Alexia
Mon cœur palpite tellement fort, j'ai l'impression de l'entendre battre dans mes oreilles. Je n'aurais jamais imaginer que mon corps réagirait de la sorte à son contact. Il m'a manqué malgré tout, est-ce les hormones de ma grossesse qui me font perdre la tête? Je ne peu pas me laisser berné par ces beaux yeux et par ces lèvres sensuelles qui mon tant manqué, j'ai l'impression qu'elles m'appelle pour les embrasser. Je dois absolument resté forte et ne pas oublié ce qui est arrivé.
Je ne peu pas simplement oublier ce qui est arrivé lorsque je me suis présenté chez lui, ni la peine que j'ai éprouver à cause d'elle et lui. Il m'entraîne sur la piste de danse et je suis hypnotiser par son regard. Est-ce qu'il sait qui je suis ? Qu'elle question, évidement qu'il sait qui je suis! Alexia reprend tes esprits. Pensais-je
La musique ralentit pour devenir un slow, mon cavalier me prend par la taille pour me coller à lui. Je met ma main gauche au niveau de sa nuque et ma main droite est toujours enfermé dans sa main. Il met alors sa main droite au creux de mes reins en fessant de petit rond avec son pouce. Je fond littéralement, les sensations sont mémorable et tellement agréable. Je ne sais pas si je dois briser le silence ou simplement laisser le moment être comme il est à cet instant. Aucuns de nous deux veux briser le silence ni même le contact visuel que nous avons en détournant nos yeux. Nous nous affrontons du regard avec une lueur de tendresse, de désespoir et de regrets. Je vais suivre le conseil d'Harold et je vais donner une seconde chance à mon mari pour qu'il puisse s'expliquer, au final il méritera peut-être mes pardons.
-Lexia. Dit Aleksei de sa voix rauque
Je ne peu rien dire, je suis muette et je rougis comme une petite fille.
-Je pourrais te reconnaître n'importe ou, tu es magnifique dans cette robe. Tu m'as manqué moya lyubov' (mon amour). J'aimerais vraiment pouvoir arrangé les choses entre nous, je ne peu pas te laisser partir, tu m'es trop précieuse. Je veux que nous arrangions ce problème et que nous soyons heureux comme durant notre voyage de noce.
- O..oui, je...je crois que tu as raison, nous devrions avoir une discussion, mais ce n'est pas le bon moment pour discuter ici. Dis-je en bagayant
- Je suis d'accord, quand veux-tu que nous en discutons ? Me demande-t-il en me serant d'avantage à lui
Je prends une grande inspiration et j'arrête simplement de danser pour reculer en tirant sa main dans la mienne vers la sortie de la salle. Je n'y peu plus, je veux connaître son point de vu, ce qu'il s'est passée par sa vision des choses. Nous sortons de la salle, je loge un couloir et j'aperçois une pièce éclairer. Je décide d'y pénétrer en tirant toujours Alekseï par la main et une fois que nous sommes entrer dans cette somptueuse pièce qui est en fait une magnifique bibliothèque, je ferme la porte à clé. Je me retourne pour me retrouver face à lui. C'est maintenant ou jamais, nous devons discuter et j'espère que durant cette discussion je pourrais lui annoncer la nouvelle, je ne peu garder ce secret pour moi. Malgré tout Alekseï mérite de savoir qu'il sera père prochainement.
Je m'approche tranquillement sans jamais le quitter des yeux, à quelque pas de lui et je sens son odeur, je l'inspire comme si ma vie en dépendait, elle m'a tellement manqué. Je peu également sentir l'électricité dans l'air qu'il y a entre nous.
-Alors par quoi on commence ? Demande ai-je
Il réduit la distance qui nous séparait toujours en me fixant d'un regard sombre et je le vois baisser celui-ci vers mes lèvres. Je passe ma langue sur mes lèvres subitement desséchées devant son regard plein de désir que je perçois un instant. Il est toujours aussi magnifique dans son costume et il me fait toujours autant d'effet. Il m'attrape alors la taille d'une de ses mains pour me coller à son torse et de l'autre, il la porte à ma joue pour rapprocher mon visage du sien.
Je ferme mes yeux sur l'anticipation de la suite, quand je sens ses lèvres chaudes et douces sur les miennes. Je me laisse aller dans ses bras muscler et protecteur, j'émet un léger gémissement. Je sens sa langue taquiner mes lèvres demandant l'accès pour pouvoir approfondir se baiser passionner. J'entre-ouvrir alors mes lèvres pour sentir sa langue chercher la mienne pour commencer une merveilleuse danse sensuelle. Je décide de passer mes bras autour de son cou tout en tirant ses cheveux pour ainsi me rapprocher d'avantage mon corps au sien. Je l'entend grogner, je n'ai même pas eu conscience qu'il avait poser ses mains sur mes fesses. Il me soulève dans ses bras et m'appui contre le mur de la bibliothèque. Je noue mes jambes autour de ses hanches, ses mains se faufile sous ma robe. Il n'en fallait pas plus pour que je perdre toute raison en les sentend s'agripper ferrosement à mes cuisses. Je sentais alors une chaleur naître au creux de ma féminité, elle devient violente lorsque je sens la dureté de son entre-jambes frotter contre le mien.
Des frissons se réveille parcourant tout mon corps, je dois avouer que j'adore l'effet qu'il a sur moi. Il s'arrête de m'embrasser pour déposer quelques baisers sur ma mâchoire, dans mon cou et sous mon oreille.
-J'ai envie de toi moya lyubov' (mon amour) tu m'a tant manquer. Me murmure-t-il en me mordillant le lobe de l'oreille.
Il se recule légèrement pour me regarder et je sens mes joues rougir, je n'aime pas être aussi facile à lire. Je ne veux pas qu'il sache l'effet qu'il me fait, mais évidement il est beaucoup trop tard. Et de toute manière, il sait pertinemment qu'il a gagné une bataille, mais pas la guerre. C'est avec un sourire triomphant qu'il se rapproche pour reposer ses lèvres sur les miennes en serrant la prise qu'il exerce sur mes fesses pour me porter vers le canapé de la bibliothèque. Arrivé devant celui-ci, il me fait glisser le long de son corps jusqu'à temps que mes pieds touchent le sol.
Je n'en peu plus, je le désire tellement, je ne sais pas si ce sont les hormones de ma grossesse qui multiplie mon désir de lui faire l'amour mais je ne peu plus résister au désir qui me brûle. Je prends alors les devants et je l'attrape par le revers de sa veste de costume pour le faire pivoter et s'asseoir sur le divan. Je m'assoie sur ses genoux en remontant ma robe, je me penche vers lui pour celer nos lèvres d'un baiser pressent et dur. Je devis mes baiser vers sa mâchoire recouverte d'une barbe de trois jours jusqu'à son cou. Il est à croquer avec cette barbe, cela le rend plus menaçant mais aussi plus aguichant. J'entend sa respiration s'accélérer, lorsque j'effectue un mouvement du bassin contre le sien, il d'empoigne les hanches pour m'arrêter. Je me redresse et plonge mon regard dans le sien avant que mes mains entame la redécouverte de son torse.
-Vu que tu m'arrête, je.. je dois te dire quelque chose avant que nous allions plus...
Il me coupe la parole en rapprochant mon corps au sien et en posant ses lèvres sur les miennes dans un baiser passionner. Il fait alors glisser d'une de mes épaules la brettelle de ma robe.
Il descend ses mains sur ma clavicule jusqu'à mes seins, je suis si réceptive et sensible à cause de ma grossesse que les pointes de mes mamelons durcissent instantanément. Je ferme les yeux et me cambre sur lui. Il caresse mes seins et fait rouler entre ses doigts la pointe d'un deux, jusqu'à temps qu'il m'entend gémir et il colle d'avantage son bassin au mien. J'ouvre brusquement les yeux, je ne peux plus attendre, je le veux maintenant en moi. J'agrippe sa veste pour la passer sur ses épaules et lui enlever, par la suite je déboutonne sa chemise, en arrachant presque les bouton tellement je suis presser. Mes doigts effleurent ses abdominaux qui se contractent instantanément, je sourie devant son corps qui est toujours aussi réceptif à mes toucher. Je balade mes mains de plus en plus bas jusqu'à temps que celles-ci effleurent son membre déjà bien dresser.
Je me remet sur mes pieds pour m'attaquer à son pantalon, je commence à le déboutonner d'une main tout en le caressant lentement de l'autre et je peu sentir son membre gonfler de plus belle. C'est alors qu'il inspire brusquement et m'empoigne ma main qui caressa pour m'obliger à arrêter mon mouvement.
-Ça suffit moy krasivyy(ma belle) sinon je ne tiendrais pas longtemps. Me dit-il en me regardant sensuellement.
Il se redresse hâtivement pour me débarrasser de ma robe, de ma culotte et de mes escarpins ainsi que de son pantalon, son boxer et de ses chaussures, lorsque ceux-ci se retrouvaient au sol, il m'attrape par la taille pour me soulever et me déposer délicatement sur le divan tout se couchant sur moi.
- Moy bog, ty boginya (mon dieu, tu es une déesse). Dit-il sensuellement
J'étais contente qu'il n'y ait pas de lumière allumé simplement la lumière de la lune qui filtrait par les fenêtres de la bibliothèque. Je ne voulais pas qu'il remarque les changements que la grossesse a apporté à mon corps.
Il ne me laissa pas le temps de répondre, qu'il reprit mes lèvres amoureusement pour un baiser brûlant. Il m'écarte les jambes par ses genoux. Je sens son sexe gonflé frotter contre mes lèvres dégoulinante de désir, il grogne en sentent que humidité qui provoque et délicatement il s'enfonce en moi.
-Je ne veux pas te faire mal moya lyubov' (mon amour) dit moi si j'y vais trop brusquement, cela fait tellement longtemps. Vashe telo uzhasno skuchalo po mne,( ton corps m'a terriblement manqué.)
Je ne peu qu'affirmer de la tête, je ne pouvais pas répondre, j'étais trop obnubiler par ses vas-et-vient. Je plante mes ongles dans ses épaules en poussant un cri de plaisir, il s'enfonce de nouveau et toujours plus loin.
-Alekseï... Alekseï. Oh mon dieu.
Je remonte mes mains dans ses cheveux, d'une légère pression j'incline sa tête pour que ma bouche rencontre la sienne. Il continu d'aller et venir en moi sans répit et sans cesser de m'embrasser. Il se redressa sur ses coudre.
-Regarde-moi. Me dit-il
Je voyais ses pupilles complètement dilaté et je pouvais percevoir dans son regard un sentiment sincère qu'il éprouvait à cet instant: de l'amour. Cela marqua ma perte. Je me cambre d'avantage en criant devant la sensation grandissante d'une flemme brûlante au creux de mon ventre. Je décide de nouer mes jambes autour de ses hanches pour qu'il accélère ses pénétration. Son vœux fut exhausser, car les coups de ses reins se firent de plus en plus rapides et de plus en plus puissant.
-Oh chérie, laisse toi aller, donne moi tout et jouis pour moi. Dit-il en m'embrassant voracement.
Dans se moment de pur bonheur, des vagues de plaisirs m'envahie d'une violence extraordinaire, je me mis à trembler lorsque l'orgasme me prit par surprise. Je ne pu retenir mes gémissements.
Alekseï augmenta la cadence de ses vas et vient toujours en me regardant dans les yeux. Il lâcha un long râle avant de jouir et d'exposer au creux de moi, il s'écroula essouffler sur moi avant de se retirer et d'échanger nos place. Je me retrouve alors coucher sur son torse, en attendant qu'il prenne parole. Je caressais son torse lorsque je remarqua une longue chaîne avec comme pendentif mon alliances et ma bague de fiançailles, pendant qu'il me caressait le dos tendrement.
Je relève alors la tête pour croiser son regard et pour prendre la parole, mais nous sommes interrompu par des coups frappés à la porte.