Limpide

By Audremes

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Je crois que si je devais choisir un mot pour me définir ça serait: limpide. J'étais limpide dans tous les se... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Pas un chapitre (sorry)
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Epilogue
Petit message
Bonus 1
Bonus Lemon
Plus tard
Plus tard- Partie 1
Plus tard- Partie 2
Plus tard- Partie 3
Plus tard- Partie 4
Plus tard- Partie 5
Plus tard- Partie 5 (bonus)
Plus tard- Partie 6
Plus tard- Partie 6 Maël
Plus tard- Partie 7
Plus tard- Partie 8
Plus tard- Partie 9
Plus tard- Partie 11
Plus tard- Partie 12
Plus tard- Partie 13
Plus tard- Partie 14
Plus tard- Partie 15
Plus tard- partie 16
Plus tard- Partie 17
Plus tard- Fin
Le temps des héritiers 1 (Sacha)
Le temps des héritiers 2 (Sacha)
Envie d'écrire...
Le temps des héritiers 3 (Lily)
Le temps des héritiers 4 (Maël)
Retour vers le futur
Le temps des héritiers 5 (Rose)
Le temps des héritiers 6 (Rose)
Le temps des héritiers 7 (Rose)
Retour vers le futur 2
Coeur de Lys
FAQ

Plus tard- Partie 10

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By Audremes

Je m'étais réveillée vers dix heures le lendemain. Après un copieux petit déjeuner, Sacha et moi nous étions laissés tombés dans le canapé pour regarder un film en compagnie des jumelles. Georges et Lily nous avaient rejoint vers onze heures.

- C'est quoi ce film de merde. Grogna Georges en s'asseyant sur le canapé.

- Je ne sais pas mais c'est chiant. Soupira Sacha.

- Vous n'avez aucun coeur, ce film raconte une merveilleuse histoire d'amour. Répliqua Olivia.

- On ne peut pas mettre autre chose, genre un film où il se passe quelque chose.

- C'est mort on ne regarde pas un film d'action avec du sang et des morts partout. S'exclama Rose.

Après une longue bataille tout le monde finit par se mettre d'accord sur le premier Harry Potter. Ce vieux classique ne pourrait jamais nous décevoir. On se tassa tous dans le canapé. Je me retrouvais dans un coin du canapé étalée sur Sacha, de l'autre côté du canapé Lily et Georges étaient un peu près dans la même position. Et les jumelles s'étaient mis à leur aise dans le centre du sofa.

De longues minutes plus tard, la porte d'entrée détourna mon regard du grand écran. Sans grande surprise, je vis Maël pénétrer dans le salon.

- Ah bin ça y est tu te souviens enfin que tu as des parents. Se plaint Emilie en allant à la rencontre de son ainé.

- N'exagères pas Maman je suis venu le week end dernier.

Emilie soupira et embrassa son fils sur les deux joues.

- Salut tout le monde. Grogna-t-il.

Il traîna ses pieds jusqu'à nous puis nous salua de la main avant de s'asseoir sur l'accoudoir du sofa.

- Tu pourrais dire bonjour quand même. Se plaignit Rose.

- C'est ce que je viens de faire.

- Et mon bisous?

Ronchonnant, il se leva pour dire bonjour à tout le monde. Il tapa dans la main de son frère avant de me faire la bise en essayant de capter mon regard. Mais je reportais bien vite mes yeux sur le film.

- Comment va la petite blessée? Demanda-t-il à Rose.

- Ça va bien. Répondit-elle tout sourire.

- Tu m'étonnes qu'elle va bien, tout le monde est au petit soin avec elle. S'agaça Olivia. Dès qu'elle veut un truc papa rapplique en courant. Si c'est comme ça moi aussi j'aimerais bien avoir un plâtre.

- Oh ça peut s'arranger tu sais. Répliqua Sacha. Comment veux tu que l'on procède? Je te roule dessus avec mon scooter ? Avec un peu de chance tu auras aussi le bras pété.

Nous éclatâmes tous de rire.

- Lily, Inès, vous mangez ici ce midi?

Emilie nous interrogea du regard et avec ma cousine nous répondîmes par l'affirmative.

- Parfait. Par la même occasion, je vais inviter vos parents, ça fait longtemps que l'on ne s'est pas fait un petit repas.

Nous fûmes plusieurs à la regarder, dubitatifs. Notre dernier repas remontais il y a à peine trois semaines.

- Je vais cuisiner un bon petit plat.

- Très drôle, maman. Ricana Olivia.

- Non je suis sérieuse, j'ai trouvé une recette qui m'a l'air pas trop mal, je ne peux pas la rater celle là.

- Maman tu rates toujours tout.

- Tu exagères.

Malgré les remarques de sa fille, la mère de famille revêtit un tablier de cuisine.

- Elle n'est pas sérieuse. S'inquiéta Georges.

- Je crois que si. Répondit Sacha sur le même ton.

- PAPAAAAAAA !!!!! Hurla Rose à nous percer les tympans.

Ken sortit aussitôt de la pièce qui lui servait de bureau. Il retira ses lunettes et interrogea sa fille du regard.

- Pourquoi tu cris comme ça, ça ne va pas ou quoi?

- Maman a perdu la tête. Elle veut faire à manger pour ce midi, fais quelque chose!

Ken soupira et jeta à sa femme un regard blasé.

- On en a déjà parlé milles fois Emi la cuisine ce n'est pas fait pour toi, ça ne sert à rien de t'acharner comme ça. A part nous faire souffrir ça n'apporte rien de bon.

Nous rigolâmes devant le ton sérieux du père de famille.

- Depuis que j'ai pris des cours de cuisine je me suis améliorée.

Il s'approcha d'elle et posa ses mains sur ses épaules.

- Mon amour, je t'aime et on s'est promis de toujours se dire la vérité. Tu es toujours aussi nulle et je crois que même les meilleurs profs du monde n'y changera rien. Fais toi à l'idée que tu es nulle, ça sera mieux pour tout le monde. Allez enlève moi ce tablier ridicule.

Il défit lui même le noeud du tablier avant de le retirer.

- Fais pas la tête, bébé. Malgré ça je t'aime quand même. Tu as plein d'autres qualités tu sais.

Il enroula ses bras autour de sa taille et l'embrassa.

- Pitié arrêtez de faire ça devant nous. Se plaint Georges.

- Ouais vraiment, c'est écoeurant. Rajouta Sacha.

Ken leva les yeux au ciel et attrapa son téléphone pour appeler un traiteur. Soulagés de ne pas subir la cuisine d'Emilie nous reportâmes tous notre attention sur le film.

Le luxueux appartement fut vite envahie. A leur tour Aristide et sa soeur nous rejoignirent dans le grand salon. Ils saluèrent tout le monde et Aristide ne put s'empêcher de faire une remarque à son cousin.

- Putain Maël, la sale tête que tu tires.

- Je t'emmerde.

Aristide allait répliquer mais Lily l'interrompit d'un geste de la main.

- Laisse tomber il est de mauvaise humeur depuis qu'il est arrivé ici.

- Tu devrais t'envoyer en l'air ça te détendrait. Ricana Aristide en s'asseyant sur un pouf.

Maël lui lança un regard meurtrier.

- Bin quoi c'est vrai? Clara s'est plainte parce que tu l'as encore repoussé hier. Apparement ça fait quelques semaines que tu ne réponds plus à ses avances, elle est dég la pauvre.

- Sérieux? Ricana Georges. Tu as repoussé Clara hier, alors qu'elle t'a collé au basque toute la soirée, tu es sûr que ça va?

- Non mais mêlez vous de votre cul.

Alors que j'avais évité de le regarder depuis son arrivé, je ne pus m'empêcher de poser mes yeux sur lui. Maël avait la mâchoire serrée et les bras croisés sur sa poitrine.

- C'est bon détends toi frère, on s'inquiète juste pour toi. Je t'ai jamais vu refusé les avances d'une meuf? Tu ne serais pas malade par hasard?

- Ta gueule. Déjà je fais ce que je veux de ma vie ça ne vous regarde pas et ensuite on change de sujet, il y a trop d'oreilles indiscrètes ici.

- Oh ça va, on n'est plus des bébé. Répliqua Rose.

- Bien sûr que vous êtes encore des bébés. Vous êtes mes bébés en tout cas.

- Papaaa. Râlèrent les jumelles.

- Allez venez manger les jeunes.

Je me levais et bizarrement ces dernières minutes avaient égayé ma journée. Maël n'avait pas fini sa soirée avec Clara et cela me mettait un joie. C'était une petite victoire pour moi.

***

Cela faisait une semaine et demie que j'ignorais Maël. Je filtrais ses appels, ne répondais pas à ses messages et durant notre soirée de la semaine dernière, j'avais tout bonnement fait comme s'il n'existait pas.

Je n'étais pas du genre rancunière mais cette fois j'avais envie de lui monter que son attitude ne m'avait pas plus.

Il y avait également une autre raison derrière ma réaction, je voulais aussi lui montrer que je n'étais pas le genre de gamine folle de lui, lui courant après. S'il voulait me reparler, il n'avait qu'à ramper.

Cependant ce jeudi soir en sortant du lycée, je ne pus lui échapper. En franchissant la grille, je le remarquais sans problème. De un parce que comme d'habitude il attirait tous les regards mais aussi parce plusieurs personnes chuchotaient en le montrant du doigt plus ou moins discrètement. Quand tu étais canon et que tu étais le fils de Nekfeu et de l'écrivaine à succès Emilie Samaras, tu ne passais jamais inaperçu, surtout devant un lycée rempli d'adolescente en chaleur.

Il n'était pas très compliqué de se rendre compte que tous ces regards sur lui, lui plaisait. On pouvait voir clairement sur son visage, son petit air supérieur et son petit sourire narquois. Qu'est-ce qu'il pouvait se la raconter. Je secouais la tête, blasée non sans acquiescer un petit sourire.

Je me pris moi aussi à le mater, malgré son petit air suffisant, je ne pus m'empêcher de le trouver beau. Il fallait que je me fasse une raison, ce mec me rendait dingue et je ne pouvais pas lui résister. Il n'avait qu'à me regarder pour me faire succomber. Il n'y avait qu'une solution pour éviter de retomber dans ses bras une seconde fois: fuir.

Et c'est ce que je fis, à mi chemin entre lui et la sortie du lycée, je bifurquais vers la droite priant pour qu'il ne m'ait pas vu. Mais l'appel de mon prénom et des pas précipités derrière moi m'indiquèrent que je n'étais pas passé aussi inaperçue que je l'aurais souhaité.

Malgré la voix rauque qui scandait mon nom, je ne m'arrêtais pas et accélérais le pas.

- Tu ne vas pas quand même te mettre à courir pour me fuir. Souffla-t-il en se mettant à ma hauteur.

- C'est une idée. Grognais-je.

- Tu peux t'arrêter s'il te plait, j'aimerais qu'on parle.

- Désolé je ne peux pas, je dois rejoindre Lily devant le lycée, on rentre ensemble.

Merde! Lily! Espèce de crétine! Pestais-je intérieurement contre moi-même. Je me retins de me mettre une claque. La tête haute, je fis demi tour et rebroussais chemin.

Maël étouffa un rire avant d'attraper mon bras pour me stopper.

- Lâche moi. Dis-je les dents serrées.

Il ne répondit pas et se contenta de me faire face.

- Lily va m'attendre.

- J'ai croisé Lily, je lui ai dit que je devais te parler. Elle est donc rentrée seule car elle trouvait que c'était une bonne idée que l'on mette un peu les choses à plat tous les deux.

Oh la sale traitresse!

- Je suppose qu'elle est au courant pour nous deux.

- Il n'y a pas de nous deux, mais oui je lui ai dit.

- Je l'ai dit à Elias.

- Je sais. Et j'en ai aussi parlé à Sacha.

- Je me disais bien qu'il était plus relou que d'habitude avec moi.

Je lui lançais un regard qui voulait dire "tu l'as cherché".

- Notre petit secret, n'est plus vraiment un secret, alors.

Je haussais les épaules et croisais les bras en tentant de soutenir son regard sans montrer la moindre faiblesse.

- Qu'est-ce que tu veux Maël?

- Je te l'ai dit, je veux parler.

- De quoi?

- De cette situation, ça ne peut plus durer. Je déteste que tu me fasses la gueule. Ça fait des jours que l'on ne s'est pas parlé et tu me manques.

Je savais très bien qu'il cherchait à m'amadouer avec ses mots et ses yeux de merlan frit.

- C'est petit ce que tu fais.

- Je fais quoi? Demanda-t-il innocemment.

- Tu essayes de m'amadouer là, avec ton "tu me manques".

- Et ça marche? Demanda-t-il plein d'espoir.

- Ouais. Grognais-je.

- Tu es d'accord alors? On peut aller chez moi pour parler?

Je crois qu'un lieu neutre aurait été moins risqué mais encore une fois trop naïve, j'acceptais, tout en sachant très bien que je me jetais d'un la gueule du loup.

Le trajet se fit en silence, en arrivant chez Maël, je me débarrassais de mes chaussures et de mon manteau avant de me laisser tomber dans le canapé.

- Tu veux un truc à boire?

- Non merci.

Il partit se chercher un coca et vint s'installer à côté de moi. Le regard fixé sur le mur en face de lui, il vidait sa canette en silence.

- Quoi? Dit-il en sentant mon regard insistant sur lui.

- Tu voulais que je vienne ici pour parler, donc je ne sais pas moi... Parle! Dis-je agacée.

- Je ne sais pas par où commencer.

- Par le début, ça me semble une bonne idée.

- Ouais. Déjà je voudrais te dire que je suis désolé d'avoir collé Clara toute la soirée, c'était pas correct.

- Tu fais ce que tu veux, je te l'ai déjà dit, on n'est pas ensemble toi et moi.

- Alors pourquoi tu fais la gueule?

- Ok je l'avoue ça m'a soulé que tu colles Clara, je voulais te parler et passais un peu de temps avec toi et tu n'as pas calculé, alors sur le coup ça m'a soulé. Mais après tout tu fais ce que tu veux, j'ai pas à faire la gueule pour ça. Par contre, ta réaction vis à vis de moi et Erwan était inadmissible.

- J'ai rien fait.

Son faux air innocent me sortit de mes gons.

- Tu te fous de ma gueule, j'espère! Je sais que c'est toi qui a envoyé une meuf le chauffer pour qu'il s'éloigne de moi. Tu n'as pas à faire ça, je fais ce que je veux.

- Je supporte pas qu'il soit aussi proche de toi.

- Ma relation avec lui ne te regarde pas.

- Je sais mais je ne peux pas m'empêcher de partir en vrille quand je le vois proche de toi, ça me rend dingue ok.

- Donc toi tu as le droit de te taper Clara mais moi je dois rester bien sagement à ne rien faire.

- Je ne me suis pas tapé Clara. C'était pas avec elle que je voulais finir ma soirée. Je voulais la finir avec toi.

- Je ne suis pas ton vide couille Maël. Dis-je agressive.

- Oh arrête tu sais bien que ce n'est pas comme ça que je te vois.

- Et tu me vois comment alors?

Il ne répondit pas, se contentant de me regarder, agacée je répétais plusieurs fois ma question. J'avais besoin de savoir sinon j'allais devenir dingue.

- Putain Maël, réponds! Tu me vois comment?

- Je ne sais pas, ok! Dit-il en sortant de ses gons à son tour. Je suis perdu. On n'est ami mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir envie de toi dès que je te vois. Tu me rends dingue, je te jure. A chaque je te vois, je me retiens pour ne pas t'embrasser et te sauter dessus. Dès que tu n'es pas là, je pense à toi. Je vais finir par devenir fou. Et toi tu m'aides pas avec tes putains de crise à la con.

- Mes crises à la con? Si tu n'agissais pas comme un con peut être que je ne ferais pas de crise. Hurlais-je.

- C'est tout ce que tu retiens de ce que je viens de te dire? Putain Inès, tu es vraiment une sacrée galère. Tu me demandes de m'ouvrir à toi mais à aucun moment tu m'as dit ce que tu ressentais.

Je le regardais pas vraiment prête à lui ouvrir mon coeur car je savais très bien que je dirais des choses que je regretterais.

- Et toi comment tu me vois? Dit-il en reprenant ma question.

Je n'étais vraiment pas prête. Je ne pouvais pas lui dire ce que j'avais sur le coeur car moi même je n'avais pas encore accepté tout ce que je ressentais.

Alors pour éluder la question, je me jetais sur ses lèvres.

Ce baiser était rempli de rancoeur et de colère mais aussi de passion. Nos lèvres se lancèrent dans une bataille acharnée. Ses mains entourèrent ma taille et me ramenèrent vers lui. Comment un simple baiser pouvait me retourner les entrailles à ce point? Ses mains, ses lèvres, son coeur battant à tout rompre contre le mien semblait à cet instant une nécessité à ma survie.

- Tu me rends dingue, putain. Dit-il entre deux baisers.

Je me collais encore plus à loin avant me mettre à califourchon sur lui. Ses mains quittèrent mes hanches pour rejoindre mes fesses.

- J'ai envie de toi.

Ces mots m'électrisèrent. Je me détachais de lui et pris l'initiative de retirer mon pull afin de lui faire comprendre que nous étions sur la même longueur d'onde.

J'avais l'impression de revivre la même scène encore et encore.

Putain mais qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez nous?

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