Vendredi 19 Mai 2017, Paris.
PDV KEN.
- Sérieusement Ken.
- Quoi ?
Elle soulève ces cheveux lisse du côté de son cou, qui laisse apparaître plusieurs trace violette, faite par mes soins la nuit dernière.
- Je trouve sa très jolie moi.
- Tu est sérieux dans tes propos ou tu rigole la ?
- Ha non, je suis très sérieux.
- C'est malin, comment je vais faire pour cacher sa moi ?
- À toi de voir, la pro du maquillage.
Dis je un rictus au lèvres quelques peu amusé de la voir énerver à cause de simple suçon.
Elle tire sur son joint d'herbe, allumé exprès pour m'énerver. Puisque je sais qu'elle n'aime pas fumer le matin.
Elle écrasa la fin dans le cendrier qui trainait par terre et viens s'assoir à califourchon sur moi.
Mes yeux ne pu s'empêcher de parcourir son corps, encore nu de la veille, tout comme le mien.
- Arrête de me regarder comme sa, on dirait un vieux pervers.
- Peut être par ce que j'en suis un.
Elle lève les yeux au ciel et laisse aller ces mains sur mon torse.
Elle se penche de manière à ce que sa tête soit dans mon cou, pour pouvoir l'embrasser et le suçoter par endroit. Elle voulait se venger, mais pas de chance pour elle, moi sa ne m'atteignait pas.
Mes mains était descendu sur son bas du dos ou tronait ces petites fossettes.
Je savais qu'elle aimait sa, aussi bizzare que sa puisse paraître.
Ces lèvres pulpeuses et rosé atterrisse rapidement sur les miennes, m'embrassant de plus en plus sauvagement durant de longues minutes.
Elle était tellement belle bordel.
Aucune fille ne lui arrivé à la cheville, elle est différente, tellement spécial par à toute ces nanas que j'ai pu croisé.
PDV NÉLIA.
Je me décide alors que Ken dormait encore paisiblement sur le ventre à mes côtés.
Je m'habille avec un de ses tee shirt et un short pyjama avant d'ouvrir la porte de ma chambre pour me diriger vers la cuisine.
- Heu salut.
Je sursota à l'entente de cette voix féminine qui parvient au oreilles.
Je suis entrain de devenir parano ou quoi ? Je pensais pourtant être la seul fille habitant ici.
Je me retourne et mes yeux sorte presque de leur orbite en voyant une jeune femme blonde à peine vétû se tenant devant moi.
- Tes qui toi ?
- Heu bah, je suis Alice, une amie de..
Je rêve ou elle ne sait même plus qui la amenée ici ? Si elle elle ne savait pas, moi j'avais bien une idée.
- Louis ?
- Oui voilà, c'est sa. Je suis désolé je pensais pas qu'il était en couple.
Je pouffe presque de rire en voyant sa tête. Ma cocotte si j'avais était sa copine tu t'en serait déjà pris une.
- Détend toi, je suis sa soeur, par contre je te conseille de dégager vite fait, il aime pas trop voir ces conquêtes le lendemain matin.
- Ah je..
- Espère quoi que se soit d'autre qu'une nuit avec mon frère.
- D'accord, je vais récupérer mes affaires et je vais y aller alors.
- Ouais fais sa, ouais.
Je vais le niquer.
Elle part, en prenant soin de claquer la porte derrière elle tandis que je m'approche du balcon pour m'y aller ma première cigarette de la journée. Mon téléphone se met à vibrer dans ma main, maman.
- Allô ?
- Oui, ma chérie, c'est maman.
- Oui ?
- On est désolée tu c'est, pour tout.
- C'est bon. C'est oublier de toute façon.
- Tu est sur ?
- Oui mais maman, j'ai quelque chose à te dire.
- Dit moi.
- J'ai perdu le bébé.
- Qu-quoi ? Elle bégayer. Mais comment ?
- Je suis tombé, quelques jours après qu'on soit venu vous l'annoncer.
- Oh mon dieu. Je suis désolée chérie, je savais pas. Pourquoi tu nous la pas dit avant ?
- C'est pas si simple. Déjà il nous a fallu un certain temps à moi et à Ken pour accepter la nouvelle, alors après te téléphoner pour le dire franchement, j'avais pas le courage.
- Je m'en veux tellement.
- De quoi ?
- Tu à perdu ton bébé. Je devrais être là pour toi et au lieu de sa, je t'ai même pas appelé pour te demander des nouvelles.
- C'est pas de ta faute, t'était même pas au courant. Ta pas à t'en vouloir. Si tu doit à en vouloir à une personne c'est à moi et à personne d'autres.
- Non, dit pas sa.
- Maman, m'en veux pas mais je doit te laisser, faut que j'aille faire quelques courses.
- J'espère que vous êtes bien tout les trois dans votre appartement.
- Oui, bah du coup on a changer on en a pris un plus grand, mais je te raconterai plus tard.
- Oui, d'accord, bisous.
De : Léa.
Séance shopping cette aprèm ? J'ai besoin d'une robe pour la soirée chez Alph ce soir
À : Léa.
Pas de soucis. Dans une heure devant le centre commercial ?
De : Léa.
Sa marche poupée
Je raccroche et essuie encore une fois les larmes qui coulent sur mes joues.
Sa devient une habitude de pleurer sur se balcon. Une mauvaise habitude.
Au moins, j'étais réconsilié avec ma mère.
J'avais laisser mon côté rencunière de côté, pour une fois.
Je rentre dans l'appart et me dirige vers la chambre pour pouvoir m'habiller, et me maquiller.
J'essaye de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller Ken, mais apparemment c'est raté puisqu'il se retourne dans le lit en grognant. Je le vois tâter mon côté, visiblement à ma recherche, il ouvre un oeil et le referme aussitôt à cause de la lumière entrant dans la pièce.
- Re-bonjour, mon amour.
Je me dirige vers lui et saute sur le lit, je c'est qu'il déteste quand je fais sa le matin.
- Tu casse les couilles Nélia.
Ahlala, les mots d'amour des le matin. Sa fait zizir.
Je rigole et me laisse tomber sur lui alors qu'il grogne pour ensuite embrasser sa joue.
- Il est quel heure ?
- 15 heures.
Il soupire et fini par me pousser de sur lui pour pouvoir se redresser et s'etirer.
- J'ai trop bien dormi. Sa fait longtemps que tes lever ?
- J'sais pas sa doit faire une heure à peut près.
- Ah.
- Tu devinera jamais ce qu'est j'ai trouver dans la cuisine se matin ?
Il lève un sourcil et me regarde pour m'insiter à continuer.
- Une meuf.
- Une meuf ?
- Ouais une meuf, blonde, 1m80 à moitié à poil.
- Louis ?
Il dit un rictus au lèvres en se doutent de la réponse.
- Oui. Elle savait même plus comment il s'appelait stp.
- Ta fait quoi ?
- Bah je l'ai té-je gentillement.
Il rigole et enfile son caleçon avant de se lever.
- Tu va où ?
- Rejoindre Léa, elle veut une nouvelle robe vu qui a soirée apparemment chez Alpha soir ce.
- Tiens. Achète toi ce que tu veux. Et c'est pas discutable.
Il me dit en me tendant ce qui semble être, sa carte bleu.
- Nan mais tu déconnes la ?
- Non. Et passe chez Victoria Secret si tu veux encore plus me faire plaisir.
Il dit en revenant s'allonger à côtés de moi pour embrasser mes lèvres.
- Dans tes rêves.
Dis je en rigolant avant de me relever pour finir de me préparer.
- Et arrête de me matter.
Je dis en me dirigeant vers la salle de bain de notre chambre.
- Je matte pas, je regarde ce qui m'appartient.
22 heures.
- Et aller, il lui a encore aspirer le cou.
Dis Doums en soulevant mes cheveux de sur mes épaules pour faire voir mon cou à tout le monde.
- Ta vu son cou à Nek aussi ?
Intervient Antoine en me faisant la bise.
- Je vous arrête tout de suite, pour le cou de Ken je n'est fait que le vengé.
- Toute façon, il s'arrête jamais ces deux là.
Dis Idriss à son tour.
Je lève les yeux ciel et m'assois à côté de Ken après avoir embrasser ces lèvres.
Il passe son bras par dessus mes épaules et me colle un peu plus à son torse.
- Tes super belle dans ta nouvelle robe.
Il me dit à l'oreille alors que ses yeux dérivent vers le décolleté de la robe bleu nuit que j'avais acheter sous les conseils de Léa cette après-midi.
- Merci.
J'embrasse sa joue discrètement pour éviter les moqueries des autres met ma main sur sa cuisse.
- Tes passer chez Victoria Secret.
Dit il toujours dans mon oreille en touchant la bretelle de mon nouveau soutien-george également bleu.
- Tu verra bien ce soir.
- On va rentrer maintenant alors.
Je ricane en secouant la tête et remonte ma main un peu plus haut sur sa cuisse. J'aimais bien le provoquer.
- Arrête sa.
Il dit alors que je le sentais de crisper en sentant ma main remonter de plus en plus vers son entre jambe.
- Sinon quoi ?
- Sinon, je te prend maintenant tout de suite devant tout le monde.
- Tu n'oserait pas.
Je souriais en sachant pertinemment que à se petit jeux la, c'est toujours moi qui gagne.
- N'en soit pas si sûre. Si je peux pas te prendre ici même, y a des chambre en haut et par contre là j'en serai capable.
Il se crispa littéralement en sentant ma main, arriver sur son érection qui se faisait déjà dure, il bande déjà ce con, on était autour d'une table donc personne ne pouvait voir se que je faisait.
Il ferme les yeux et souffle en sentant ma main faire des aller retour sur son érection à travers son jean.
- Arrête Nélia.
Je pris -bien sur- un malin plaisir à continuer.
- Ça va frère ?
Dis Alpha en entendant Ken poussait un souffle trop fort.
- Ouais, t'inquiète. J'ai juste un peu chaud.
Très chaud même. Sans que je ne comprenne grand chose, je reçu le verre d'eau de Ken sur ma robe neuve. Il fis une tête étonné et me pris la main en se levant très vite pour m'emmener à l'étage, et je compris tout de suite. Ce n'est qu'un prétexte.