SEPTEMBRE 2018, PARIS.
PDV NÉLIA.
12h00, appartement de Ken.
Mes yeux s'ouvrait petit a petit alors que la lumière m'agressait déjà.
Je n'étais pas dans mon lit, et le souffle chaud sur mon cou me rappeler la nuit que je venais de passer. Je me lève discrètement en essayant de faire le moins de bruit possible, je prend un tee-shirt qui traînait sur le bureau avant de sortir de la chambre.
A mon plus grand étonnement, personnes n'était présent dans l'appartement, j'en profite donc pour aller m'allumer une clope sur le balcon. La vue etaih exactement la même qu'avant, me rappelant des tas de souvenirs tous plus joyeux les uns que les autres.
Et si j'étais jamais parti ? Si j'étais rester et que je lui aurait pardonner ? Peut-être qu'on serait encore plus heureux qu'au début.
Ken et moi, c'est : Je t'aime, moi non plus. Et ca depuis toujours.
Je regarde ma cigarette ce consommer et fini par la jeter par dessus le balcon, j'en avais plus envie.
J'ai rarement réussi à gérer mes envies de nicotine comme ca.
Je retourne dans le lit, comme si de rien n'était, mais c'était peine perdu, il était réveiller, plus je m'approcher plus je voyais ses prunelles marron s'agrandir.
- Je pensais que t'était parti.
- Tu pensais mal. Je suis la.
Je caresse doucement son visage fin, il avait presque de la barbe maintenant.
- Tu regrette ?
- Quoi ?
- Cette nuit.
- Non. Pas le moins du monde.
J'ai juste peur.
- Peur de quoi beauté ?
- Que ca recommence comme avant.
- Tu me fais confiance ?
- Je te l'ai accordé tellement de fois ma confiance Ken..
- Fait moi confiance, j'ai vingt-huit ans, j'ai plus envie qu'une chose maintenant, c'est toi, rien que toi.
- Tu m'a dit la même chose quand on s'est mis en couple y a deux ans.
- Sauf que cette fois-ci, c'est plus que sincère, j'ai vraiment envie qu'on se retrouve, rien que tout les deux. Pour la vie.
- J'ai envie de te croire..
- Mais ?
- Mais, la confiance elle est perdu depuis longtemps.
- Je peux rien faire contre ca, mis à par, la regagner.
- Je suis tellement folle amoureuse de toi, que ca me fait peur.
Il passe sa langue sur ses lèvres et entrelace nos doigts.
- Alors on recommence. On oublie tout, on reprend les mêmes base et on recommence comme avant.
Mes lèvres se scelle au siennes, un an que j'attend ce moment. Une putain d'année passer loin de lui.
18h00, appartement de Ken.
PDV KEN.
- Maman ? Qu'est ce que tu fait la ?
- Ah bah merci, ca fait plaisir. Je suis venu voir mes enfants, et ma fille plus particulièrement.
Elle ne me laisse pas le temps de réagir et rentre dans l'appart.
- Je me suis dit que..
Elle se tait d'un coup, en voyant Nélia debout dans le salon.
- Oh, Nélia.
- Bonsoir madame Samaras.
Ce que je l'aime cette fille.
- Mais qu'est ce que.. Enfin je veux dire tu avait laisser mon fils.
Je vois les yeux de Nélia chercher les mien et ses sourcils se froncent.
- J'ai eu mes raisons de partir croyais-moi, si votre fils aurait eu un meilleur comportement peut-être qu'il aurait eu le privilège de me garder dans sa vie un an de plus.
Modeste en plus cette fille.
Ma mere me regarde, elle était pourtant au courant des raisons de notre séparation.
- Bah ouais maman, tu sais bien que c'est moi qui est fait le con.
- Peut importe.
Elle soupire.
- Elle es la ta soeur ?
- Non, j'sais pas ou elle es.
Enfin, presque.
- Bon, dans ces cas la, je repasserai.
Elle me fait un bisou sur la joue et sans aucun regard ni parole pour Nélia passe la porte.
- Et bah, elle m'aime toujours autant on dirait.
Elle dit d'un ton ironique en s'affalant sur le canapé gris du salon.
- Le malaise quand elle a demander ou était Anaïs, laisse tomber.
Elle rigole et regarde son iPhone avant de soupirer.
- Je vais y aller, les gars vont pas tarder à rentrer et j'ai des tas de truc a faire.
- Non.
Je m'allonge à mon tour sur elle, l'empêchant de bouger, elle râle pendant de longues minutes mais fini par me faire un câlin comme d'habitude.
- Voilà, j'ai plus envie de partir maintenant.
Je souris et embrasse son cou, ca me fait tellement bien de l'avoir retrouver. Vous pouvez pas vous imaginez.
- On va chez toi ?
Elle grogne et fini par me pousser pour pourvoir récupérer ses affaires dans ma chambre qu'elle laissait traînait un peu partout.
- C'est toujours autant le bordel chez toi en tout cas. Heureusement que je vis pas ici.
Je rigole et essaye de me justifiée comme je peux.
- Je travaille moi mademoiselle.
- Excuse nous Monsieur l'acteur Ken Samaras.
Elle se fou clairement de ma gueule mais ca la fait rire alors, je la laisse faire.
Une fois toute ses affaires prise et après mainte et mainte vérification de n'avoir rien oublier on fini par enfin monter chez elle, mon pote heureusement que les gars ne sont jamais à l'heure.
Je rentre dans son appart après qu'elle est ouvert la porte et observe les lieux qui m'entoure.
Il me rappelait un peu le deuxième qu'on as eu avec Louis.
Ce n'était pas le bordel, toute était ranger, chaque chose à sa place, mis à part sur la table du salon et dans le canapé ou trônait un ordinateur, des feuilles, du tabac, des livres, des briquets, des feuilles, bref toute un tas de bordel dont la moitié devait appartenir à son frère.
- Ce soir, je vais pas pouvoir rester ma belle.
Elle sort sa tête de la cuisine ou elle était rentrer et fis une tête de chien battu.
- Pourquoi ?
- Je dois rejoindre Sneazz dans dix minutes au stud'.
Elle pose son sac sur la table du salon par dessus tout le bordel et s'approche de moi, avant de venir passer ses bras par dessus mes épaules.
- On vient à peine de se retrouver.
- J'annule.
- Wow, doucement Ken, je veux pas que tu néglige tes projets pour moi.
Ses yeux bleu me regarder avec incompréhension.
- Je t'ai négliger pendant plus d'un an, et j'ai pas envie que ça recommence, Sneazz peut attendre, un des gars ira a ma place.
Elle me sourit avant de poser ses lèvres sur les miennes.
- T'es le meilleur.
Elle dépose un chaste baiser sur mes lèvres et retourne dans la cuisine nous faire quelque chose à manger pendant que je saisis mon téléphone pour prévenir Moh.
A : Moh.
Je peux pas être au studio ce soir, imprévu de dernière minute je t'expliquerai.
De : Moh.
Il s'appelle pas "Nélia" l'imprévu de dernière minute ?
A : Moi.
Pas du tout
De : Moh.
Bien sur 😉 bonne soirée poto
C'est fini tout ca, je vais plus négliger Nélia comme avant.
Maintenant c'est Nélia avant tout, c'est Nélia avant le rap.