𝐓𝐀𝐒𝐓𝐄 𝐎𝐅 𝐋𝐎𝐕𝐄 - 𝙇...

Από -saturnn_

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Elle devient pilote de Formule 1 chez McLaren mais se fait détester par son coéquipier, nommé Lando Norris. M... Περισσότερα

Chapitre 1
Chapitre 2
𝗙𝗢𝗥𝗠𝗨𝗟𝗔 𝟯
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
𝗙𝗢𝗥𝗠𝗨𝗟𝗔 𝟮
Chapitre 9
𝗙𝗢𝗥𝗠𝗨𝗟𝗔 𝟭
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
Chapitre 63
Chapitre 64
Chapitre 65
Chapitre 66
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Chapitre 70
Chapitre 71
Chapitre 72
Chapitre 73
Chapitre 74
Chapitre 75
Chapitre 76
Chapitre 77
Chapitre 78
Chapitre 79
Chapitre 80
Chapitre 82
Chapitre 83
Chapitre 84
Chapitre 85
Chapitre 86
Chapitre 87
Chapitre 88
Chapitre 89
Chapitre 90
Chapitre 91
Chapitre 92
Chapitre 93
Chapitre 94
Chapitre 95
Chapitre 96
Chapitre 97
Chapitre 98
Chapitre 99
Chapitre 100
Chapitre 101
Chapitre 102
Chapitre 103
Chapitre 104
Chapitre 105
Chapitre 106
Chapitre 107
Chapitre 108
Chapitre 109
Chapitre 110
Chapitre 111
ᗷOᑎᑌᔕ

Chapitre 81

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Από -saturnn_

MEXIQUE

Je suis au Mexique et je suis réunie avec tout les pilotes dans le hall de l'hôtel. Nous organisons une sortie autour de Mexico City.

- Autant faire deux groupes de 10 personnes ! On ne choisit pas son groupe, c'est un choix aléatoire, propose Checo.

- Moi, je m'en fous tant que je suis bien, réponds-je.

Nous écrivons tous nos noms sur des morceaux de papier et les déposons dans un petit panier en bois.

- Il nous faut un autre leader pour le deuxième groupe, annonce Checo.

- Moi ! MOI ! s'exclame Daniel en sautant partout.

Le groupe éclate de rire devant l'enthousiasme de Daniel pour devenir le leader du deuxième groupe.

Checo : C'est bon, Daniel, tu es le leader de l'autre équipe ! Il est temps de tirer au sort.

Le groupe acquiesce en préparant les petits papiers avec les noms pour le tirage au sort. Daniel semble trépigner d'impatience.

Résultats :

Groupe de Checo : Lewis, Pierre, Lance, Logan, Carlos, Lando, Zhou, Kevin et Alex.

Groupe de Daniel : Max, George, Fernando, Charles, Valtteri, Nico, Yuki, Esteban et moi-même.

Les membres des deux groupes se séparent, chacun suivant leur leader respectif.

Je me trouve dans le groupe de Daniel. Alors que le groupe de Checo est déjà parti, notre groupe est toujours dans le hall.

- Ça commence déjà bien... dit Nico.

Tout le monde rit, malgré le retard de notre groupe. Finalement, nous nous mettons en marche et sortons de l'hôtel pour découvrir Mexico City.

Nous marchons à travers les rues de Mexico City, chacun avec une carte géographique de la ville pour nous guider. On se tient tous la main pour éviter de se perdre, et nous nous arrêtons souvent pour consulter notre carte.

- Bon, on est ici... je pense, dit Max.

- Attends, tournons cette rue et vérifions, propose George.

- Il fait tellement chaud, non ? remarque Fernando.

- Ouais, il fait vraiment beau aujourd'hui, dis-je.

- On devrait essayer cette petite taqueria sur le coin, suggère Charles.

- Pourquoi pas, répond Valtteri.

Nous finissons par trouver la taqueria que Valterri a mentionnée.

Nous entrons dans la taqueria, un petit restaurant local avec une ambiance chaleureuse et des senteurs alléchantes. Le propriétaire nous accueille chaleureusement et nous demande nos préférences en matière de tacos.

- Que désirez-vous essayer, mes amis ? demande-t-il.

On se met tous derrière Fernando, c'était le seul hispanique du groupe. On commence à éclater de rire.

- Je connais que la langue de Molière moi... commençais-je.

Le reste du groupe me pousse devant en criant que je suis une menteuse, je vois Charles avec un sourire malicieux.

- Charles aussi, il sait parler l'espagnol ! m'exclamé-je.

- C'EST FAUX ! proteste Charles.

- On demande à Carlos ?! lui proposé-je.

Tout le monde rit en poussant Charles devant aussi.

- T'es vraiment une balance toi, me dit Charles.

- Ohhh, pauvre Charlou..., murmurai-je.

Tout le monde rit alors que Charles essaie de m'attraper. La taqueria se remplit de rires et de plaisanteries alors que Charles et moi poursuivons notre jeu. Finalement, Charles parvient à m'attraper et à me chatouiller, ce qui me fait rire aux éclats.

- Vous êtes tous fous, ici, dit Fernando.

Le propriétaire revient avec un plateau de délicieux tacos et nous les sert avec un sourire amical. Nous nous installons pour déguster notre repas. Nous passons le reste du repas à discuter de nos aventures de voyage. Après avoir fini notre repas dans la taqueria, notre groupe décide de se balader davantage dans les rues animées de Mexico City. Nous explorons des boutiques locales. On atterrit tous dans un bus, et on ne sait même pas où il va.

- J'ai juré, plus jamais Daniel ne devient notre guide ! lance Yuki.

Nous rions tous des mésaventures de Daniel en tant que guide touristique improvisé. Le bus continue à nous emmener dans des endroits inconnus de la ville.

- Le bus ne s'arrête pas ! s'exclame Esteban.

- Quoi-hahahahahahaha, éclate Max.

Esteban appuie plusieurs fois sur le bouton d'arrêt mais le bus ne s'arrête pas, nous rions tous.

- Non là vous mentez ! proteste George.

- Si on se perd, dites-vous que c'est la faute à Daniel, dis-je en souriant.

- Le conducteur m'a ignoré alors que je lui ai gentiment demandé de s'arrêter, ajoute Fernando.

- En plus le soleil est bientôt fini de se coucher, remarque Charles.

Nous regardons tous par la fenêtre du bus, profitant du magnifique coucher de soleil sur la ville de Mexico City. L'atmosphère est remplie de rires et de camaraderie, malgré la situation inattendue. Certains d'entre nous sortent leur téléphone pour capturer ce moment. Le soleil disparaît progressivement derrière l'horizon.

- Au moins, on a droit à un coucher de soleil spectaculaire, commente Fernando.

- Daniel, ce sera un de tes moments inoubliables en tant que guide, dis-je.

- Vous m'en voudrez pas trop, j'espère, dit Daniel.

- Tant que tu nous ramènes à l'hôtel, ça ira, plaisante Max.

Tout le groupe continue de rire.

- J'ai ramené un Uno au cas où, annonce Valtteri.

- Je préviens, j'éteins tout le monde au Uno, déclare Yuki.

- Le Uno, c'est sérieux, Yuki ? demande Fernando.

- Oh, tu n'as aucune idée. Attends de voir comment je vais retourner la situation, répond Yuki.

Valtteri sort le jeu de son sac, je me met a côté de Yuki. Valtteri distribue les cartes, et nous commençons une partie impromptue dans le bus. Le jeu se poursuit avec des rires et des cris éclatent dans le bus alors que les cartes sont jouées.

Alors que nous sommes immergés dans notre partie de Uno, nous nous rendons soudain compte que la nuit est déjà tombée, et le bus continue de nous emmener dans des rues qui nous sont totalement inconnues. Le rire et l'excitation se transforment en une légère inquiétude.

- Les gars, on est tous bien d'accord que le bus allait dans le centre-ville, c'est même marqué, mais le centre-ville est derrière, fait remarquer George.

- Le conducteur est chelou..., ajoute Nico.

- Je ne le sens pas là..., murmurai-je.

- Moi je te suis Winter, après l'histoire de la Toscane que tu m'as racontée... Je t'écoute jusqu'au bout de ma vie, dit Charles.

La tension monte alors que nous réalisons que le bus s'éloigne de notre destination prévue. Les conversations sont ponctuées de regards inquiets par la fenêtre alors que les rues deviennent de plus en plus désertes.

- Nous avons pris le bon bus qui s'arrête devant l'hôtel, mais le problème, c'est le conducteur, constate George.

- Peut-être qu'on devrait vraiment demander au conducteur de nous arrêter, suggère Fernando.

- J'avoue, c'est pas drôle si on se perd complètement au Mexique, ajoute Max.

- On ferait mieux de faire demi-tour avant que les rues ne deviennent encore plus désertes, propose Valtteri.

- Allez, je vais aller parler au chauffeur, déclaré-je.

Je me lève, un peu nerveuse à l'idée de demander au chauffeur de revenir en arrière. Je m'approche de lui et tente de lui expliquer notre situation en espagnol.

Le conducteur ne répond pas à ses paroles en espagnol. Il continue de conduire comme si de rien n'était. Une vague d'inquiétude grandit parmi nous alors que le bus continue de s'éloigner de notre destination prévue.

- Il comprend pas l'espagnol ou quoi ? s'exclame George.

- Je commence à sérieusement m'inquiéter, ajoute Nico.

Le groupe échange des regards inquiets alors que la nuit noire s'étend autour de nous. Nous sommes pris au piège dans un bus qui semble nous emmener vers une destination inconnue.

Le bus continue sa route, nous éloignant encore plus de notre destination prévue. L'inquiétude grandit parmi nous alors que la nuit noire s'installe complètement. Les rues désertes que nous traversons ne semblent pas familières.

- Nous devons faire quelque chose, ce n'est pas normal, déclare Fernando.

- Winter, t'es sûr que t'as pas un autre récit sur comment t'es perdue quelque part ? plaisante Charles, mais je lui fait comprendre que ce n'est pas le moment pour ça.

- Il faut demander au conducteur de s'arrêter, propose Yuki.

Valtteri se lève de son siège et marche vers l'avant du bus pour parler au conducteur. Il tente de communiquer en espagnol, mais le conducteur reste silencieux et continue de conduire.

- Il ne répond pas. C'est bizarre, rapporte Valtteri.

- On devrait appeler l'hôtel et leur dire notre situation, suggère Max.

George sort son téléphone portable pour appeler l'hôtel, mais il se rend compte que son téléphone n'a pas de signal. La tension monte dans le groupe alors que nous réalisons que nous sommes complètement isolés dans un bus qui semble nous emmener n'importe où.

Nous restons tous assis dans le bus, essayant de comprendre comment nous en sommes arrivés là et comment nous pouvons revenir à l'hôtel en toute sécurité.

Le bus s'arrête dans un feux rouge.

Je me lève brusquement, enragée par la situation et inquiète pour le groupe. Sans réfléchir, je m'avance vers la porte du bus. D'un coup de pied bien placé, la porte s'ouvre brusquement. Le groupe se tourne vers moi, étonné de mon geste.

- Il n'y a pas de temps à perdre. Nous ne pouvons pas rester ici sans savoir où on va, dis-je.

Je descends du bus, mais le bus accélère d'un coup, je vois les autres tomber alors qu'ils descendaient du bus. Je suis par terre.

- SAUTER ! crie Daniel.

Alors que je me trouve par terre, je vois les autres sauter du bus les uns après les autres. La panique s'empare de nous alors que le véhicule s'éloigne rapidement dans la nuit. Nous sommes maintenant dans une rue sombre, sans savoir exactement où nous sommes ni comment retourner à l'hôtel.

Je me relève.

Le groupe se regroupe rapidement, un peu secoué par cette expérience soudaine. La nuit est tombée. La douleur dans mon poignet gauche attire mon attention. Je m'inspecte et remarque une petite écorchure. Rien de grave.

- Bon, nous ne pouvons pas rester ici. Nous devons essayer de trouver un taxi ou un autre moyen de transport pour revenir à l'hôtel. Restez groupés, annonce Fernando.

POV LANDO

Nous sommes tous rentré à l'hôtel, le groupe de Daniel on fait des stories Insta, je l'ai es regarder tout a l'heure.

- Ils sont passés où le groupe de Daniel, se demande Pierre.

- Il fait déjà nuit..., murmurais Carlos.

Je regarde mes messages et je vois le dernier message que j'ai reçu.

Winter...

Messages :

"Winter : On va rentrer très tard , nous avons pris un bus pas normal"

"Winter : Le conducteur du bus ne veut pas s'arrêter et je n'ai plus de réseaux 😭"

"Winter : Pas grave si tu ne répond pas à mes messages, je ne sais pas si je vais revenir vivante avec tout le monde 😅"

"Winter : Prend soin de toi au cas où si je meurs🤣❤️"

"Winter : Tu me manque beaucoup trop :( 💔"

"Winter : Je t'aime, hehe XD"

"Winter : Je vole ton smiley :p"

Les messages dates de 1h...

- Ça ne répond pas au téléphone, pour tout le monde, dit Checo

La panique m'envahit lorsque je lis les messages de Winter. Elle est dans une situation compliquée et ne répond plus. Je tente immédiatement de la contacter en l'appelant, mais il n'y a pas de réponse. La frustration et l'inquiétude montent en moi.

- Lando, qu'est-ce qui se passe ? me demande Carlos.

Je montre les messages inquiétants de Winter à Carlos et aux autres. La tension dans la pièce augmente alors que nous réalisons que Winter et son groupe sont en difficulté.

Nous essayons de contacter la police locale pour signaler la situation. Pendant ce temps, je continue d'appeler Winter, espérant qu'elle réponde.

POV WINTER

2 heures plus tard

Je suis terrifiée. Un sac est attaché sur ma tête, m'empêchant de voir quoi que ce soit. Je me demande avec angoisse qui sont ces personnes et pourquoi elles nous ont capturés. Je me concentre sur ma respiration pour rester calme, mais l'incertitude et la peur m'envahissent.

Nous sommes tous dans une sorte de salle vide, il fait froid, nos mains sont ligotées et on ne sait pas quoi faire.

- Sweet Caroline... pow, pow, pow-, chante Daniel.

- Daniel, ferme ta gueule, frère ! réprimande Yuki.

Le rire des autres pilotes montre qu'ils essaient de maintenir leur moral malgré les circonstances. Pourtant, je ne peux m'empêcher de m'inquiéter et de me demander ce qui va nous arriver.

- Il y a une personne ici, il s'est masturbé dans les toilettes d'un avion alors qu'il faisait croire qu'il avait une envie pressante, lance Daniel.

Les commentaires de Daniel et le rire du groupe apportent un moment de légèreté dans la situation tendue.

- Il y a une personne ici, il a réussi à se perdre en suivant un GPS pour piétons dans un aéroport, ajoute Charles.

- Cette même personne a commandé un café dans une boulangerie et a été surpris que le barista ne serve pas de nourriture, intervient Nico.

- Mais les gars... essaie de dire Esteban.

Tout le monde éclate de rire, temporairement distraits de notre situation stressante.

- Il y a une personne ici, elle a réussi à se faire poursuivre par un cygne dans un parc..., murmurai-je.

Les rires éclatent à nouveau alors que j'essaie de détendre l'atmosphère avec une histoire humoristique.

- Il y a une personne ici, est montée dans un ascenseur qui était déjà en panne, puis s'est plaint du mauvais service, ajoute Fernando.

- Ouais, et cette même personne a essayé de payer un taxi avec sa carte de bibliothèque, ajoute Valtteri.

- Pire encore, cette personne a confondu le sel et le sucre dans une recette de gâteau, dit Max.

- Cette même personne ici, a confondu le sel avec le sucre dans son café et l'a bu quand même, ajoute Yuki.

Nous éclatons tous de rire.

- Ce sont vraiment des histoires embarrassantes, commente George.

- Il y a une personne ici, a été tellement absorbée par son téléphone qu'elle a marché tout droit dans une fontaine, dis-je.

- Moi je... commence Daniel.

Soudain, la porte de la salle s'ouvre brusquement, interrompant notre jeu de mots et notre rire. Des hommes armés entrent dans la pièce.

- Assez de jeux. Tout le monde, levez-vous, ordonne l'homme armé.

La salle se plonge dans un silence tendu, les expressions de nos visages passent de l'amusement à l'inquiétude. Nous nous levons prudemment, nos mains toujours attachées.

J'entends un rire puis plusieurs, je retiens mon rire alors que l'homme crie.

- Silence !

Le rire cesse brusquement.

Les sacs en toile sont retirés de nos têtes, nous révélant l'endroit où nous nous trouvons. Il s'agit d'une pièce sombre et inconnue, aux murs en béton brut et au sol en carrelage. Nous sommes assis en cercle, nos mains encore attachées. La tension dans la pièce est palpable.

Cependant, je remarque un sourire furtif sur le visage de Daniel, suivi de ricanements étouffés. Je jette un coup d'œil à Esteban, qui essaie visiblement de retenir un rire.

- We got to celebrate our differences~ chante Yuki.

Les rires s'intensifient, même moi, je me mets à rire aux éclats. La situation, bien que dangereuse, nous a fait perdre un peu de notre sérieux, et la chanson de Yuki a déclenché un fou rire collectif qui nous soulage un instant du stress qui nous entoure.

- Vous allez vous faire bon sang ! crie l'homme armé.

Nous nous taisons immédiatement, comprenant que l'homme armé ne plaisante pas. La tension dans la salle augmente, et nos sourires s'effacent rapidement. Nous devons prendre cette situation au sérieux, mais on y arrive pas.

Il commence à nous fouiller tous. L'homme me fouille de partout.

- Nachos, taco, chimichanga~, chante Charles.

- Cause it's beautiful~, ajoute Daniel.

- When the whole world sing~, chante Nico.

Ils éclatent tous de rire alors que je me retiens de rire.

La situation devient de plus en plus absurde, malgré la menace qui plane. Les commentaires et les chansons continuent de faire rire tout le groupe, y compris moi, bien que je m'efforce de me retenir. L'homme armé semble de plus en plus frustré par notre comportement.

- J'ai dit CALMEZ-VOUS, BANDE D'IDIOTS !

...

Les minutes passent et je suis tout seule en train d'enfiler un outfit assez audacieux, qu'on m'a forcé à le mettre sinon je me fais tuer. Je remarque que d'autres femmes sont habillé de la même façon.

Je me dirige rapidement vers un coin plus tranquille, essayant de trouver un moyen de sortir de cet endroit. Mes pensées sont toujours remplies d'inquiétude pour les autres membres du groupe. Mon seul espoir est de trouver un moyen de communiquer avec le monde extérieur pour demander de l'aide.

Je réalise rapidement que toutes les sorties sont gardées et qu'il m'est impossible de m'échapper de cette situation. Mon cœur bat la chamade tandis que je cherche désespérément une solution. Je remarque que je suis dans un grand manoir. Je suis dans le jardin et il y a une odeur chimique qui me donne envie de vomir.

Je m'approche doucement, j'entends un homme crier, je m'approche discrètement et je vois cette homme crier sur Max. Il est en train de lui tirer les cheveux, lui donner des gifles de partout...

Je décide de prendre la pelle et de m'approcher lentement de l'homme violent qui agresse Max. Mon cœur bat fort dans ma poitrine, mais je sais que c'est peut-être ma seule chance de protéger mon ami. Je lève la pelle au-dessus de ma tête, et d'un mouvement rapide et puissant, je frappe l'agresseur à l'arrière de la tête. Il s'effondre, inconscient.

Max se tourne vers moi, ses yeux écarquillés de surprise et de soulagement.

- Winter ?! Nous devons le mettre quelque part et l'attacher...

Max et moi travaillons rapidement pour attacher solidement l'homme que j'ai assommé. Nous trouvons des cordes et des serviettes pour le maintenir immobilisé, espérant ainsi le neutraliser temporairement.

Pendant que nous attachons l'agresseur, nous entendons des voix approcher. Il semble que d'autres personnes de cette organisation se rapprochent de l'endroit où nous sommes.

Nous nous rendons compte que nous ne pouvions pas s'enfuir.

- On fait quoi..., lui demandé-je.

Max me serre contre lui et il met ses bras autour de moi. Il me chuchote doucement.

- Reste comme ça...

Les hommes s'approchent et je sens qu'ils sont arrivés devant nous.

- Wow mec, tu sais qu'il y a des chambres dans le manoir, dit un homme.

- Tu l'as payé combien ta pute, je la veux aussi ! ajoute un autre homme.

Comment ça "pute" ?

- Ça doit être une bonne prostituée elle, lance un troisième homme.

- Dégage, laisse-nous tranquilles..., réplique Max.

- Oh, elle ne parle pas anglais. T'as pris une mexicaine ?, se moque l'homme numéro un.

Les hommes ricanent de plus belle, apparemment amusés par leur propre vulgarité.

- Elle ne parle pas anglais, mais elle comprend parfaitement les idiots comme vous, rétorque Max.

Les hommes continuent de rire, et il est clair qu'ils ne comprennent pas notre situation réelle. Nous maintenons notre calme et notre silence. Finalement, les hommes s'éloignent, nous laissant seuls, Max et moi.

- Ces connards, ils croient vraiment que je ne sais pas parler l'anglais, et puis pourquoi "prostituée" ?! m'écrié-je.

- Si tu vas dans les derniers étages du manoir, il y a un réseau de prostitution, et tu es habillée de la même façon que ces femmes..., explique Max.

Mon sang se glace d'un coup.

- Quoi...

- Il ne faut pas paniquer, Winter. Pour le moment, il faut juste se concentrer sur notre évasion. On ne sait pas qui sont ces hommes et ce qu'ils veulent réellement. Trouvons une issue et sortons d'ici.

- Et les autres ?

- On doit les chercher...

Max me prend la main et on entre dans le manoir.
Nous nous s'infiltrons discrètement dans des grandes pièces du manoir.

Je repère Daniel de loin au centre de nombreux hommes. Je me rends compte que nous sommes dans un Cartel Mexicain.

- Tu es la seule qui peut y aller..., dit Max d'un ton sérieux.

Je lui adresse un signe de tête pour lui faire comprendre que je comprends.

- Je vais m'approcher de Daniel. Garde un œil sur moi et prépare-toi à intervenir si ça tourne mal, lui dis-je.

Avec prudence, je m'approche du groupe de Daniel, essayant de rester invisible.

Alors que je m'approche du groupe, je remarque que Daniel et les autres se retournent soudainement, alertés par ma présence. Leurs visages montrent un mélange de surprise et d'espoir en me voyant.

- Winter ?

Daniel semble à la fois étonné et soulagé de me voir. Les autres membres du groupe commencent à s'interroger sur ma présence.

Je décide de faire diversion en prenant un cahier et en frappant Daniel avec.

- T'es vraiment un connard. TU M'A TROMPÉ AVEC CETTE MEUF ! m'exclamé-je.

- QUOI ?! s'écrie Daniel.

Daniel, tout aussi confus, comprend rapidement mon plan et décide de jouer le jeu.

- Hé, calme-toi, je peux tout expliquer, dit-il.

Les autres membres du groupe se sont arrêtés pour regarder la scène je le prend avec moi alors que les rire ce font entendre.

Nous nous éloignons discrètement du groupe, continuant à feindre notre dispute. Alors que nous marchons dans les couloirs du manoir, Daniel me chuchote.

- C'était ta seule solution pour me libérer.

- Si tu n'aurais pas prononcé mon nom devant tout le monde, lui répondis-je.

Je fais signe à Max que tout va bien, et il s'approche de nous.

- Il manque George, Fernando, Charles, Valtteri, Nico, Yuki et Esteban, annonce-t-il.

Nous échangeons un regard inquiet.

- Nous ne pouvons pas les laisser derrière, dis-je.

- Je n'en suis pas sûr, mais il y a une aile du manoir que nous n'avons pas encore explorée. Il est possible qu'ils s'y trouvent, suggère Daniel.

- Dans ce cas, allons-y rapidement et prudemment, conclut Max.

Nous partons dans le manoir.

Alors que nous progressons dans le manoir, la tension monte. Chaque porte que nous ouvrons peut potentiellement cacher des dangers. Nous essayons de rester silencieux et discrets pour ne pas attirer l'attention des membres du cartel qui patrouillent la zone.

...

Je me dirige vers le bar et m'adresse au barman, expliquant ma situation et demandant s'il a remarqué un groupe de personnes correspondant à la description de mes amis. Le barman secoue la tête et me dit qu'il n'a rien remarqué d'inhabituel.

Je comprends que je n'ai pas vraiment d'autre choix. Dans l'urgence de la situation, je prends la place du barman, mais je garde un œil sur les clients et les environs, espérant voir un signe de mes amis.

Pendant que je travaille au bar, je continue à interagir avec les clients et à poser discrètement des questions sur la présence de George, Fernando, Charles, Valtteri, Nico, Yuki et Esteban dans le club. Malheureusement, personne n'a vu mon groupe d'amis, et je commence à me sentir de plus en plus désespérée.

Je vois une autre femme me rejoindre dans le bar, je regarde autour de moi et je vois un visage familier entré dans une salle. Je commence à courir et je réussi à entrer dans la salle.

Une fois dans la salle, je remarque qu'il y a Charles entouré de meuf qui semble le désirer. Je m'approche rapidement de Charles, qui semble être le seul dans cette salle. Mes yeux cherchent les autres, mais je ne les vois pas.

Charles et moi, cherchant un moyen de retrouver nos amis dispersés dans le manoir. Les couloirs sont sombres, mais nous devons rester silencieux et prudents pour ne pas attirer l'attention.

Nous descendons  pour aller au rez-de-chaussée du manoir mais nous entendons des tirs de balle. On se précipite jusqu'en bas et je vois tout le monde.

Daniel Max, George, Fernando, Valtteri, Nico, Yuki et Esteban.

La panique s'empare de nous alors que les coups de feu retentissent, nous poussant à courir pour nous échapper. La visibilité est réduite, et je perds de vue Charles et les autres.

Je cherche désespérément un endroit pour me cacher, me rendant compte que la situation devient de plus en plus dangereuse. Mon cœur bat la chamade, et j'espère que nous pourrons tous nous retrouver sains et saufs.

Je prend une grande veste qui peut me couvrir, je trouve ses basket qui sont à ma taille. Je retire les talons.

J'entends des coup de feu proche vers moi, alors que je cours vers la sortie. Je cours vers la sortie dans le jardin. Sauf que je tombe par terre.

Un homme du cartel me tire par les jambes.

Paniquée, je lutte pour m'échapper des mains de l'homme du cartel qui me retient. Mes mains griffent le sol, cherchant désespérément un moyen de m'échapper. J'essaie de crier à l'aide, espérant que quelqu'un dans les environs vienne à mon secours. Mon cœur bat la chamade tandis que je lutte pour ma vie.

J'entends les bruits de pas se rapprocher, signe que d'autres membres du cartel s'approchent.

Le soulagement m'envahit lorsque l'homme qui me tenait tombe brusquement. Je regarde autour de moi, cherchant à comprendre ce qui s'est passé, lorsque je vois Charles se tenir debout près de moi.

- Winter, viens vite ! crie Charles.

Sans perdre de temps, je me lève et le suis.

Nous courons à travers le jardin, essayant de nous éloigner autant que possible du manoir et des membres du cartel qui nous poursuivent.

- Winter, suis-moi, j'ai repéré une petite cabane dans la forêt tout près d'ici, dit Charles.

Nous continuons à courir en direction de la cabane, essayant de ne pas faire de bruit pour ne pas attirer l'attention des poursuivants. Le souffle court, nous atteignons enfin la cabane et nous y cachons en silence, espérant que les hommes du cartel ne nous trouveront pas.

Dans la petite cabane, Charles et moi nous cachons en silence, retenant notre respiration. Les minutes semblent interminables, et on entend les bruits des hommes du cartel qui passent près de nous à la recherche des autres membres de notre groupe.

- Nous devons rester ici jusqu'à ce qu'ils s'éloignent, déclare Charles.

Nous attendons patiemment. La nuit est froide, mais l'adrénaline de la situation nous tient éveillés.

Finalement, après un certain temps, nous entendons les bruits des hommes du cartel s'éloigner. Il semble que notre cachette a fonctionné. Charles et moi attendons encore un moment avant de décider que c'est suffisamment sûr pour sortir.

- Il y a des talkies..., murmurai-je.

Deux talkie-walkies sont devant nous.

- On doit vérifier si ça marche, dit Charles.

Nous récupérons les talkies-walkies et les examinons rapidement. Heureusement, ils semblent être en bon état de fonctionnement. Charles et moi échangeons un regard.

- Les gars, les gars, vous êtes où ?! On est tous séparés dans la forêt, s'écrie le talkie.

Nous écoutons attentivement.

- Il manque Charles et Winter, je crois qu'ils sont restés, dit la voix de Yuki. Charles allume le talkie pour répondre.

Nous reconnaissons les voix depuis les talkie et nous commençons à communiquer entre nous

Je regarde autour de la cabane et je remarque un plan géographique autour du manoir.

Je prend le talkie.

- Il y a une fontaine en pleine forêt, nous sommes juste autour de la fontaine. On peut se rejoindre là-bas. J'ai un plan du manoir extérieur, dis-je.

- C'est Daniel. J'ai un plan aussi, ajoute Daniel.

Nous laissons les talkies-walkies allumés pour rester en contact, et Charles et moi sortons de la cabane. Avec les plans que nous avons, nous tentons de nous diriger vers la fontaine dans la forêt, où le reste du groupe devrait nous rejoindre.

En chemin, nous essayons de rester cachés, conscients que nous pourrions toujours être poursuivis par les membres du cartel.

- Les gars, il y a déjà des gens devant la fontaine, c'est qui ? On dirait la corpulence de Max, demandé-je.

- Je ne suis pas dans la fontaine. Attendez les gars, arrêtez-vous. C'est qui dans la fontaine ? répond Max.

Charles et moi nous arrêtons brusquement.

- Je crois que les gens du cartel sont devant la fontaine. direction nord, soyez silencieux, conclut Charles.

Nous commençons à courir en direction nord, les pieds s'enfonçant dans la forêt alors que nous cherchons un endroit sûr. L'obscurité et le silence de la nuit rendent chaque pas incertain.

Nous entendons des coup de feu, je sursaute puis je tombe. Je me relève rapidement, secouée par la peur mais indemne. Charles est à mes côtés, préoccupé par la situation.

Nous reprenons notre course à travers la forêt. Alors que nous continuons à avancer à travers la forêt, le talkie-walkie s'active.

- Les gars, on est dans un rond-point, je suis avec Valtteri et Fernando. On se rejoint au rond-point, annonce George à travers le talkie-walkie.

Nous accélérons notre course en direction du rond-point. Les minutes semblent durer une éternité alors que nous atteignons finalement le rond-point.

Alors que nous poursuivons notre chemin à travers la forêt, nous apercevons soudainement des silhouettes se déplaçant rapidement. C'est Daniel, Max, et les autres membres du groupe qui courent dans notre direction.

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