De Rock et de Feu

By lei_lou

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La rencontre entre deux mondes différents... Ambre ne vit que pour le rock, sa basse, son groupe et sa tignas... More

1. Petite intro
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Chapitre Bonus 69k vues
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Du citron à presser 😝
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Jflfjeudndle (j'avais pas d'inspi !)
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Tout, tout, tout, vous saurez tout...
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EPILOGUE.
Flash Info
Bonus 169k :)
BONUS 200K !!
InstaPad
Lei_lou is Come back !!
Encore une !!! 😏😏
Ciel Noir

96.

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By lei_lou

Yoo !! Bien ?

Je débarque avec ce 96e chapitre, l'air de rien, parce que j'étais pas sûre de publier ce soir... Une ptite confrontation de sista en règle, ça vous branche ? Vous attendez pas à un combat de boxe dans la boue, hein ! :)

Sinon, courage à celles (et ceux ?) qui passent leur brevet demain et vendredi ! Ca va le faire, j'en suis sûre ! ;) Et après, vacaaaances, non ??? (chanceuses va lol - dis la meuf qui en revient mais ça compte pas 1 semaine !)

Bref, je vais cesser de piailler telle une pie bavarde (pfff, je me souuuule) et je vous souhaite bonne soirée/lecture/nuit, ce que vous voulez en fait ! Tchouuu. Votre petite Leilou ;)

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Point de vue Béné

Après la daronne qui me fait chier, maintenant la reuss. Putain, mais on va me lâcher aujourd'hui ? Ça a commencé avec mon connard de prof de maths, ensuite ma pote Mathilde. Et maintenant la mif' ? Chialer, peinarde dans ma piaule, c'est devenu interdit ou bien ?

- Dégage, je m'entends crier à l'attention d'Ambre.

Elle est envoyée par ma mère, j'en suis sûre. Sa démarche n'est pas spontanée, et ça me gonfle déjà. Mais c'est Ambre. Je tiens trop à elle pour l'envoyer chier. Je la connais, même si elle ne le montre pas, elle s'inquiète pour moi. Si elle savait que l'inverse compte aussi, mais en vingt fois plus.

- Béné, on peut parler ? Sans risquer ma vie ? Il se passe quoi, là avec les parents, les cours, tout ça ?

Elle attaque directement, elle a peur de rien la frangine.

- Je pensais que tu serais venue pour me parler chiffons, je réplique sarcastique.

- On peut aussi, si tu préfères. Mais tu connais mon goût pour la mode.

- C'est clair que quand je te vois dans ton vieux survêt, je me dis qu'en effet, t'as dû sécher quelques leçons.

Malgré la situation, je laisse s'échapper un grand rire. Qu'elle imite, avant de s'avancer vers mon lit et s'installe à mes côtés. Sa petite main approche de mon visage, et vient sécher doucement les larmes dévalant en cascades mes joues.

Est-ce que je lui dis ? Est-ce qu'elle me comprendra ?

- Je me disais la même chose quand je te vois dans ta robe.

- Tu rigoles ?

- Du tout. D'ailleurs, tu l'as trouvée où ?

Merde. Elle se méfie de quelque chose ? Si je lui dis la vérité, sûre elle va me balancer aux parents, et ça ne ferait qu'empirer la situation.

- Pourquoi, tu veux la même ? Parce qu'elle s'arrête au 38 !

- Saloperie ! Je me disais juste qu'une robe pareille, même si j'y connais pas grand-chose, ça ne se trouve pas à H&M ni Zara.

Me voilà déjà rassurée. Elle connaît ces deux magasins, ouf.

- Maje.

- Connais pas.

Je soupire. C'est vraiment chiant de causer avec quelqu'un qui ignore tout de la mode, et qui ne sait pas qui est Maje. Mais au moins, elle ne sait pas qu'une robe, en boutique, coûte pas loin de 200 boules. Et qu'au grand jamais, j'aurais pu me l'acheter.

- Donc, t'es vraiment venue me parler chiffon ?

Pour ne pas avoir à répondre à ma question, elle semble soudainement intéressée par mon radio réveil. Merde, j'ai oublié de jeter le cadavre du pilon fumé hier soir, que j'ai juste posé derrière. Détourner son attention.

- T'as pas l'heure sur ton bigo ?

- Si, mais...

- Ok, bon, je m'écrie en la poussant de mon lit. Frangine, je t'adore, mais là j'ai pas envie de discuter. Ça sert à rien de te pointer ici, faire semblant de t'intéresser à ma vie, alors que si les parents t'avaient pas demandé, tu serais pas venue de toi-même !!

Elle reste silencieuse. Je déteste quand elle fait ça. Je la connais, elle attend que ça vienne de moi. Elle a beaucoup trop de fierté, à la con, pour me demander clairement ce qu'il ne tourne plus rond chez moi.

- J'aimerais vraiment que tu me laisses tranquille. Bien essayé en tout cas.

- Je vais pas te forcer à parler.

Ah, elle se décide enfin à l'ouvrir.

- A l'époque, tout le monde m'obligeait à le faire, alors que comme toi, je voulais qu'on me foute la paix. Mais avec le recul, j'ai compris que parler pouvait faire du bien, aider à avancer, s'ouvrir, et tenter de s'en sortir.

Je la revois, fermée comme une huitre, à la maison, après la mort de l'autre bouffon sans cerveau. Je revois les parents essayer d'ouvrir le dialogue et se prendre des vents. Je me revois, impuissante devant le malheur de ma frangine, à pas savoir quoi faire pour l'aider.

- Je viendrais p'tet te parler. Mais pas aujourd'hui.

- Comme tu le sens. Je suis là, n'oublie pas.

Mouais, pas à moi, Ambre. Entre tes répèts, ton Ken qui revient pour la énième fois dans ta vie, alors qu'il t'a fait une crasse, je sais pas où tu vas trouver du temps à m'accorder.

Je m'apprête à lui dire quelque chose comme « on verra », quand son bigo se met à sonner. Et la voix émanant du haut-parleur me donne envie de tout péter. Mais je tiens bon, et fais mine que je m'en cogne de sa sonnerie. Sinon, je me grille pour de bon.

- T'as toujours pas changé de sonnerie ?

- Non, je sais pas comment on fait. C'est Flav, je le rappellerais. Tiens, me dit-elle en me tendant son téléphone, si tu peux me la modifier, me remettre un truc moins relou. J'ai une sainte horreur de cette sonnerie, à force.

Si tu savais, Ambre. Moi aussi. Pas de la sonnerie. Mais du connard qui te l'a enregistrée !

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Point de vue Ambre

Je ressors de la chambre, sans réponses à mes questions. Mais une nouvelle sonnerie sur mon téléphone.

Bon au moins, j'aurais essayé, et la tâche n'est pas facile vu le caractère bien trempé de Béné. Mais ce n'est pas ça qui m'effraie le plus. C'est ce bout de joint qui trainait sur sa table de nuit, planqué à moitié. Et cette robe bien trop classe pour qu'elle ait pu se l'offrir. Je vais la laisser respirer un peu, et enclencher la phase 2 de ma mission. Si je n'échoue pas lamentablement d'ici là.

En attendant, je rappelle Flav :

- Ouais ?

- T'as essayé de m'appeler ?

- Ken m'a dit que ce soir il était pas dispo...

Aïe, je le sens mal.

Vous voulez mon avis ? Je la sens moyen cette conversation. Et vu l'intention sèche qu'emprunte mon meilleur ami, je redoute la tournure de l'appel.

- Il voulait qu'on passe la soirée ensemble.

- Il est au courant que y a encore du taf sa mère pour sortir dans les temps le skeud ?

Re-aïe. Je le sens toujours moyen.

- Flav, écoute...

- Non, c'est toi qui va m'écouter. Je te l'ai déjà dit, vos histoires à tous les deux, je m'en mêle pas. Ça me regarde clairement pas, qu'un jour, vous vous kiffez, et le lendemain vous vous prenez la tête. C'est vos bails. Mais là où ça me regarde, et que je me sens légitime d'intervenir, c'est quand ça pénalise l'avancée de notre jet-pro. Désolée, mon Ambre, je t'adore, mais le groupe existait avant toi. J'espère que tu comprendras, ça me fait grave iech de te dire tout ça. Mais dis-toi que cet été, quand on aura sorti le skeud, assuré les quelques dates que j'ai réussi à boucler pour mes schlagues de potos, tu pourras profiter de ton fennec bien comme il faut... T'es encore là ?

- Oui, oui, je bafouille avec peine.

Les larmes me montent aux yeux. Ça fait mal, bordel, mais je pense que c'était nécessaire. Je suis à deux doigts de chialer. Mais par parce que je viens de me faire laminer par mon meilleur ami. Mais parce que je réalise à quel point il a raison. Je viens parfois trop à oublier que le rap est primordial dans la vie de Ken, et que je ne peux pas vouloir le détrôner sous prétexte de notre relation. C'est à moi de m'adapter à la passion de Ken, et pas l'inverse.

- Je suis vraiment désolée, mon Ambra.

Ça fait trop longtemps qu'il ne m'avait plus surnommée comme ça.

- T'excuse pas Antoine. Je comprends, t'as trop raison. C'est moi qui suis désolée...

- Ça me fait grave chier, d'avoir à te dire tout ça. Mais je sais que tu comprendras, t'es pas ma meilleure pine-co pour rien !

Je ris doucement, malgré les larmes bordant mes paupières.

- Ce soir, on charbonne. Et demain, je te rends ton fennec pour le reste de la semaine. Mais pas avant que je t'aie invitée à manger le midi. Rien que toi et moi !

- Et Charlotte ?

- T'en fais pas pour elle. Elle taffe de toute façon.

- Tu m'invites à manger des pâtes ?

- A ton avis ?

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Point de vue Ken

Je viens de me faire déglinguer pendant 10 minutes par Flav. Parce que j'ai voulu sécher le charbon de ce soir qu'il avait prévu, pour passer du temps avec Ambre. Elle en a besoin en plus, je le sens, je l'ai compris à sa petite tête toute triste ce midi et à ses larmes. Mais Flav a trop raison. On tient notre rêve du bout des doigts. Encore quelques semaines de concentration et on l'aura vraiment en main. Après ça, je m'occupe d'Ambre H24, elle en pourra plus de moi, je crois.

Les morceaux qu'on veut voir figurer sur le skeud sont terminés, Lo les a encore une dernière fois retravaillés, manque plus que de les faire presser sur le support et les balancer à tous nos gavas qui nous suivent depuis le début. Mais apparemment, c'est pas si simple. Autant on a mis notre pognon dans la production, tout ça, mais faut bien que quelqu'un se charge de mettre en vente les albums. Pour ça, je crois que Flav doit faire le tour des maisons de disques, trouver la bonne, celle qui acceptera juste d'être l'intermédiaire pour la distribution. On en a parlé, tous les six, et on est tous tombés d'accord. On a pas charbonné de notre côté pour qu'un directeur artistique ou je sais pas qui vienne fourrer son nez dans nos prod' et les remixe pour en faire de la soupe formatée pour la radio. On s'en cogne de tout ça. On sait qu'on a suffisamment de gens derrière nous pour ne pas avoir besoin qu'une grosse radio passe nos sons.

Flav maitrise tout le côté gestion, appeler, écrire, faire des mails, négocier, tous ces bails relous, mais on peut pas le laisser gérer pour nous éternellement. Faut aussi qu'on se bouge. Il a dit qu'il en a parlé à Ambre, et que tout est Ok. J'espère qu'il se trompe pas. J'ai pas envie de la retrouver avec un bleu sur le front ou des touffes de sa tignasse en moins, parce que Flav lui aura dit de nous laisser se concentrer sur le skeud. Il était question au début qu'elle nous file un coup de main, mais l'idée est passée aux oubliettes. Je sais ap' si ça vient d'elle ou de lui, mais avec notre histoire, disons, tout sauf sûre, normal qu'elle ne s'implique pas trop. Et puis c'est mieux comme ça, je crois. Je ne serais pas très productif si elle passait tout son temps libre avec nous.

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A peine j'ai sonné chez Flav, à peine qu'il a ouvert la porte, et qu'il a beuglé « Big Mac en approche » aux gars, mes sacs remplis de burger me sont arrachés des mains et vidés dans la seconde par mes affamés de potes. Chacun se lance à la poursuite de sa boite, dans un bordel apocalyptique. Areno course Alpha, qui lui course Lo, qui court après moi. Sneaz boude parce que j'ai zappé ses filets O'fish et Flav reste à nous regarder, en fronçant les sourcils. Et désespéré surement par le comportement d'une telle bande de schlagues. Le message passe vite. On s'installe tous, sages comme des images, autour de Flav qui prend place derrière l'ordinateur et commence à nous lister les trucs à prévoir encore. Et se connecte sur la page du groupe qu'il a créée, où on passe plus d'une heure à poster des textes, des infos sur le merchandising des tee-shirts et encore des photos.

Alors que Flav finalise la présentation de la page d'accueil, Lo demande :

- Au fait, pour les tofs pour la pochette du skeud, ça se passe comment ?

- J'ai contacté Greg Toussaint.

Je sais ap' pourquoi, mais ça sent pas bon. Je tente, un peu con :

- Greg, comme l'ex d'Ambre ?

Je demande, sans grande conviction qu'il puisse s'agir de lui. Mais sur un malentendu...

- Lui-même, me répond Flav.

Et il me répond ça comme aç', tranquillement, sans pression.

- La bonne vanne, frère !

- C'est pas une vanne, Nek. Il fait des bêtes de trucs, et je me suis arrangé avec lui pour pas trop casquer. Il est fan de ce qu'on fait, je lui ai promis une place pour une des dates tout devant, pour faire des photos, un skeud et des dédi de tout le monde.

Instinctivement, je soupire, grave soulé à l'extrême. Je croise les bras en m'affalant le plus possible sur la chaise et fixe le sol, l'air songeur. Et vénère. Areno s'inquiète :

- Nek, il t'arrive quoi, wech !

- Rien, mais on peut pas demander à ton frangin, Flav ? Lui aussi, il fait des bêtes de photo, pour pas un rond, et on sera pas obligés de lui faire des courbettes pour des place de concert...

Les cinq gars me fixent, étonnés par mon comportement soudain et un peu froid. Sneaz soupire avant de m'enchainer :

- Mec, réagis. Faut arrêter avec tes histoires d'ex à la con. On taffe là, on s'en pète. T'en as aussi, des dizaines, dont certaines sont opé pour apparaître dans nos clips si on se décide à en faire, et gratos, mon pote. Tu crois qu'on va se faire chier à embaucher des meufs, qu'on devra payer parce qu'Ambre sera pas d'accord pour que tes ex jouent dans nos peu-cli ? On fait du rap, va falloir qu'elle s'y fasse. On peut pas faire que des trucs entre nous dans un pré, une voiture ou une piaule, hein !

Lui aussi a raison. Putain, c'est pas mon jour, tout le monde me donne tort. Ça fait un peu mal de s'en manger autant dans la même journée, mais les potes, s'ils sont pas là pour vous reprendre quand tu pars en vrille, ils servent à quoi ?

- Ken a raison, on va prendre mon reuf. Ce sera plus simple pour tout le monde, il nous connait, et l'inviter à nos live, ça me fait moins chier que pour ce mec qu'on connait ap' !

La décision, tranchante, mais légitime de Flav est accueillie par des « yeah » et des tchecks de rigueur. Sneaz continue à me fixer, et dans ses yeux, me revient une phrase qu'il a prononcé alors que je les lâchais tous pour la rejoindre.

« Cette fille est le diable »

La preuve ce soir, j'ai voulu rejeter une idée de Flav, alors que lui seul entreprend les démarches. Et tout ça pour quoi ? Parce qu'il a proposé que Greg nous prenne en photo. Ça aurait changé quoi au fond ? Ça reste du pro, je sais encore faire la distinction entre le pro et le perso. Même si j'ai eu une petite seconde de faiblesse, Sneaz a eu les bons mots pour me remettre sur le droit chemin.

Alors, Nek, reprends-toi, sérieux. Pense à elle, mais pense d'abord à ton groupe de potes, ton rêve qui pointe le bout de son nez. Elle ne sera sûrement jamais d'accord avec toutes les décisions que tu prendras, vis-à-vis de ta passion. Mais si elle t'aime vraiment, comme elle te le dit, elle sera obligée d'accepter tes choix artistiques.

Pas faux, gros.

---

- Tiens, Alpha, je dis alors que je recrache lentement la fumée de mon spliff, en le lui tendant.

- Merci...

Après l'effort, le réconfort. On est posés, tous dans le canapé, devant un match de NBA. Je comate trop pour suivre le jeu. Mais je reste, parce qu'on est trop bien, là posés. Je ne ressens même pas réellement le manque du cul d'Ambre posé sur mes cuisses. Parce que parfois, n'avoir que mes potes avec moi, ça fait du ienb, aussi. Faut pas que j'oublie que sans eux, je serais juste un petit babtou, paumé, sans trop de raison de vivre. Tous ne sont pas là, ce soir. Mais j'ai une grosse partie de mon noyau avec moi. Putain, j'ai trop fumé, je deviens sentimental.

Sneaz tire une gueule jusqu'à par terre quand je le vois lire, je pense un message sur son bigo. Il a l'air au bout du rouleau, mon Mo. Je voudrais bien qu'il m'explique, j'ai bien vu, ces derniers jours, c'est pas trop la joie, mais bon je sais pas trop comment m'y prendre pour lui parler. On est des mecs, on sait pas faire ça comme les meufs. C'est pourtant pas compliqué, mais je sais pas, je suis un putain de fragile. J'ai déjà tellement de mal à me démerder avec tout ce qu'il se passe dans ma tête, alors gérer ce qu'il s'passe dans sa tête à lui. Ça pourrait être en rapport avec une meuf, mais ça fait un bail qu'on en a plus vu, trainer avec lui. Depuis la reuss d'Ambre.

Ça doit être ça.

C'est à cause de Béné. Ma main au feu.


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