai pas le temps de réaliser qu'il a retiré mon pantalon. Excitant ! En découvrant mon membre tendu à travers le tissu, Katsuki gémit de plaisir, puis, sans attendre, il me retire mon dernier vêtement. Je ne devrais pas comparer nos appétits, il me désire depuis si longtemps. Me voici complètement nu, face à lui. Je n'ai pas le temps de rougir qu'il la prend déjà en bouche. Ça va si vite, trop vite et pourtant...

          - Han !

          Je ne peux empêcher mon corps de cambrer et mes mains s'agripper au matelas. Je retiens très difficilement mes gémissements et ferme les yeux de peur que je m'évanouisse à force d'avoir la tête qui tourne. Et pour cause ! Mon assouvissement à cette faim ardente me prend aux tripes ! Il ne fait que lécher mon pénis, masser mes testicules et parfois, je peux sentir le fond de sa gorge frapper mon gland devenu sensible avec le temps. Pourtant, je me sens défaillir tellement ma jouissance m'élance ! Les muscles de mon corps se tendent et mes cris dépassent les limites de sa chambre à force de me sentir dans sa bouche de cette manière ! Ressentir la succion de ses lèvres me donne des frissons et le son qu'émettent sa langue et sa bouche au contact de mon membre à chaque fois qu'il fait des aller-retour le long de ma verge me... Ah ! C'est inespéré !

          - Ka... Katsuki, arrête !
          - Oh que non !
          - Je ne veux pas venir tant que tu ne m'auras pas pris ! hurlai-je sans me contrôler.
          - Je vois.

          Il arrête tout mouvement, permettant à mon corps de se reposer et de reprendre ses esprits. Je n'avais pas remarqué que ma respiration était aussi rapide, ni que des éclairs verts m'entouraient. J'ai beau ne rien faire et ne pas participer, je me sens essoufflé comme si je venais de faire un marathon. Je garde les yeux fermés, pour éviter de croiser son regard et surtout, pour ne pas rencontrer son sexe qui doit être merveilleux à voir. Je pourrai venir rien qu'en l'observant tellement ma libido est considérable. J'entends des bruits de tiroir, et tout autre que j'ai bien connu dans le temps... Lorsqu'il s'allonge, enfin, sur moi, je ne peux m'empêcher de soupirer de joie. J'enroule mes bras atour de son torse et je le plaque contre moi pour qu'on s'enlace. Un câlin, c'est peut-être niais, mais j'en ai besoin et envie lorsque je fais l'amour. Même si pour le coup, je me fais carrément baiser.

          - Je te prépare ? Chuchote-t-il à mon oreille.
          - Oui.

          Pour réponse, il m'embrasse. Il est plus sauvage qu'avant, car son baiser me dévore les lèvres. Sa langue s'invite dans ma bouche et je laisse largement l'accès. Se rouler une pelle de cette manière m'excite davantage. Soudain, je sens sa main qui me prend le pénis, puis il commence quelques va-et-vient. Quelque chose d'inédit se produit par la suite. Son sexe brûlant se pose contre le mien et il débute une masturbation commune. Il veut sincèrement que je vienne sans me prendre, c'est évident ! À nouveau, je grogne de plaisir, contre ses lèvres, et je crispe mon corps qui retrouve cette sensation de plaisir intense. C'est bon ! C'est si bon, putain ! Sentir cette chaleur à la fois moelleuse et dure, c'est extraordinaire. Et ce liquide pré-séminal, qui s'invite entre nous, est délicieux. Ses lèvres quittent les miennes quelques secondes afin de laisser un gémissement sortir de sa bouche. Mon sexe durcit davantage et son sourire me fait comprendre qu'il aime ça. Pour simple preuve, il insère immédiatement un doigt en moi et c'est une nouvelle vague de plaisir qui parcourt mon corps. Ce n'est pas possible ! Comment fait-il pour m'exciter de plus en plus ? Un second doigt s'ajoute et j'en désire déjà plus ! Je lui fais comprendre en bougeant mes hanches.

          - Tu n'as pas vraiment besoin d'être préparé, à ce que je vois.
          - Dépêche-toi de me prendre, Katchan ! Le suppliai-je en croisant enfin son regard.
          - Tout ce désir en toi...

          Il grogne avant de capturer mes lèvres à nouveau. Son corps colle le mien et sa main gauche cherche quelque chose sur la table de nuit pendant que ses doigts droits jouent en moi. Une fois prêt, après un siècle d'attente, il n'attend plus une seconde et pose son gland contre mon entrée. Il ne bouge pas. Il a mes jambes, écartées, dans ses mains, puis il les pose sur ses épaules pour me prendre par la taille et me soulever légèrement. Ses muscles durcissent et son corps commence à briller par la fine couche de sueur qui le recouvre. Ses yeux, affamés, me fixent pendant que son sourire assoiffé s'agrandit. Putain, prends-moi ou je te retourne !

          - Je sais que tu vas venir en moins de cinq minutes, c'est pour ça que je fais durer le suspense, se moque-t-il.
          - Et toi ? Tu vas venir en combien de temps ?
          - On s'en tape de moi !

          Je n'ai pas le temps de répondre qu'il s'enfonce en moi en un rien de temps. Au début, une petite douleur s'invite en moi et ses premiers aller-retour ne sont pas vraiment agréables. En réalité, rien ne l'est. C'est normal, cela fait longtemps. Mais je sais que le plaisir ne va pas tarder. Je suis suffisamment détendu et excité pour que ça vienne. Et il n'accélère pas le rythme, ce qui m'aide à apprécier cet instant. Il a l'air de savoir comment s'y prendre, car il écoute mon corps. Enfin, après une bonne minute entière, je commence à nouveau à gémir. Et il a vite compris que je ne tiendrais pas, car sa cadence accélère d'un coup. Il n'est pas à sa vitesse maximum, encore moins sa pleine puissance. Mais rien que cette accélération me rend fou, à me faire perdre la tête, comme avant. Le sentir en moi est une délivrance et je lui prouve en hurlant de toutes mes forces. Les voisins ? On s'en fiche, et ça semble lui faire plaisir !

          Son gland frappe contre ma prostate et plus il va vite, plus je sens mon orgasme monter en puissance. Il me rend fou. Je le sens, il se retient et pourtant, je veux qu'il se dépêche ! Mes mains deviennent baladeuses et se jettent sur son torse. Il faut que je trouve son point sensible, et même si ma concentration devient limitée, je m'efforce de faire quelque chose. Je ne peux pas venir tout de suite ! C'est difficile d'ignorer toutes les décharges électriques qui parcourent le même chemin à chacun de ses coups de hanche. De mes testicules à mon gland, puis de ma verge à mes tétons, je sens une vague de plaisir exaltante ! Il faut que je me dépêche ! Ses tétons sont sensibles, car il accélère sa cadence, mais ce n'est pas suffisant, je dois aller plus loin. Ma main gauche trouve ses testicules et j'appuie là où c'est sensible, proche de son anus.

          - Deku !

          Bingo ! Il a grogné mon nom si fort, que je sais très exactement ce qui pourrait le faire venir aussi vite que moi. Il me fixe en fronçant les sourcils et en mordant sa lèvre inférieure, puis, il accélère et m'offre des coups plus puissants. Nos gémissements se mélangent enfin ! Je prends finalement mon sexe en main, tout en continuant à le titiller et je me masturbe pour m'offrir encore plus de plaisir. Et contre toute attente, ça le rend fou. Il frappe si fort en moi que j'en perds mes moyens. Sans m'y attendre, je viens entre nos deux corps et ça provoque une montée de puissance chez Katsuki qui hurle mon nom au moment de venir. Je ne m'y attendais pas et je crois que lui non plus. Après avoir appuyé au fond pour terminer de venir, il s'effondre sur moi, tout en restant à l'intérieur - sa respiration est aussi saccagée que la mienne. Je le serre contre moi, de peur qu'il s'échappe et que tout ceci soit un rêve. C'est la réalité. Je viens d'avoir un orgasme et c'était le meilleur de toute ma vie.

          - Putain, Deku ! Me toucher, ça marque des points et te masturber... Oh, que c'est majestueux ! Et venir entre nous, c'est le comble !
          - À ce point ?
          - Tu n'imagines pas !

          Heureux d'avoir réussi cet exploit, je souris comme un idiot et je le serre davantage contre moi. Je me sens si bien que je ne veux pas briser ce moment. Je souhaite le garder contre moi, toute ma vie. Et je crois qu'en cet instant précis, c'est la même chose de son point de vue. Sa joue frotte mon torse et sa main vient m'enlacer. Il est plus doux que je le pensais. J'aime le savoir comme ça.

          - Je ne veux pas briser ce moment, mais mon pénis est en train de se ramollir et ton rectum a décidé de me sortir de là ! Sans compter que ton sperme commence légèrement à refroidir et à coller entre nous ! Prenons une douche ensemble, ça ira plus vite !

          Aussitôt dit, il se lève et me tend sa main. Bon, eh bien, je n'ai pas le choix. Je la saisis et le rejoins rapidement. Avant qu'on entre dans sa salle de bain, il se retourne, retire le préservatif, fait un nœud et le jette dans une poubelle, puis, il me prend délicatement dans ses bras pour embrasser mon front. Adorable ! J'en rougis.

[...]

          - C'est froid ! se plaint Katsuki en retournant au salon pour manger. Je vais réchauffer tout ça. Tu préfères à la poêle ou au micro-onde ?
          - À la poêle et je vais le faire.
          - Tu veux que je finisse mon histoire ? demande-t-il, en se collant à moi, dans le dos, pour embrasser ma nuque.
          - Cette question n'est pas à poser ! Raconte !
          - Très bien. Je vais résumer et épargner les détails.

          Je peux sentir son sourire pervers derrière moi rien qu'en entendant l'intonation de sa voix. Je pouffe doucement et me concentre sur les plats.

          - Après les trois mois, le club a organisé une petite fête pour m'accueillir comme il se doit - on fait ça avec tout le monde. La soirée s'est éternisée au point de me trouver en tête-à-tête avec Shoto. J'étais arrivé à un stade où je le désirais plus que tout. Je me tapais des mecs au hasard trouvé dans des bars pour me soulager, mais je le voulais, lui. Et j'avais bien compris que j'étais son type. Il avait beau être froid et distant, son regard de glace brûlait bien plus qu'il ne voulait l'admettre ! Et ce soir-là, je n'ai pas hésité une seconde à le plaquer au mur pour l'embrasser.
          - Ton assiette, s'il te plaît.
          - On a fait l'amour à même le sol.
          - Dis plutôt que vous avez baisé.
          - C'était exactement ça ! rit-il. Ensuite, tout s'est enchaîné. Le premier mois était merveilleux. C'est le moment où on apprend à se connaître avant que la routine n'amène sa tronche pour tout foutre en l'air. Un soir, à notre première dispute, j'ai utilisé mon alter et lorsque j'ai compris qu'il n'était pas choqué ni apeuré, je me suis tout de suite calmé. C'est comme ça que je me suis rendu compte que c'était le bon. Du moins, à l'époque. Mais j'avais toujours peur qu'il me quitte quand même.
          - Oui, il m'a avoué pour votre rupture. Il m'a précisé que tu étais enfermé dans le passé.
- Et ça l'agaçait. Je ne m'en rendais pas compte, mais ça devenait insupportable pour lui. Mais égoïste comme je suis, je me tapais de ce détail. Aujourd'hui, je me sens si bien que je ne veux plus penser au passé. Tu connais presque tout de moi, et pourtant, tu es encore là. Tu sais me maîtriser et j'adore ça ! Tu es fait pour moi.
- Oh, Katchan ! Tu es adorable quand tu te confies. C'est mignon.
- N'en rajoute pas ! grogne-t-il.
- Et pourquoi tu écris son nom sur ton bras ?
- Oh ! Ça ? Eh bien... J'ai tendance à me rendre chez lui pour lui fracasser la gueule ou le baiser... Mais depuis qu'il a un nouveau copain, il a exigé que je ne revienne plus chez lui. Depuis trois-quatre mois, c'est la guerre entre lui et moi. Mais je sens que maintenant, ça va mieux. Il picore dans son assiette avant de reprendre. Au fait, pourquoi Katchan ?
- J'aime donner des surnoms aux personnes que j'aime, répondis-je naturellement.
- Aux personnes que tu aimes ?
- Tu as très bien entendu, rougis-je sans le regarder.

Un petit rire s'échappe de ses lèvres et quand j'ose enfin lever les yeux de mon plat, je perçois ses joues devenues rouges. Je n'aurais jamais pensé que lui et moi, nous allions finir ici et de cette manière. Je voudrais que ça ne cesse jamais et que la routine ne s'invite pas dans notre vie. Je vais tout faire pour le rendre heureux, je le promets.
Nombre de mots : 3'224
Publié le : 07.04.2020
Corrigé le : 09.08.2021

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