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PDV KEN.

Alors que je montais les dernières marches menant à l'appartement de ma copine, je fus surpris en voyant les trois personnes présente devant la porte, je m'approchais doucement sans savoir à quoi m'attendre.

- Monsieur, bonjour.

- Bonjour.
Hesitais-je quelques instants, ne sachant pas pourquoi ces trois personnes étaient présente un dimanche matin à 6h du matin.

- C'est bien mademoiselle Mathis Nélia qui habite ici ?

- Oui.

- Vous habitez ici ?
Un des deux policiers présent me demande.

- Non, j'habite en dessous, Nélia est ma copine, je la rejoins.

- Y a un problème ?
Je vis les yeux du troisième types habiller lui en costard, lui ce n'était pas un flic, se baisser vers le sol, n'osant plus m'affronter.

- On aurait besoin de la voir.

- Je vais la chercher.
Je m'approche de la porte, pour l'ouvrir mais au moment où, j'allais insérer la clef, elle s'ouvrit sur Nélia, les yeux pleins de sommeil et les cheveux en bataille, encore en pyjama.

- Mademoiselle Mathis ?

- Euh oui ?

- Bonjour, je suis l'officier Reynaud et voici l'officier Girard, ainsi que Monsieur Hidalgo, maire de la ville.

- Qu'est ce que je peux faire pour vous ? Y a un problème avec mon frère ?

- Je suis dans le regret de vous annoncez le décès de votre frère, accidenté cette nuit.

- Toute mes condoléances Mademoiselle.
Continua le maire.
À ce moment précis, la bouche de Nélia s'ouvrit mais ne ce referme pas.

- Qu'est ce qu'il c'est passer ?
Dis je voyant que Nélia n'était plus capable de parler.

- Monsieur Mathis à eu un accident de voiture, et à percuter un platane. Une enquête va être ouverte.

- Non c'est pas possible ! Pas encore une fois ! Vous êtes sûr que c'est lui ?
Bizarrement Nélia, ne pleurer pas, et garder son sang froid face aux personnes devant nous.

- Il avait ces papiers sur lui, et nous avons pu l'identifier grâce à sa plaque d'immatriculation.
Blanc, plus personne n'osent parler. Je voyais le visage de Nélia blanchir, et ses mains lâcher la poignée de la porte qu'elle tenait fermement.

- Nous vous recontacterons pour l'enquête, vous avez tout notre soutient durant cette dure épreuve, n'hésitez pas si vous avez la moindre question, à me joindre.
Il lui tendus une carte que je prend après que Nélia est passer quelques secondes à la regarder.

- Encore toute nos condoléances Mademoiselle Mathis. Au revoir. Monsieur.
Un cou de tête, et ils étaient parti.
Un battement de cils et les sanglots de Nélia se faisait entendre. 

- Il est mort Ken.. Dit moi que c'est pas vrai.. Dit moi le je t'en supplie.

- J'aimerai bien ma chérie, j'aimerai bien..
Elle se tourne et se dirige vers l'intérieur, ou, elle reste quelques secondes à observer la pièce, avant de fondre en larmes.
Moi, j'étais planter la, comme un imbécile, à ne pas savoir quoi faire.

- Oh frère, ça va ou quoi ?
Il me regarde et voyant que je ne répondais pas tourne la tête et vois ma copine, entrain de sangloter encore et encore.

- Wow, il se passe quoi ?

- Il s'est passer un truc grave frère. Va falloir être fort.
Je savais que Deen, Eff et Louis étaient proche, et je savais aussi, que cette épreuve n'allait pas être dur que pour Nélia.

- Vas y dit tu commence à me faire peur la
À ce moment précis, Nélia se dirige vers nous, son téléphone à la main, et sert mon kho dans ses bras.

- Il est arriver quelque chose à Louis, Deen, il est mort.
Aucune réaction, aucune. Il ne semblait pas réaliser, il passe ses mains sur son visage, avant de me regarder.

- Dit moi que c'est pas vrai Nek.
Un regard, et il avait compris, ce n'était pas une blague.
J'eus à peine le temps de chercher Nélia du regard, qu'elle était déjà rentrer, je m'empresse de la suivre, ne sachant pas quoi faire.

- Qu'est ce tu fait ?

- Mes valises.

- Attend un peu, les gars sont même pas encore au courant.
Je pose mes mains sur son visage, car je savais que c'était le quel moyen de la canaliser.

- Laisse moi le temps de les prévenir, et après je te jure, on fait nos valises et on part.

- D'accord.

- En attendant, allonge toi un peu.

- Ken ?

- Oui ma beauté ?

- Tu peux me rapporter son pull blanc s'il te plaît ?
J'hoche la tête, embrasse son front, et part dans la chambre de Louis, une fois le fameux pull trouver je lui rapporte et rejoint Deen dans le salon.

- Je peux te demander un service ?

- ouais.

- Aide moi à prévenir les gars s'il te plaît.
Ni une, ni deux, je le vois saisir son portable et commencer à appeler les gars, pendant que je préviens ce qu'il n'a pas appeler.

14H00.

Elle n'était pas sorti de sa chambre, je l'avais entendu sangloter et tourner en rond dans sa chambre toute la mâtiné. Tout les gars étaient au courant et la nouvelle avait déclencher des tonnerres de larmes, Deen le premier.

- Ma belle, les gars vont arrivés, ont viens avec toi.

Aucune réponse, même pas un regard.
Mais, sans que je ne m'y attende, je la vois se lever, essuyer ses larmes d'un coup de main,

- Alors allons-y.

- Tes sûr que ça va aller ?

- J'ai déjà vécu ça Ken, deux fois, une fois quand j'avais quinze ans, et la deuxième fois avec toi quand j'avais vingt ans. Ça tu vois, je savais que ça aller arriver, c'est malheureux à dire, mais ce n'est que la concrétisation des choses qui se sont passer les deux premières fois, on peut passer à côté de la mort deux fois mais pas trois. Je savais que ça aller arriver, un jour où l'autre, je m'y été préparer mentalement, même si je prier tout les jours pour que ce jour n'arrive jamais.

Je ne savais pas quoi réponse face à ça.

- Louis a toujours était un miraculer, mais pas cette fois ci.

C'est vrai, qu'il lui en arrive des choses, et qu'il s'en sort toujours.

PDV NÉLIA.

J'étais sorti de ma chambre, au côté de Deen dans le salon, j'attendais impatiemment les gars, il fallait que je sois au côté de ma mère pour cette épreuve, et je savais déjà, que le retour à Paris allait être dure, déjà la première fois, mon retour rester incertain.

Ça toque à la porte. Mes yeux se ferment, et je m'apprête à être regarder avec pitié par les gars. Et cela ne se fit pas attendre, à peine le regard d'Antoine poser sur moi, que j'essayais de faire mine que toute aller bien même si, la à ce moment précis, je n'avais qu'une envie, le rejoindre, et ne plus jamais le quitter.

"Je ne te laisserai plus jamais seule, c'est promis."

Il semblerait que tu n'est pas tenu ta promesse, mon étoile.

F. E. UWhere stories live. Discover now