Eclat d'espoir : Le combat po...

By LaFleurDeCristal42

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Nouvelle aube Sourires inédits Espoir renaissant Tissage de souvenirs inattendus Explorat... More

Musique 🎶
Avant-propos
🦋Prologue
🦋Chapitre 1 : Colocation
🦋Chapitre 2 : Soirée plage
🦋Chapitre 3 : Dalton
🦋Chapitre 4 : Beach Volley
🦋Chapitre 5 : Un diner presque parfait
🦋Chapitre 6 : Une revanche efficace
🦋Chapitre 7 : Premier cours
🦋Chapitre 8 : Café & co
🦋Chapitre 9 : Le casier
🦋Chapitre 10 : Bière pong
🦋Chapitre 11 : Drogues
🦋Chapitre 12 : Trace de cigarette
🦋Chapitre 13 : Fumée
🦋Chapitre 14 : Pas le choix
🦋Chapitre 16 : Le placard
🦋Chapitre 17 : La moto
🦋Chapitre 18 : Nous sommes deux
🦋Chapitre 19 : Le papillon
🦋Chapitre 20 : Cinq trolls
🦋Chapitre 21 : Pour combien
🦋Chapitre 22 : Jusqu'à la fin
🦋Chapitre 23 : Elles fonctionnent de nouveau
🦋Chapitre 24 : La dernière
🦋Chapitre 25 : Forte et courageuse
🦋Chapitre 26 : L'habitude
🦋Chapitre 27 : Surprise
🦋Chapitre 28 : Plus jamais
🦋Chapitre 29 : Promesse silencieuse
🦋Chapitre 30 : Morpho didius
🦋Chapitre 31 : Numéro
🦋Chapitre 32 : Consentement
🦋Chapitre 33 : Deal
🦋Chapitre 34 : Mamà
🦋 Chapitre 35 : Surf
🦋 Chapitre 36 : Travail
🦋Chapitre 37 : Tricherie
🦋Chapitre 38 : L'avenir
🦋Chapitre 39 : Le match
🦋Chapitre 40 : La dernière page
🦋Epilogue
🦋

🦋Chapitre 15 : L'appel

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By LaFleurDeCristal42

Montant dans la voiture de Brianna, je l'écoute parler d'un gars qu'elle a croisé. Elle est toujours si enthousiaste quand elle parle de ses rencontres. Je me contente de hocher la tête de temps en temps.

— Je te jure qu'il était incroyable ! La perfection !

Je laisse échapper un soupir léger.

— La perfection, ça n'existe pas.

Ses grands yeux me fixent.

— Parce que tu ne l'as pas rencontré !

Elle démarre et nous commençons notre périple jusqu'au centre commercial. J'ai fini plus tôt que prévu due à un professeur qui a été déclaré positif au virus. Brianna attend toujours une heure pour que l'on rentre ensemble, cette fois-ci, ce n'est pas le cas alors nous en profitons pour aller dans les galeries marchandes faire les boutiques.

— J'en ai rencontré beaucoup des beaux hommes, tous des connards.

Un rire éclate dans la voiture.

— Les garçons vont être furieux que tu les traites ainsi !

Je ne peux m'empêcher de rire à mon tour.

— Je ne les considérais pas comme faisant partie des beaux gosses.

— C'est encore pire ! Ricane-t-elle.

Je lève les yeux au ciel, un sourire taquin aux lèvres.

— Ce que j'essaie de dire, c'est que je ne les catégorisais pas comme des beaux-gosses-connards. Sauf peut-être Kayden.

— Ah oui, d'ailleurs, j'ai remarqué un rapprochement depuis la semaine dernière.

Elle me jette un regard significatif à plusieurs reprises tout en gardant les yeux sur la route. Mais le seul rapprochement que j'ai observé, c'est parce que j'ai fait des efforts pour bien m'entendre avec lui. Après tout, il m'a aidée et je lui suis reconnaissante pour ça.

— Concentre-toi sur la route, je ne veux pas mourir maintenant.

— Ne détourne pas le sujet.

— Nous nous supportons simplement, il n'y a pas lieu de dramatiser.

— Peut-être, mais je persiste à dire qu'il te protège un peu.

Je grimace face à cette affirmation.

— Il ne me protège pas, Bri. Il est juste... là, c'est tout. C'est comme si nous partagions le même espace sans vraiment nous impliquer.

Elle semble perplexe, mais je ne ressens aucune envie de prolonger la conversation. Les relations compliquées ne sont pas ce dont j'ai besoin.

— Bree, on n'est pas amis tous les deux.

— Pas besoin d'être amis pour protéger quelqu'un.

Elle me jette un regard. Pour moi, l'amitié implique une protection réciproque, comme Reeze l'a toujours fait pour moi.

— Et quand est-ce qu'il m'a protégée ?

— Premièrement, lorsque tu as failli te noyer.

— Eh bien, ce n'est pas vraiment protéger, mais sauver. Il l'aurait fait pour n'importe qui.

— Deuxièmement, intervient la conductrice, il n'arrête pas de te défendre.

À cette remarque, je ne peux retenir un éclat de rire.

— Qu'y a-t-il de si drôle ? Tu n'es pas là pour le voir, c'est tout !

Son ton exaspéré me fait rire davantage.

— Il ne m'a jamais défendue. Arrête de croire qu'on vit dans un roman, Bree. Hayden est simplement devenu plus... supportable.

— Tu viens de l'appeler par son prénom ! S'enthousiasme Brianna.

— Et toi avec Jason ?

Ses joues s'empourprent.

— De quoi moi et Jason ? On est amis d'enfance, si tu ne le savais pas.

— Si si, je le sais, mais j'ai vu comment il te regarde. Je ne suis pas une experte en amour, mais j'ai vu des films, et il te regarde comme Edward regarde Viviane.

— Arrête de dire des bêtises, Lee.

Je rêve ?

— N'invente rien sur Kayden et moi. Pff, il n'y a même pas de "lui et moi" de toute façon. Et contrairement à toi, moi, c'est la vérité.

La voiture s'immobilise sur une place de parking. Nous descendons alors de la voiture et nous avançons jusqu'à la sortie.

— J'ai hâte que tu découvres mes magasins préférés ! Tiens ! Comme ça, on s'ambiance !

Elle me tend un écouteur sans fil que j'insère dans mon oreille. Une musique énergique envahit mes sens, nous insufflant une joie contagieuse. Nos pas s'harmonisent au rythme de la chanson alors que nous avançons bras dessus, bras dessous dans la galerie marchande. Brianna fredonne les paroles avec enthousiasme, tandis que je me contente de l'écouter. La musique crée une bulle de bonheur autour de nous, nous éloignant temporairement du tumulte quotidien de la vie urbaine.

À travers la foule, nous progressons, parfois bousculées par des passants pressés, parfois glissant entre les allées plus calmes.

— Cette boutique de lingerie est la meilleure ! Vient on y va !

Brianna m'entraîne avec enthousiasme vers la boutique, où une variété d'ensembles attire mon regard. Les pièces sont à la fois magnifiques et séduisantes, avec de la dentelle délicate et des designs élégants. Je n'ai jamais porté de lingerie aussi sophistiquée, mais Brianna semble avoir un excellent sens du style. Je choisis quelques ensembles à essayer et nous nous dirigeons vers les cabines. Après avoir essayé les différentes options, nous nous rendons à la caisse pour finaliser nos achats.

Nous nous retrouvons avec un nouveau sac à la main. Cette fois-ci, c'est Brianna qui a fait des folies. Nous voilà désormais avec six sacs pendus à nos bras.

— Une pause ?

— Une pause !

Nous décidons ensuite de faire une pause bien méritée dans un café à proximité. Nous prenons place à une table près de la fenêtre, observant les passants déambuler dans la galerie animée. Brianna commande nos boissons préférées et nous nous installons confortablement, savourant ce moment de détente après notre séance intensive de shopping.

— Alors, comment trouves-tu cet après-midi improvisé ?

— Génial !

— Tout ce qui est improvisé est génial !

Je lui adresse un sourire reconnaissant. Je n'avais jamais vraiment fait de shopping, encore moins avec une amie. Une serveuse vient prendre notre commande.

— Merci Brianna, c'est la première fois que je fais du shopping, enfin avec une amie, lui dis-je après son départ.

   Un sourire tendre prend place sur ses lèvres. Une envie de me confier me prend, j'espère seulement ne pas le regretter.

— Chez mon père, c'était un enfer. Il ne me laissait pas un instant de répit. Quant à ma mère, les occasions étaient rares. Elle était très stricte sur les dépenses, ne voyant pas l'intérêt d'acheter de nouveaux vêtements. Elle estimait en avoir suffisamment dans son dressing.

— Tes parents sont divorcés ?

Je hoche simplement la tête.

— Et ta sœur, elle vit avec qui ?

— Ma sœur est le fruit d'une autre relation. Nous n'avons en commun que notre mère.

— Ton père n'a pas refait sa vie ?

J'essaie de garder un visage neutre.

Dieu merci, il n'a pas trouvé chaussure à son pied ! La pauvre femme !

— Non, c'était juste lui et moi, enfin, quand je n'étais pas chez ma mère pendant mes années de lycée. Et toi ?

— Oh, ma mère est décédée à son accouchement tandis que je suis la prunelle des yeux de mon père, on peut dire qu'on est fusionnel. Il m'a élevé tout seul. Il a tout fait pour que je ne manque de rien, du coup, je me donne tous les moyens possibles pour réussir et qu'il soit fier de moi.

Un sourire teinté de nostalgie illumine son visage, tandis que je lutte contre l'envie de laisser échapper mes larmes. Pourquoi mon enfance ne ressemblait-elle pas à la sienne ? Suis-je une si mauvaise fille pour avoir mérité cela ? Probablement.

— Qu'est-ce qui ne va pas ? Me demande-t-elle.

Je baisse légèrement la tête, essayant de dissimuler ma peine.

— Je suis heureuse que tu aies une si bonne relation avec lui. Finis-je par dire.

Et je le pense vraiment. J'aurais tellement aimé avoir une relation semblable avec mon père. Elle pose sa main sur la mienne, son regard m'incitant à dire quelque chose que je ne sais même pas encore.

— Veux-tu en dire plus sur ta relation avec ton père ?

— Je... Mon père est particulier. Il m'aime à sa manière.

— Pourquoi dis-tu ça ? Je ne comprends pas.

Comment répondre à ça ? La comprendrait-elle ? Me jugerait-elle ? Peut-être que cela me ferait du bien d'en parler à quelqu'un d'autre que Reeze.

— Mon père est spécial. Il est passionné par la boxe, au point de... l'appliquer sur moi.

Un éclat de rire me surprend et je relève les yeux vers elle. Se moque-t-elle vraiment de moi ?

— Une blague de mauvais goût, mais tu m'as bien fait rire. Je ne m'y attendais pas. Tu ne devrais pas plaisanter là-dessus, Lee. Il y a vraiment des gens qui subissent des violences.

Un rire nerveux m'échappe alors. Heureusement, la serveuse arrive à ce moment-là et dépose deux chocolats chauds ainsi que des pâtisseries sur la table. Nous la remercions.

— Bon, si tu ne veux pas parler de ton père, alors ta mère ?

— Elle est d'origine espagnole et est venue vivre dans ce pays. Elle est adorable, mais aveugle, elle ne voit pas ce qui se passe avec mon père.

Brianna éclate de rire mais pas de joie.

— Sérieusement, Lee, j'ai compris ta blague.

Je trempe ma lèvre dans mon chocolat chaud. Pourquoi pense-t-elle que c'est une plaisanterie ? Parce que son père est un ange, alors tous les autres le sont aussi ? Je n'aurais jamais dû essayer d'aborder ce sujet.

C'était la première fois que j'allais raconter quelque chose d'aussi important de ma vie intentionnellement, et j'ai été assez stupide pour penser que quelqu'un me prendrait au sérieux.

Je n'ai plus faim. Comment ai-je pu penser un instant que ma vie intéressait quelqu'un ? Est-ce qu'elle fait semblant de m'apprécier ? Me pose-t-elle des questions par courtoisie ? Je regrette.

— En tout cas, je sais déjà quelles tenues nous allons porter ce soir.

Je n'ai plus très envie de sortir. Seront-ils vraiment là pour moi ?

— Je reviens, je vais fumer.

Sous son regard surpris, je me lève précipitamment et quitte le petit café. Je me dirige droit vers l'entrée par laquelle nous sommes arrivées et je m'appuie contre le mur. En un instant, j'allume une cigarette, la coinçant entre mes lèvres, et je l'aspire pour qu'elle s'allume. Je la laisse brûler doucement, tout comme mes pensées sur l'amitié que j'entretiens avec Brianna. Comment peut-elle penser que je plaisante sur un sujet aussi sérieux ? Suis-je si expressive dans mon bonheur apparent pour qu'elle imagine que j'ai eu une enfance merveilleuse ?

Je le mérite de toute façon, c'est normal. Après quelques semaines avec des inconnus et je pensais être aussi attachante qu'eux pouvaient l'être. Mais maintenant, est-ce que je peux encore les appeler des inconnus ?

Quelle idiote d'avoir développé des liens si rapidement avec eux, juste parce qu'ils étaient attentionnés envers moi, juste parce qu'ils me cuisinaient à manger, juste parce qu'ils ne venaient pas pour boxer... tout ce que lui ne faisait pas.

Je suis minable.

Je saisis mon téléphone et recherche un contact.

Proprio.

Le pari qu'ils ont fait se termine la semaine prochaine. Je dois penser à trouver un autre appartement, et cette fois-ci seule, car je ne veux pas me sentir minable à nouveau devant des inconnus.

— Allô ? Résonne une voix tremblante dans mon oreille.

— Sébastien ? C'est Kaylee Fox, une des colocataires.

— Bonjour, ma petite ! Alors comment se passe cette colocation ?

— Bien. Ils sont sympas.

— J'en suis heureux ! Je ne pensais pas que tu tiendrais la semaine !

J'ai envie de le frapper. Pourquoi est-ce que personne ne pense que je suis têtue ?

— Qu'est-ce qui t'amène ?

— J'aimerais vous informer que je vais quitter l'appartement dans quelque temps.

Un silence s'ensuivit, si long que je pensais avoir été coupée, mais en vérifiant, je me rendis compte que ce n'était pas le cas.

— Sébastien ?

— Qu'est-ce qui vous fait changer d'avis ?

Cette fois, c'est moi qui reste muette.

— Petite, vous êtes la seule à avoir tenu si longtemps et à me dire que tout se passe bien. Si je peux me permettre, vous avez l'air d'être une sacrée tête de mule d'après ce qu'ils m'ont dit, et c'est exactement ce dont ils ont besoin.

— Ils... ils ont parlé de moi ?

— Je leur ai demandé comment ça se passait. Tu ne te laisses pas faire par le plus têtu d'entre eux et ça les ravit. Ils sont contents que tu sois avec eux.

Content ? Vraiment ?

— Je vous tiendrai au courant, monsieur.

J'entends un soupir de sa part, mais il ne semble pas abandonné.

— Tu feras le bon choix. À bientôt.

— À bientôt. Soufflais-je.

Nous raccrochons et je tire une bouffée de ma cigarette. Ils sont contents que je sois avec eux, mais Brianna ne me prend pas au sérieux quand j'aimerais me confier. Est-ce que c'est moi qui débloque ? Probablement.

— Lee ? Tu vas bien ? Tu es partie si vite que—

— Est-ce qu'on peut rentrer ? L'interrompis-je involontairement.

— Oui.

Je récupère quelques sacs qu'elle porte pour alléger sa charge, et nous nous dirigeons vers la voiture.

J'écoute, l'oreille collée contre ma porte, captant chaque mot échangé dans le salon. À notre arrivée à l'appartement, les garçons étaient absorbés par l'écran, un match à la télé, et j'ai refusé de me montrer. J'ai laissé mes sacs à l'entrée et me suis enfermée dans ma chambre dès que je suis arrivée. Mais leur conversation m'attire malgré moi. Malheureusement, je n'arrive pas à déterminer qui parle.

— Qu'est-ce qu'elle a ?

— Je ne sais pas, tout allait bien jusqu'à ce qu'elle parte soudainement fumer. Répond la seule personne féminine de la pièce voisine.

— Qu'est-ce que tu lui as encore dit ?

Les voix de mes colocataires résonnent, chacune chargée d'une inquiétude différente à mon égard. J'aurais voulu intervenir, leur dire que tout va bien, que je ne suis pas blessée, que j'ai l'habitude, mais je reste muette, figée par la peur.

— Mais rien ! On parlait de tout et de rien et soudain, elle a décidé qu'elle devait aller fumer, me laissant seule au café. J'ai dû boire les deux chocolats et manger les petites douceurs que nous avions commandées. Puis, quand je l'ai retrouvée dehors, elle voulait qu'on rentre. Dans la voiture, elle n'a pas prononcé une seule syllabe.

— Peut-être a-t-elle reçu un message ?

— Non, son téléphone est resté inactif depuis le début du shopping, à part pour mettre de la musique.

— Tu lui as peut-être dit quelque chose de blessant.

— Moi ?! Tu oses dire que je dis des choses méchantes ?

Leurs paroles m'atteignent plus profondément que je ne l'aurais cru. Ils ne peuvent pas comprendre, et pourtant, ils essaient de deviner, de résoudre l'énigme que représente ma vie.

— Je crois avoir compris ! Je reviens, ne venez pas !

Sans crier gare, des coups sont frappés sur ma porte. Je sursaute et me précipite pour m'allonger sur mon lit, posant mon ordinateur éteint sur mon ventre.

— Oui ?

La porte s'entrouvre pour laisser dépasser la tête brune.

— Dit Lee... Tout à l'heure, peut-être ai-je mal compris... Je me demandais si tu blaguais ou si tu étais sérieuse... Tu sais... Sur ton père.

Brianna avait ri lorsque j'avais évoqué mon père. Elle avait ri... comme si mes souffrances étaient une plaisanterie. Et maintenant, elle me demande si c'est vrai ?

— Bien sûr que c'était une blague !

Je lui offre le plus beau sourire que je peux.

Mes doigts se crispent sur mon ordinateur lorsque Brianna ricane gênée, en refermant ma porte. Dois-je sortir et leur dire la vérité ? Dois-je leur révéler les cicatrices invisibles qui marquent mon âme ? Ou dois-je continuer à garder le silence, à les laisser croire que tout va bien, que je ne suis pas brisée à l'intérieur ?

Le dilemme me torture. Mais au fond de moi, je sais que je ne peux pas rester silencieuse éternellement.

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