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OCTOBRE 2018, PARIS.

PDV KEN.

23h30, appartement de Ken, Mekra et Antoine.

Mon verre a la main, je regardais ma soeur se déhanché sur la piste de danse, elle était jolie ce soir, elle avait revêtu une robe noir, pas trop courte avec des collants fin noir, elle avait attaché ses cheveux brun en un chignon bouffi, elle n'était pas énormément maquillé, mais ca lui suffisait. Je n'ai jamais aimer qu'elle se maquille trop, et elle m'a toujours écouter.
Ses yeux dérivé souvent sur moi, et elle m'adresser de timide sourire, c'était un peu froid en ce moment entre nous, j'aime ma soeur passionnément, mais les événements qui se sont enchaîné nous avait un peu éloigné, et j'avais beau dire, ça me faisait mal au coeur.
Après quelques minutes, je lui faisait un coup de tête, vers le balcon, pour lui dire de venir avec moi, elle compris vite puisqu'elle arrêta vite ses pas de danse pour me suivre.
Je m'assois sur une chaise et elle reproduit le même mouvement en face de moi.

- Je veux pas qu'on s'éloigne tu sais..

- C'est de ma faute si on s'est éloigné.

- Non, ya pas que toi qui est fautive dans l'histoire.

- Si, parce que si je t'avais pas déçu, ca se serait pas passer comme ca..

- Hey, écoute moi ma belle, tu ne m'a jamais déçu, et tu ne me décevra jamais, t'es ma plus grande fierté.

- Même quand j'ai fumé ?

- J'ai étais en colère contre toi, mais c'est parce que justement, je ne veux pas te voir te détruire la santé, comme moi j'ai pu le faire, car je sais la répercussion que ca a sur la vie après.

- Tu sais, je suis désolé, je sais que je t'ai blesser.

- C'est du passé.

- Non, parce que encore aujourd'hui, je te fais souffrir à cause de Louis.

- Ce qui me fait souffrir c'est pas que tu sois amoureuse de Louis, je peux pas t'en vouloir pour ca, ce qui me fais souffrir, c'est que comme avec Deen, je sais comment ca va se finir.

- Ca fini pareil avec chaque gars.

- Un jour,tu trouvera le bon.
Elle hausse les épaules et tourne le regard vers la vue qui s'offre à nous.

- Alors comme ça, c'est sérieux le projet avec Nélia ?

- Comme jamais. Elle ma pardonné et je me suis jurer de plus jamais la faire souffrir.

- Lui fait pas de promesse que tu pourras pas tenir.

- T'inquiète pas pour ca, j'ai bien retenu la leçon.

- Câlin ?

- Câlin.
Dis je en ouvrant mes bras pour qu'elle vienne s'assoir sur mes genoux pour me serrer fort contre elle, qu'est ce que je l'aime cette gamine.

- Je t'aime fort fort fort fort.
Je rigole et embrasse sa joue.

- Moi aussi, je t'aime, ma belle.
Je la vois sourire et poser sa main sur mon épaule.

- Au faite elle est ou Nél' ?

- Chez elle, elle avait mal à la tête, d'ailleurs je vais aller la voir.

- A demain alors.
Elle me fait un bisou sur la joue et se lève.

- Fait attention a toi, si y'a quoi que ce soit j'suis au dessus.
Elle hoche la tête sans rechigner et se dirige vers notre chambre tandis que moi je sort de l'appart pour monter un étage au dessus, étant donner que la porte était ouverte, je rentre, pose ma veste, enlève mes chaussures comme chez moi. L'appartement était plonger dans le noir, et je savais que dans ces cas la, je n'allais pas retrouvé un Nélia de très bonne humeur.
J'enlève mon pull et mon jean que je laisse dans la salle de bain, et me dirige vers sa chambre, elle aussi plonger dans le noir, je pouvais juste apercevoir sa silhouette allonger sur le lit, elle avait juste une brassière et un short pyjama.
Je m'allonge à côté d'elle, et en posant ma main sur son ventre, je m'aperçois qu'elle a très chaud.

- Bébé. Ca va ?

- J'ai mal à la tête, c'est horrible.
Elle se retourne vers moi et la lumière de la lune me faisait apercevoir son teint blanc, on aurait dit une morte.

- Ta pris un truc ?
Demandais-je comme si elle n'avait rien pris.

- Ca fait rien.

- Ta fait un cauchemar c'est ça ?
Elle hoche la tête, et je vois ses jolies pupilles bleu ce remplir de larmes, petit a petit, elle explosa en sanglots dans mes bras.
Je ne savais pas exactement ce qui se passer dans ses fameux cauchemar, mais ce qui était sur c'est que ca la traumatisé depuis plusieurs années déjà, et qu'il fallait qu'elle en parle, malgré mais conseils, elle persister à refusé mon aide ou l'aide d'un psy.
Je fais des allé retour avec ma main dans son dos, essayant de la consoler comme je le pouvais.

- Ca te dit du chocolat ?
Dis je une fois que je sent qu'elle est calmer et que ses larmes se sont arrêtées.
Elle rigole et me dit oui.

- J't'aurais bien proposer du whisky mais vu les circonstances on va éviter.

- T'es con. Par contre je veux bien du coca.
Elle dit en ricanant.

- Louis,il serait la il dirait quoi ?

- Nélia arrête de boire du coca sans whisky !
Elle dit en finissant ma phrase. Je savais comment la faire rigoler, et ca me faisait vraiment plaisir de la voir le sourire aux lèvres.

- J'vais te chercher ca beauté.
J'embrasse son front et elle se pousse de manière à ce que je puisse me lever pour aller lui chercher deux tablettes de chocolat et du coca. Avant que je n'ai fini de tout prendre, je sent ses bras enlacés mon bassin, m'obligeant à arrêter mes mouvements.

- Tu veux pas qu'on les face chier un peu ?

- C'est à dire ?
Un petit sourire apparu au coin de ses lèvres, diabolique celui ci.

- Je m'appelle madame Kaneki, mes horribles jeunes voisins font un terrible bruit, et je travail demain, il est passer 23h, pourriez vous passer leur dire de baisser le volume ?

- Non ? On va pas faire ca ?

- Et pourquoi pas ?

- Ca y est je vois que ca va mieux ta tête toi.

- Ah oui et j'ai terriblement mal à la tête.
Elle se détache de moi et attrape son iPhone poser sur la table de la cuisine, elle la vriament fait cette malade.

F. E. UWhere stories live. Discover now