POV LANDO
2025
Quelques heures plus tard
Je commence à me réveiller doucement et je sens un poids sur moi, je me gratte les yeux avant de mourir la personne. Mon sourire s'illumine en voyant Winter dormir, je la serre contre moi.
Elle est tellement mignonne lorsque elle dort, son visage paisible et détendu. Je me sens chanceux d'avoir cette femme extraordinaire dans ma vie. Je caresse doucement ses cheveux.
Je reste allongé un moment, observant Winter dans son sommeil, me remémorant les souvenirs que nous avons créés ensemble.
Je dépose un doux baiser sur le front de Winter, la laissant continuer à dormir. Je me lève doucement,
Je quitte la chambre pour rejoindre la cuisine. Je vois une assiette et des cookies, je vois un mot posé à côté.
"J'ai fais des cookies pour toi, ils ne sont pas que aux chocolat :)
WinWin~"
Winter m'a fait des cookies, plusieurs couleurs différentes.
J'en prend un et je frappe mon poignée sur l'îlot central alors que je savoure le cookie. J'ai juré que j'ai la meilleure femme du monde.
Elle est non seulement incroyablement talentueuse en cuisine, mais elle sait aussi comment me faire plaisir d'une manière si spéciale.
Je ne peux pas résister à l'envie de manger les autres cookies, car ils sont tout aussi bons que le premier.
À chaque bouchée, je suis submergé par les sentiments d'amour et de bonheur.
Alors que je termine le dernier cookie, je suis comblé et satisfait. Je m'essuie les miettes de cookies des lèvres en souriant. Après avoir savouré les délicieux cookies préparés par Winter, je me sens comblé et satisfait.
Alors que je m'essuie les miettes de cookies des lèvres en souriant, je remarque que Winter est debout à proximité, l'air somnolent. Elle me regarde avec un mélange d'agacement et de surprise.
- Mais qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi fais-tu autant de bruit ?
Je réalise alors que j'ai été un peu trop enthousiaste et que le bruit de mon poing frappant l'îlot central a réveillé Winter de sa sieste. Je me sens un peu gêné et coupable de l'avoir dérangée.
Je m'approche d'elle, les mains levées en signe d'excuse.
- Oh, je suis tellement désolé, Chérie. Je ne voulais pas te réveiller. J'étais juste tellement emporté par la délicieuse saveur de tes cookies que j'ai peut-être été un peu trop bruyant, dis-je en m'excusant.
Winter me regarde, ses yeux encore un peu endormis, mais elle ne peut s'empêcher de sourire légèrement.
- Tu es vraiment incorrigible, Lando. Mais c'est bon de voir que tu apprécies autant mes cookies. Tu aurais pu me réveiller d'une bien moins agréable manière, tu sais, dit-elle en souriant.
Son sourire apaise mes inquiétudes et je me sens soulagé.
- Je suis vraiment désolé, Chérie. Je vais essayer d'être plus discret à l'avenir. Mais laisse-moi te dire que ces cookies étaient incroyables. Tu as vraiment un talent extraordinaire pour la pâtisserie.
Winter se rapproche de moi, un air taquin dans les yeux.
- Eh bien, si tu apprécies autant mes talents culinaires, peut-être que tu pourrais me faire pardonner en m'aidant à préparer le dîner ce soir ?, me propose t-elle.
Je souris, reconnaissant d'avoir une femme aussi compréhensive et indulgente.
- Bien sûr, mon amour. Je serais ravi de t'aider à préparer le dîner. Et promis, je serai beaucoup plus silencieux cette fois-ci.
Nous échangeons un regard complice, prêts à passer le reste de la journée ensemble.
POV WINTER
2 mois plus tard
Les mois sont passés et Lando et moi nous avons réussi à communiquer a distance. On a pas les mêmes emplois du temps, on se voit moins qu'avant.
Ah oui, mon nouveau coéquipier, c'est mon meilleur ami que je connais depuis des années et que j'aime trop taquiner.
Oscar Piastri
Il y a eu des changements dans la grille. La moitié de mes meilleurs amis sont entré en F1.
-Chez Sauber (Stake), Théo est venu pour sa première saison en F1. Valterri a pris sa retraite. Donc on a Zhou et Théo.
-Chez Williams, Frederik, mon meilleur est en duo avec Alex. Logan a décidé de se retiré de la F1.
-Chez Haas, Kevin et Nico sont parti et mes deux autres meilleurs amis Ollie et Arthur sont entré en F1.
-Chez Aston, Fernando est parti chez Mercedes, Lance reste toujours chez Aston Martin, Yuki a quitter RBVisacash pour rejoindre Aston Martin.
-Chez RBVisacash, Daniel et Yuki on quitter RBVisacash et a laisser place Isack Hadjar et un autre meilleur ami Liam.
-Chez Alpine, On ne sait pas ce qui c'est passé mais Pierre a décidé de partir d'un coup sans rien dire, Esteban est resté et Victor Martins le remplace.
-Chez Ferrari, Lewis et Charles reste chez Ferrari.
-Chez Mercedes, George reste et Lewis il a préféré partir en 2025 chez Ferrari. Donc on à Fernando à la place.
-Chez RedBull, Checo est parti et a laisser Lando prendre sa place. Max reste chez RedBull.
J'entre en salle de débriefing.
Je m'assois entre George et Arthur derrière dans la salle de débriefing, remarquant immédiatement que George n'a pas l'air bien. Je sais que lui et Carmen ont connu des difficultés récemment, mais je ne savais pas qu'ils en étaient arrivés à se séparer.
Je prend sa main, et il la serra ma main doucement. Cela fait maintenant un mois qu'il semble être dans cet état, et je sens le besoin de lui montrer mon soutien d'une manière plus tangible. Sans dire un mot, je décide de l'enlacer doucement, lui faisant comprendre que je suis là pour lui.
Il renifle doucement, laissant échapper un soupçon de tristesse. Ses épaules semblent lourdes, et je peux sentir sa vulnérabilité à travers notre étreinte silencieuse. Je décide de ne rien dire.
Après un moment d'étreinte silencieuse, je sens que George commence à se détendre légèrement. Je relâche doucement mon étreinte, lui laissant l'espace dont il a besoin pour retrouver sa tranquillité.
- Comment te sens-tu maintenant ? lui demandé-je.
George lève les yeux vers moi, un léger sourire triste aux lèvres.
- Merci. Ça fait du bien d'avoir quelqu'un qui se soucie. Je suis encore en train de traverser une période difficile, mais ton soutien m'aide vraiment, répond George.
Je lui souris doucement, consciente que le chemin vers la guérison peut être long et complexe.
- Je suis là pour toi, dis-je.
George acquiesce, reconnaissant.
- Merci...
J'essuie doucement les larmes qui s'échappent de ses yeux. Mon cœur se serre en le voyant aussi vulnérable, mais je suis déterminée à lui apporter du réconfort et à lui remonter le moral.
- Arrête de pleurer Georgina, lui dis-je.
Un petit rire s'échappe de sa bouche, confirmant que mon surnom affectueux le fait sourire. Je lui pince doucement les joues, appréciant l'occasion de le taquiner un peu.
- Ah, tu sais que je ne peux pas résister à ta petite bouille triste. Mais je préfère te voir sourire, dis-je.
George secoue légèrement la tête, un mélange de reconnaissance et de taquinerie dans son regard.
- Tu es incorrigible. Toujours là pour me taquiner, même dans les moments difficiles, dit George.
Je lui adresse un sourire espiègle, sachant que notre amitié est tissée de moments légers et de taquineries.
- Eh bien, je suis là pour apporter un peu de légèreté dans ta vie. Et je sais que tu aimes ça, répliquai-je.
George me lance un regard faussement réprobateur, mais je vois une lueur de joie dans ses yeux.
- Tu as raison, Winnie. Ta présence et ton sens de l'humour me font beaucoup de bien, avoue-t-il.
Je lui donne une petite tape amicale sur l'épaule.
- Eh bien, c'est mon super pouvoir secret. Faire rire George Hamilton, champion de Formule 1, plaisantai-je.
George finit par éclater de rire. George secoue doucement la tête. Je rigole avec lui.
- Tu es incroyable, Winnie, dit George.
- Merci, George. C'est un honneur de pouvoir t'apporter un peu de légèreté et de joie, répondis-je. Tu vois, je t'ai fait sourire.
George me serre dans ses bras, m'offrant un geste d'affection sincère. Nous continuons à rire et à profiter de notre moment de complicité.
Arthur dors sur moi alors que ses jambes sur les chaises.
- Arthur, bouge tes jambes ! s'exclame Victor.
- Depuis tout à l'heure, il dort, répond Frederik.
- Arthur, bouge ton gros cul d'ici ! ajoute Isack.
- Flemme... murmure Arthur.
- Charles, tu peux dire à ton petit frère de bouger son cul ! demande Théo.
- Il va rien dire... répond Esteban.
- Je ne peux rien faire... dit Charles.
Finalement Théo et Victor parviennent à dégager les jambes de Arthur. Arthur pose sa tête sur moi et s'endort. Les autres arrivent et le débriefing commence. Je réveille Arthur.
Le directeur du débriefing parle de la course. Je commencé à m'ennuyer et cela se voyait avec les autres. Je commence à discuter avec Isack, Victor, Théo et Arthur. Charles et Esteban était devant donc pas pratique de les parler. Victor nous sort des bonbon de nulle part.
Nous mangeons tous des Dragibus mais sauf que je prend le paquet de Victor pour m'en servir mais que j'ai oubliée que il y a des sauvages autour de moi.
Arthur, Isack, Théo et Moi on se bagarre pour le paquet de Dragibus et Victor s'en mêle maintenant.
Le paquet tombe et les Dragibus tombent, on retient nos rire et on fait semblant de n'avoir rien vu alors que les bonbons se promènent par terre.
Je retiens mon rire.
- Tout va bien derrière ?, demande le directeur de débriefing
- Tout va bien, juste que Winter à éternuer bizarrement, dit-il Victor.
Victor se retourne pour me tirer la langue, et nous faisons de notre mieux pour garder notre sérieux. Le directeur du débriefing continue son exposé, ignorant notre petite distraction. Nous échangeons des regards complices, essayant de contenir notre rire.
Cependant, Charles décide de se venger en me lançant discrètement une boule de papier sur la tête. Je suis surpris mais je ne me laisse pas faire. Je décide de riposter en enlevant mes AirPods de leur boîtier et en lançant ce dernier sur la tête de Charles.
- Aïe..., dit Charles
Victor, Isack, Théo, Arthur, Esteban et moi-même nous retenons de rire, sachant que nous devons garder notre sérieux devant le directeur du débriefing.
- Tout va bien Charles ?, demande le commissaire.
- Je me suis fait mal avec mon doigt...
Un petit rire étouffé m'échappe, mais je me reprends rapidement en me mordant la lèvre pour contenir mon amusement. Les autres font de leur mieux pour ne pas éclater de rire, mais leurs sourires en disent long sur leur amusement.
Le directeur du débriefing, légèrement perplexe face à notre précédente distraction, poursuit son exposé sans trop s'attarder sur notre petite bataille discrète avec Esteban. Nous reprenons notre sérieux et écoutons attentivement, sachant que nous devons rester concentrés.
Soudain, sans prévenir, Théo tombe de sa chaise et atterrit par terre. C'est à la fois surprenant et comique, et cela déclenche un fou rire chez Victor, Isack, Charles, Arthur, Esteban et moi-même. Les autres, qui ne comprennent pas tout de suite la situation, nous regardent avec confusion.
Nos rires deviennent de plus en plus forts, et bientôt mes yeux sont remplis de larmes. J'ai mal au ventre à force de rire, mais je ne peux pas m'arrêter.
- Mais qu'est ce qui ce passe derrière ?
Théo se relève avant de parler.
- Je suis tombé monsieur, la chaise était cassé bien avant et le faite que je sois tombé on fait rire mes camarades compatriotes, dit-il.
- Tu vas bien ?demande le directeur de débriefing
- Oui je vais bien...
Théo retiens son rire alors qu'il remet la chaise. Esteban dit quelque chose qui n'améliore pas notre situation.
Nous nous efforçons tous de contrôler nos rires. Je cache mon sourire derrière mon t-shirt, et les garçons font de même. Petit à petit, la salle reprend son calme, et le débriefing reprend, bien que les sourires en coin et les yeux pétillants trahissent notre lutte pour ne pas éclater de rire à nouveau.
Cela va faire 10 minutes que je retiens mon rire en silence avec les garçons. Personne ne remarque rien.
Le temps passe lentement, et il semble que chaque minute soit une éternité. Nous nous concentrons sur nos respirations, priant pour que les rires contagieux se taisent enfin. Mais alors, Isack émet un bruit étrange, j'en peu plus...
Arthur, à côté de moi, tente de faire semblant de s'étouffer en toussant pour cacher son propre fou rire. Les autres essayent de garder leur sérieux, mais leurs épaules qui tremblent trahissent leur envie de rire.
Nous essayons de ne pas rire, je pose ma tête dans les genoux de George en me contrôlant. Alors que Charles se dirige vers la poubelle pour jeter un papier mouchoir, il trébuche.
Nous sommes tous en mode self-control
- Vous allez bien, monsieur Leclerc ? demande le commissaire.
- Oui, je vais bien..., répond Charles.
Il se retourne en riant en silence. Je commence à rire silencieusement, George qui avait tout vu est dans le même état que moi.
- Les Français ? demande le directeur de débriefing.
On se tourne tous.
- J'suis pas français..., dit Arthur.
- Waaaa, ça y est toi..., s'exclame Isack.
- Il dit ça que quand ça l'arrange, ajoute Théo.
- D'un coup, il est devenu monégasque..., dit Victor.
- Dinguerie de faire ça, dit Esteban.
- Nous ne comprenons pas la langue française, parlons anglais..., annonce le commissaire.
Nous reprenons donc notre sérieux et nous concentrons sur les sujets de discussion prévus. Les échanges deviennent plus professionnels et les idées sont partagées de manière constructive.
Charles éclate de rire d'un coup, nous commençons à rire.
- Les Francophones, mettez-vous devant, dit le commissaire.
Nous nous regardons les uns les autres, hilares, avant de nous organiser spontanément et de nous regrouper devant.
- Pourquoi il y a des dragibus par terre ? demande Ollie.
Tout le monde se tourne vers le sol.
- C'est eux là, dit Victor.
- Je ne suis pas dedans-, commence-je.
- Arrête de mentir Orh, dit Isack.
- Tout le monde s'est précipité. Pas moi, dis-je.
- C'est Théo, dit Arthur.
- Comment ça moi ?! s'exclame Théo.
- Tu as arraché le paquet, dis-je.
- Victor a éclaté le paquet juste après-, se défend Théo.
- HEIN ? Je le jure que sur ma vie que maintenant..., dit Victor.
- Mais bien sûr ! dit Isack.
POV LANDO
Alors que nous trouvons des bonbons par terre, les Français commencent à débattre, mais je ne comprends pas ce qu'ils disent.
Le directeur de débriefing commence à désespérer. Nous commençons tous à rire.
- Alors, on va vous séparer à la prochaine séance de débriefing, annonce le directeur de débriefing.
- Oh non ! s'exclament Winter, Théo, Victor, Isack, Arthur, Charles et Esteban.
Toute la salle éclate de rire face à leur réaction.
Alors que le directeur de débriefing désespère face à notre incapacité à comprendre le débat en français, nous commençons tous à rire. La tension se dissipe rapidement, remplacée par une atmosphère légère et joviale.
Le directeur de débriefing tente de garder son sérieux, mais finit par se joindre à notre rire contagieux.
- Bon, bon... je suppose que ce n'est pas de votre faute. Nous trouverons une autre solution pour le prochain débriefing, dit-il.
- Ouais ! répondent Winter, Théo, Victor, Isack, Arthur, Charles et Esteban.
Nous échangeons des regards complices, sachant que notre groupe soudé ne serait pas le même sans notre prochaine séance de débriefing ensemble.
Alors que les rires se calment et que nous nous préparons à reprendre notre mission, je remarque Winter taquinant discrètement Victor. Un sourire espiègle se dessine sur le visage de Winter, tandis que Victor essaie de garder son sérieux.
- Connasse...
Un léger rire s'échappe de sa bouche, mais il parvient à le retenir rapidement. Winter éclate de rire, mais se couvre la bouche pour ne pas attirer l'attention.
Le reste d'entre nous, y compris moi, assiste à cette scène avec amusement.
Le commissaire devant n'arrive plus à être sérieux à cause d'eux.
La séance se fini finalement. On se lève tous. J'allais me diriger vers Winter mais Winter cours vers George.
Depuis 1 mois George reste avec Winter, a cause de sa séparation avec Carmen mais j'ai l'impression que George fait en sorte que Winter reste près de lui. Je ne sais pas. J'ai l'impression que George s'attache à Winter pas en amitié mais j'ai l'impression que George ressent autre chose pour Winter alors qu'il c'est que je suis avec Winter.
Une grosse pointe de frustration et de jalousie monte en moi mais je sais que Winter restera fidèle. J'ai remarqué que aussi George sourit à la présence de Winter mais il ne sourit pas à la présence des autres. Il préfère plus traîner avec Winter que les autres...
...
POV WINTER
Plus tard, je me dirige dans la zone pilote. J'entre à l'intérieur, tout le monde est silencieux. L'ambiance était déjà tendue bien avant que je rentre dans la zone, il a du se passer quelque chose bien avant que j'arrive.
Lando à sa capuche sur la tête et George aussi...Je ne sais pas ou aller et dans quel direction. Et je remarque que les gars sont tous assis du côté de George que de Lando. Je par m'assoir à côté de Lando, il est ignorant et silencieux. Il est en colère, j'aurais même dit plus...
Je commence à lui chuchoter.
- Mon amour... qu'est-ce qui se passe... ? lui demandé-je, inquiet.
Lando ne répond toujours pas, mais sans hésitation, je prends sa main dans la mienne. Je veux lui faire savoir que je suis là pour lui, peu importe à quel point il est en colère ou frustré.
- Lando...
-Laisse-moi tranquille..., répond-il froidement.
Je suis choquée par sa réponse froide, sentant mon sang se glacer à sa façon de parler. Ses paroles sont empreintes d'une colère palpable, ce qui ne fait qu'aggraver la tension entre nous. Je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part.
- Lando, je comprends que tu puisses être en colère ou frustré, mais cela ne justifie pas de me parler aussi froidement. Nous devons trouver un moyen de communiquer nos émotions sans nous blesser mutuellement, dis-je, essayant de garder mon calme.
Lando tourne la tête vers moi, ses yeux reflétant toujours sa colère. Il semble être dans un état d'esprit défensif, prêt à se défendre.
- Je fais ce que je veux, Winter. Tu n'as pas à me dicter comment je devrais parler..., répond-il avec résistance.
Sa réponse me laisse sans voix. Je ne m'attendais pas à une telle résistance de sa part. Je le regarde, essayant de comprendre ce qui se passe dans son esprit. Je veux trouver une solution pacifique à cette dispute.
- Non, Victor... dis-je en voyant Victor en colère, prêt à en finir avec Lando.
Je bloque Victor et utilise toute ma force pour l'empêcher d'agir.
- Comment ça ?! Pourquoi tu la parles mal ?! s'écrie Victor.
Les autres viennent bloquer Victor et essaient de calmer la situation. L'énergie dans la pièce est tendue, et tout le monde ressent la frustration et le stress qui émanent de Lando.
Lando se lève mais je l'arrête en lui chuchotant doucement.
- S'il te plaît, chéri..., lui dis-je en posant mes mains sur son torse.
Victor fulmine de colère, ses poings serrés à ses côtés.
- Ne me retenez pas ! Depuis tout à l'heure, il bombe le torse en parlant mal à tout le monde ! s'exclame Victor.
Lando tente de repousser mes mains et de se libérer de mon emprise, mais je maintiens ma prise avec douceur mais fermeté.
- La violence ne résoudra rien..., dis-je calmement.
Victor continue de fulminer de colère, mais les autres interviennent pour calmer la situation. L'énergie dans la pièce reste tendue, et tout le monde ressent la frustration et le stress qui émanent de Lando.
Lando doit comprendre qu'il ne peut pas continuer à agir de cette manière sans conséquences.
Ils emmènent Victor autre part, ils partent de la zone. Lando lâche doucement sa pression, il se rassois mais moi je reste debout. Je ne sais pas si je dois être en colère ou triste...
Je regarde Lando et je ne sais pas quoi dire. Je décide partir mais il me retient en prenant mon poignet.
- Qu'est-ce que tu fais ? lui demandé-je.
- Je...
- Tu m'as dit de te laisser tranquille tout à l'heure...
- Je contrôlais pas ce que je disais.
- Tu as rejeté ta colère sur moi...
Il me tire d'un coup vers lui et je me retrouve assis à côté de lui.
- Chérie, je suis tellement désolé. Je ne voulais pas te blesser, ni rejeter ma colère sur toi. Je suis juste tellement frustré par la situation avec George et maintenant Victor.
- Je comprends que tu sois frustré, mais cela ne justifie pas de me faire porter le poids de cette colère. Nous devons trouver un moyen de gérer nos émotions sans nous blesser mutuellement.
Lando baisse la tête, ses épaules affaissées, manifestant un profond regret.
- Tu as raison. Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te faire du mal. Je suis juste dépassé par tout ça...
Je ressens toute la détresse de Lando à travers ses paroles et je ne peux pas m'empêcher d'être touché par sa vulnérabilité. Mon amour pour lui est plus fort que ma colère ou ma tristesse.
- Je sais que tu ne voulais pas me faire du mal. Je peux voir à quel point tu es dépassé par les événements. Je suis là pour toi, mon amour.
Lando se blottit contre moi, sa tête reposant sur mon épaule. Il laisse échapper un soupir de soulagement, se laissant aller à ma présence réconfortante.
- Merci. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi...
- Je t'aime, Lando...
Nous restons là, dans notre étreinte, laissant le temps s'écouler lentement. Je sens la tension se relâcher peu à peu.
- Lando, nous devons également nous rappeler de communiquer honnêtement l'un avec l'autre. Nous ne pouvons pas laisser les frustrations s'accumuler jusqu'à l'explosion. Promets-moi que nous ferons de notre mieux pour résoudre les problèmes ensemble.
Lando se redresse légèrement, ses yeux cherchant les miens, emplis d'une détermination renouvelée.
- Je te le promets, Winter.
Un sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je caresse doucement sa joue.
- C'est tout ce que je demande, mon amour.
Nous nous embrassons tendrement, nos lèvres se rejoignant dans un doux échange de réconfort et d'amour.
Nous nous étreignons encore un moment. Puis, lentement, nous nous séparons, nos regards se fixant avec une nouvelle intensité.
- Je ne serai pas là ce soir à la maison...
- Pourquoi ? demandé-je.
- Je dois faire des choses avec RedBull.
- Oh...
- Ne t'inquiète pas, je vais faire en sorte de rentrer vraiment vite.
- Oui, ne t'inquiète pas.
- Ne m'attends pas pour dormir...
L'alarme du téléphone de Lando sonne. Il la coupe.
- Rendez-vous avec RedBull encore, je suppose...
- Oui, désolé chérie...
Il m'embrasse tendrement avant de partir.
Je regarde Lando s'éloigner et je ressens un mélange d'émotions. D'un côté, je comprends ses obligations envers Red Bull et sa carrière, mais d'un autre côté, j'ai besoin de sa présence et de notre temps ensemble. Ces derniers temps, il y a eu de plus en plus de rendez-vous et d'engagements avec Red Bull, et bien que notre relation reste stable, je ne peux m'empêcher de ressentir un léger déséquilibre.
Je respire profondément, me rappelant que l'amour et la confiance sont les fondements de notre relation. Je sais que Lando m'aime et qu'il fait de son mieux pour jongler entre sa carrière et notre vie à deux.
Pourtant, je ne peux m'empêcher de me demander si nous pourrions trouver un meilleur équilibre entre nos emplois du temps chargés et notre relation.
...
Alors que je profite de cette soirée seule, je réfléchis à la façon dont je pourrais exprimer mes préoccupations et mes besoins à Lando.
Je me promets de parler à Lando dès que nous aurons une occasion calme pour discuter de nos emplois du temps et de la façon dont nous pouvons mieux nous organiser. Je veux que notre relation reste solide et épanouissante.
Mais en attendant, je me concentre sur les moments précieux que nous partageons lorsque nous sommes ensemble.
Je choisis de faire confiance à notre amour et à notre capacité à trouver un équilibre qui fonctionne pour nous deux.
Messages WhatsApp : F1
Pourchaise 🪑: Restaurant demain avec tout le monde, n'oubliez pas, on a déjà tout prévu.
Wintah : Personne ne m'a prévenue.
Yukinator : Bah maintenant oui 🤣
_______________________________
Je continue à parler avec les gars dans le groupes WhatsApp et j'éteins mon téléphone et je m'endors dans mon lit.
04:09 AM
Alors que je dors, j'entends du bruit dans la chambre, je tourne ma tête discrètement, je vois Lando avec le flash de son téléphone allumé, je regarde l'heure dans mon téléphone et il est 04:09 du matin...
C'est une blague j'espère ?! Il vient de rentré le lendemain !
Je suis submergée par un flot d'émotions contradictoires. L'irritation, l'inquiétude et la confusion se mélangent dans mon esprit. Comment Lando a-t-il pu rentrer si tard, voire si tôt le matin ? Mon cœur bat rapidement alors que je tente de calmer mes nerfs et de comprendre la situation.
Faisant semblant de dormir, je reste immobile, observant Lando s'approcher du lit. Il se glisse à mes côtés et m'attire doucement vers lui, déposant un baiser sur mes lèvres et plaçant ma tête dans le creux de son cou. Je peux sentir la chaleur de son corps et sa présence familière, mais cela ne dissipe pas mes interrogations.
Je décide de ne rien faire et de ne pas lui casser la tête, je n'ai pas envie de créer des problèmes.
...
Alors que Lando s'endort à mes côtés, je reste éveillée, incapable de trouver le sommeil. Mes pensées continuent de tourbillonner, mes inquiétudes persistent malgré sa présence réconfortante. Je jette un coup d'œil à ma montre et réalise que près d'une heure s'est écoulée depuis son retour à la maison. Il est maintenant 5 heure du matin.
Je rassemble quelques affaires et me dirige vers la salle de bain pour me doucher et me brosser les dents.
Sous la douche, l'eau chaude ruisselle sur ma peau, apaisant légèrement mes pensées tourmentées. Je me concentre sur le moment présent, essayant de trouver un équilibre intérieur.
Après ma douche, je m'habille et me regarde dans le miroir, puis je décide de retourner dans la chambre, prend mes affaires et je pars faire ma séance de sport.
3 heures plus tard
Finalement, après une séance intense, je rentre chez moi, épuisée mais satisfaite de mes efforts. Je sens la fatigue dans mes muscles alors que je me dirige vers la salle de bain pour prendre un bain.
L'eau chaude m'enveloppe, apaisant mes muscles endoloris et détendant progressivement mon esprit agité. Je me permets un moment de calme et de réflexion.
Alors que je suis immergée dans l'eau, je réfléchis à la situation avec Lando...Il est vraiment rentrer tard...au point de revenir tôt le matin...
Une fois que j'ai terminé mon bain, je sors de la salle de bain, me sentant plus détendue. Je m'essuie, je sèche mes cheveux, je m'hydrate avec des produits avant de m'habiller confortablement.
Je pose mes affaires dans le linge et je vois qu'il est rempli. Je prends le panier à linge et me dirige vers la buanderie de la maison pour y déposer les affaires. Après avoir déposé les vêtements dans la machine à laver, je réalise que mes pensées préoccupantes continuent de tourner dans ma tête. Je sais que je dois aborder la situation avec Lando, mais je sens aussi le besoin de me changer les idées et de canaliser mon énergie d'une manière productive.
Je décide alors de me lancer dans une tâche qui me permettra de me concentrer sur autre chose : ranger et organiser toute la maison. Même si j'ai déjà fait cela hier, je pense que cela me procurera une sorte de soulagement et de sentiment d'accomplissement.
Je commence par la cuisine, rangeant les ustensiles, essuyant les comptoirs et nettoyant les surfaces. Je me déplace ensuite dans le salon, arrangeant les coussins, pliant les couvertures et dépoussiérant les meubles. Au fur et à mesure que je m'attelle à ces tâches, je sens mes pensées s'apaiser progressivement.
Je continue à travers les différentes pièces de la maison, trouvant du réconfort dans l'ordre et la propreté que je crée. Cela me permet de me concentrer sur l'instant présent et de mettre de côté temporairement les préoccupations qui m'ont tourmentée.
Après quelques heures, je termine de ranger et d'organiser toute la maison. Je m'arrête un instant pour admirer le résultat de mes efforts. La maison est impeccable et cela me procure une certaine satisfaction.
Je range la serpillière dans le placard de la buanderie, satisfait de voir que tout est en ordre.
Cependant, malgré la distraction momentanée que le rangement m'a apportée, je sais que je ne peux pas éviter la conversation avec Lando. Je me rappelle que la communication ouverte et honnête est essentielle pour maintenir une relation saine.
Je prends une profonde inspiration, déterminée à aborder la situation dès maintenant. Je me dirige vers la chambre où Lando se trouve probablement encore.
J'ouvre doucement la porte et il dort...Je me mord la lèvre, en soit je ne pouvais pas me plaindre, cela m'arrivait de dormir juste après une très longue soirée...
Je décide de ne pas le réveiller pour l'instant, sachant que le sommeil est important et que nous pourrons avoir cette conversation plus tard. Je sors de la chambre en refermant doucement la porte derrière moi, veillant à ne pas le déranger.
Pour me changer les idées, je me dirige vers le dressing. J'ouvre les portes et commence à réfléchir à ma tenue pour la soirée. En préparant ma tenue à l'avance, je me sens un peu plus en contrôle de la situation, même si les préoccupations persistent dans mon esprit.
Je choisis des vêtements confortables mais élégants, optant pour quelque chose qui me donnera confiance et me permettra de rester concentrée tout au long de la journée. Je met 1 heure pour trouver la tenue parfaite. Alors que je range ma tenue préparer, je sens une autre présence.
Je suis surprise de voir Lando rentrer dans le dressing avec une serviette autour de la taille et les cheveux mouillés. Son apparition inattendue me fait sursauter légèrement, mais je parviens à reprendre mon calme.
- Désolé, je me suis réveillé très tard, chérie..., dit-il.
- Ce n'est pas grave...
Le soir
- Tout le monde est à l'heure, c'est parfait, dit Alex.
- Lando n'est pas là..., remarque Zhou.
- C'était le premier au courant de tout mais il n'est pas là, ajoute Lance.
- Il agit déjà bizarrement ces derniers temps, dit Yuki.
- Max, tu sais où il est ? Vous avez prévu des choses chez RB ? demande Liam.
- Je ne sais pas où il est et on n'a rien prévu avec RedBull, ils nous ont laissé tranquilles comme d'habitude, répond Max.
- Non, là Lando le fait exprès, c'est pas possible ! s'exclame Ollie.
- Winter ? demande Max.
- Il m'a dit qu'il sortait faire sa séance de sport et faire un tour à Fontvieille, dis-je.
- Pourquoi faire ? demande Oscar.
- Je ne sais pas..., réponds-je.
- RedBull a dû faire un pressing de fou sur lui alors ? suggère Charles.
- Bah l'équipe fait que de féliciter Lando donc impossible que la cause soit la F1, les courses et ni RedBull, remarque Max.
- Max a raison, impossible que cela soit RedBull, Lando ne fait que dominer cette saison avec Max, ajoute Oscar.
- Ce n'est pas par rapport à hier ? demande Isack.
- Impossible, il ne peut pas rater un restaurant à cause de ça. Je le connais beaucoup trop bien, dit George.
J'appelle Lando plusieurs fois mais il ne répond pas.
- Il a éteint son téléphone, conclut Victor.
- Autant commencer sans lui, propose Carlos.
- Il a raison, ça commence à me casser la tête cette histoire avec Lando, dit Théo.
- On a vraiment perdu beaucoup de temps pour quelqu'un qui ne va pas se présenter, ajoute Arthur.
- Bon, commençons sans lui. Nous pouvons toujours espérer qu'il arrive plus tard, décide Alex.
Nous nous lançons dans la soirée, essayant de nous distraire avec la nourriture et les conversations, mais l'absence de Lando reste un sujet de préoccupation constant.
Alors que nous essayons de nous détendre malgré l'absence de Lando, je sens soudain une atmosphère différente. Les conversations s'estompent et les regards des garçons se tournent vers moi avec des sourires complices. Je suis surprise par ce changement soudain, me demandant ce qui se passe.
- Qu'est-ce qui se passe, les gars ? Pourquoi me regardez-vous tous comme ça ? demandé-je.
- Eh bien, Winter, même si ton anniversaire est déjà passé, nous avons décidé de te faire une surprise et de fêter ça ce soir, répond Alex.
- Nous savons à quel point tu as été préoccupée ces derniers temps et nous voulions te remonter le moral. Alors, prépare-toi pour une soirée spéciale ! ajoute George.
Pendant que les garçons parlent, un serveur approche avec un magnifique gâteau d'anniversaire. Il est orné de bougies scintillantes et d'une décoration délicate. Je suis touchée par leur geste attentionné et je sens mes soucis s'atténuer peu à peu.
- Oh, les gars, vous êtes incroyables ! Je ne m'attendais pas du tout à ça. Merci beaucoup, dis-je.
Les garçons sourient et m'entourent, partageant leur enthousiasme et leur joie. Nous nous asseyons tous autour de la table, prêts à célébrer cette occasion spéciale. Le gâteau est coupé et distribué, et les conversations animées reprennent, mais cette fois-ci, l'atmosphère est légère et joyeuse.