le secret du loup

By fanfictionmpreg

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Dave est un garçon de 17 ans avec une vie plutôt normale, des parants aiment, de supers amis. Mais malheureus... More

prologue
photo 1
chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
Cadeau
photo 2
Chapitre 4
chapitre 5
chapitre 6
chapitre 7
chapitre 8
chapitre 9/!\ lemon
chapitre 10
photo 3
chapitre 11 partie 1
chapitre 11 partie 2/!\ lemon
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15/!\lemon
Message
chapitre 16
chapitre 16 partie 2
ceci n'est pas un chapitre désoler
chapitre 17/!\lemon
chapitre 18
chapitre 19
Chapitre 20
chapitre 21
chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
Chapitre 26
chapitre 27
Chapitre 28
chapitre 29
Chapitre 30
chapitre 32

Chapitre 31

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By fanfictionmpreg

Depuis maintenant deux jours que je refusais de manger de me doucher ou encore de me lever du lit. L'absence d'Ethan près de moi me rendait nostalgique, il occupait toutes mes pensées. J'ai fini par comprendre que tout était de ma faute. Parce que si je n'avais pas joué le capricieux, si je n'avait pas désobéit à ses ordres, jamais je serai dans cette situation. J'avais fait des erreurs, et en assumer les conséquences était beaucoup trop douloureux. Je passais pratiquement mon temps à pleurer et me morfondre en pensant à ma vie si je n'avait pas été aussi égoïste. Je sais ce qu'il en coûte de ne pas se nourrir lorsqu'on est...enceinte. Mais à ce moment, je dois dire que je m'en fiche royalement. C'est à ce moment-là que j'ai compris qu'il avait bel et bien installé des caméras dans la chambre. Parce qu'ils avaient compris que je ne me nourrissais plus. Ils étaient venus vêtu de blouson blanc et de gants en latex. Avec une bouteille de lait, et ce que je présumais être un entonnoir relié à un très long tuyau en plastique. Comme celle que l'on peut trouver dans les hôpitaux, ceux enfoncés dans la gorge qui te serre à respirer. Je compris que trop tard ce qu'ils comptaient faire de tout ça, de moi. Avant que je n'aie eu le temps de m'échapper. Deux hommes plutôt costauds s'empara de mes bras m'agenouillant sur le sol afin de mobiliser au mieux. Puis ensuite, la femme s'approcha de moi avec l'entonnoir et le tuyau et une autre avec la bouteille de lait dont elle ouvrit le bouchon. Je savais précisément ce qu'ils allaient faire, alors je commençais à me débattre comme un diable, je sortis inconsciemment mes griffes, je sentis mes pupilles me brûler, mes canines s'allongé. J'étais fermement décidé à ne pas les laisser faire de moi du bétail. Ils m'avait déjà beaucoup pris, il me prendrait pas ça.

Inconnue-Évite de te débattre ça ne sert à rien. Tu vas faire que t'épuiser.

Je continuais à m'agiter et je finis enfin par blesser un des hommes qui me maintenait au sol. Celui-ci siffla de douleur avant de me regarder avec mépris et dégoût. Sa peau se cicatrisa en même pas deux secondes. Je me souviens que sa peau était froide quand il m'a touché...foutu vampire.

Inconnue-Très bien comme tu voudras...ouvrer lui ça putain de gueule.

L'homme que j'avait blessé s'approcha de moi un sourire méprisant le regard noir. À croire qu'ils prenaient plaisir à me faire sa. En même temps, il ne fallait pas s'étonner que le personnel soit aussi taré. Vu qu'ils était tous des vampires, leur odeur de cendre mélanger à celle de la mort. Et leurs peaux semblables au métal froid, grisonnant. Il était pas vraiment mort, pas tout à fait vivant.

L'homme qui s'approcha de moi ne mit pas cinq secondes à m'immobiliser de nouveau, il planta la paume et les doigts de sa main glaciale sous mon menton à la naissance de ma pomme d'Adam. Il pressait ses doigts sur ma mâchoire inférieure afin de m'obliger à ouvrir ma bouche de force. À ce moment j'avais beau me débattre mais sa force avait comme décuplé et je vie tous à coups ces yeux changer de couleur devenir comme Loukas ce violet électrique si terrifiant. Et ses veines ressortir de ses tempes semblables à des racines d'arbres qui germaient sur son crâne tapissant sa peau. C'était à la fois un spectacle monstrueux et captivant. La femme commença à enfoncer dans ma gorge le tuyau en plastique. Je commençais à m'étouffer. De la bave sortait de mes lèvres sans contrôle. Je sentais que mes yeux devenaient rouges et humides. Je vis l'autre femme se déplacer avec la bouteille de lait. Et je me mis de nouveau à me débattre de toutes mes forces.

Moi-Mmh !

Mais la pression des mains des autre hommes qui me maintenait immobile devenait plus fort que jamais, au point d'avoir suffisamment mal pour me résilier. Je commençais à pleurer. Je ne voulais pas paraître aussi faible, mais c'était.......au dessus de mes forces. Je n'avait jamais été aussi seul de ma vie qu'en cet instant où ma volonté avait complètement disparu de mon être. Au moment où ils commencèrent à emplies mon estomac de ce lait infecte. J'étais déjà partie. C'était comme très loin de ça loin de tous. Je n'étais pas là ce n'était pas moi ici....Je revis de nouveau le portrait accrocher au mur blanc du couloir et je m'imaginai courir sur les dunes de sable jaune. Le soleil de plomb réchauffant mon visage humide. Le vent soufflant cet air pur, grisant. Et avant que je m'en rende compte ils avaient fini leur boulot et avaient quitter la chambre où il ne restait plus que moi allongé sur le sol froid et humide de mes larmes et de reste de lait que je ne suis pas parvenu à avaler. Je sentais encore la pression de leur main sur moi. Leur regard froid et méprisant. Mais je ne savais pas que cet acte signait le début d'une descente aux enfers. Dont je n'en sortirai pas indemne. Je me sentis sombrer dans le sommeil arraché de mon cauchemar, plongé dans un souvenir lointain. Ou ma mère me chantait une chanson allongée sur le lit éclairé par là lampe de chevet. J'avais de nouveau cinq ans. Je souris, apaiser par ce moment d'innocence.

oOoOOOOOOOOOOOOoOo

J'entendais des voix peut-être dans ma tête, mais elles semblaient si réalistes. J'ai sursauté en sentant quelque chose se planter dans ma main. Comme une aiguille. L'odeur âcre de la cendre et de l'antiseptique imbibée la pièce inhibant mes sens. Je commençais à ouvrir les yeux faiblement lentement. Mon crâne me fit mal aussitôt que la lumière vive du plafond m'éblouissant les yeux.

Loukas-Elle donne quoi l'échographie ?

Inconnu-Je dirait qu'ils sont prêts il faut commencer l'injection tant qu'on le peut encore.

Loukas-Faite ce qu'il faut, j'ai besoin qu'ils se transforment.

Abriel-Mais s'ils venaient à mourir pendant le processus ? Vous avez pensez aux conséquences désastreuses que cela pourrait engendrer ?! Je ne sais pas si je veux participer à ça.

Elisabeth-Pourtant il va bien falloir que tu nous prêtes ton aide. On n'a pas le temps de penser à quoi que ce soit, c'est une course contre la montre avant que cette foutue meute de chiens ne nous retrouve et le retrouve lui ! Tu veux peut-être attendre bien sagement que l'on vienne te trancher la gorge ? Moi je refuse que l'on me brûle comme une putain de sorcière !

Abram-Tu sait que jamais je les laisserai te faire du mal.

Elisabeth-Je sait mon frère, mais j'ai bien peur que tu ne sois pas assez puissant contre eux. Rappelle-toi la dernière fois. On avait bien failli mourir !

Je sentais que mes mains étaient ligotées et ma bouche ne s'ouvrait pas. Mes yeux se mirent à s'habituer à la lumière vive. J'observais mon environnement mais lorsque je compris ou je me trouvais, je me mis à paniquer j'avait froid tout était si blanc et si glaciale. Jus une sensation dérisoire de déjà vus. Et ce bruits résonnant dans la pièce qui provenait des machines ne me disait rien qui vaille.

Abram-Il se réveille !

Je vis quatre personnes dont le visage m'était familier. Des vampires je présume. Il avait l'air si froid. Leur regard, posé sur moi, me donnait l'impression de n'être qu'un insecte dérangeant. Mes yeux balayaient frénétiquement la salle du regard observant tout ce qui serait susceptible de m'apporter des informations, c'est à ce moment que je pris conscience d'une chose pour le moins nouveau et surprenant. Il y avait une sorte d'appareil un écran rattaché à un support avec plein de bouton dont j'ignorais l'utilité. Puis en m'attardant sur l'écran je vis qu'il y avait une image figée représentant deux masses informe. Ces masses étaient entourées d'une sorte d'anneau enfermant ce que je présumais être du liquide. Les deux masses semblaient représentées des bébés miniature, une énorme tête et un tout petit corps. Ils étaient humains semblé humains en tout point. Tous à coup en comprenant de quoi il s'agissait, j'ai eu un sentiment étrange. Ce sentiment pesant écrasant mes peur épuisant mon chagrin. Quelque chose avait changé. Peut-être ma façon d'appréhender de concevoir. Deux petites formes minuscules si petite et pourtant si vivante. Penser qu'ils étaient là et les voir était deux choses différentes. Mes émotions me submergeaient semblables à un océan glacé sous un soleil de plomb. Une chaleur au milieu de ma poitrine malgré le froid ambiant de la pièce. Sous le coup de l'émotion je me rendu compte que tout était réel, bien trop réel. C'était comme se sentir a la fois important et conscient de tout. Il n'y avait pas que moi pas seulement. Je portais la vie, deux putain de vie que moi et Ethan avions conçu ensemble. C'était juste tellement trop. Alors que mes larmes ruisselant le long de mes joues froides. Malgré ce que je leurs et fait subir...malgré ce que j'ai dû subir ils étaient encore là. En fait ils ont toujours été là, depuis longtemps, bien trop longtemps. J'ai fini par comprendre qui était bel et bien réal...

Moi-Je....suis désolée....

Loukas-Commençées l'injection !

Abriel le stoppa net dans son élan. Il posa une main sur l'épaule de Loukas qui le fusilla du regard.

Abriel-Mais....non ! Ils risqueraient de mourir. C'est du suicide !

Elisabeth-Ah bon, et t'a une meilleure idée peut-être ? Parce que je suis toute ouïe.

Abriel-Et si ça ne marchait pas ? Hein ! S'ils mouraient dans le processus ? Ils deviendront des martyres. Et nous aurions donné une raison de plus à eux de nous chasser, nous traquer et nous tuer !

Loukas-On est allé trop loin pour reculer maintenant. C'est trop tard pour les regrets !

Je fus distrait par Loukas qui s'énervait de plus belle. Il arracha des mains d'une infirmière une seringue dont l'aiguille faisait la taille de ma main. Je pris panique mais pétrifié par la peur, mes membres refusait de bouger. Il se retourna vers moi et planta l'aiguillon dans mon nombril et l'effet fut immédiat comme une décharge électrique. Puis je me rappelais que j'avais une voix que j'avait un corps alors je criais si fort mes jambes se replièrent. La douleur était vive.

Moi-Ah !! Arrêter !

Loukas-Comment ça ce fait qu'il soit déjà réveillé ! Qui est l'imbécile qui a mal dosé les tranquillisants !?

D'autre s'approchèrent de moi après m'avoir vu gigoter dans tous les sens. Ils m'attrapaient les bras un autre immobilisant mes jambes. Loukas continua après s'être assuré que je ne bougerai plus, d'enfoncer l'aiguille jusqu'à ce qu'elle touche quelque chose. Je sentie que c'était peut-être les petits, donc je me mît à hurler de toutes mes forces. Je ne voulais pas qu'ils meurent plus maintenant que j'avais compris qu'ils était vraiment là avec moi. Pas après les avoir vu de mes propres yeux. Mais malheureusement, il était trop tard il venait de retirer la seringue vide de toute substance. J'étais comme cette seringue vide moi aussi. Je compris que trop tard que mes enfants avaient été touchés. Mon estomac se tordait de douleur, comme une brûlure fulgurante. Je criais à nouveau en me tortillant de douleur. Comme si des flammes consumaient l'intérieur de mon être !

Moi-Ahahaha ! Pitié.....fait..que ça s'arrête !

Mais ça ne s'arrêtait pas. Au contraire. Et quand la douleur fut trop lourd à supporter, je me sentais près à plonger dans les bras de la mort. La peur d'avoir peut-être perdu mes enfants rongeait mes os. Alors que je venais à peine de les retrouver voilà qu'ils m'avait arraché des bras des êtres innocents.

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