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De thirtyheart

747K 25.5K 55.8K

๐—ฏ๐—ฒ๐—ป๐—ท๐—ฎ๐—บ๐—ถ๐—ป ๐—ฝ๐—ฎ๐˜ƒ๐—ฎ๐—ฟ๐—ฑ โ€ข (pt.3) L'amour est comme le vent, nous ne savons pas d'oรน il vient (t1 : 27n... Mai multe

UN
DEUX
TROIS
QUATRE
CINQ
SIX
SEPT
HUIT
NEUF
DIX
ONZE
DOUZE
TREIZE
QUATORZE
QUINZE
SEIZE
DIX-SEPT
DIX-HUIT
DIX-NEUF
VINGT
VINGT-ET-UN
VINGT-DEUX
VINGT-TROIS
VINGT-QUATRE
VINGT-CINQ
VINGT-SIX
VINGT-SEPT
VINGT-HUIT
VINGT-NEUF
TRENTE
TRENTE-ET-UN
TRENTE-DEUX
TRENTE-TROIS
TRENTE-QUATRE
TRENTE-CINQ
TRENTE-SIX
TRENTE-SEPT
TRENTE-HUIT
TRENTE-NEUF
QUARANTE
QUARANTE-ET-UN
QUARANTE-DEUX
QUARANTE-TROIS
QUARANTE-QUATRE
QUARANTE-CINQ
QUARANTE-SIX
QUARANTE-SEPT
QUARANTE-HUIT
QUARANTE-NEUF
CINQUANTE
CINQUANTE-ET-UN
CINQUANTE-DEUX
CINQUANTE-TROIS
CINQUANTE-QUATRE
CINQUANTE-CINQ
CINQUANTE SIX
CINQUANTE-SEPT
CINQUANTE-HUIT
CINQUANTE-NEUF
SOIXANTE
SOIXANTE-ET-UN
SOIXANTE-DEUX
SOIXANTE-TROIS
SOIXANTE-QUATRE
SOIXANTE-CINQ
SOIXANTE-SIX
SOIXANTE-SEPT
SOIXANTE-HUIT
SOIXANTE-NEUF
SOIXANTE-DIX
SOIXANTE-ET-ONZE
SOIXANTE-DOUZE
SOIXANTE-TREIZE
SOIXANTE-QUATORZE
SOIXANTE-QUINZE
SOIXANTE-SEIZE
SOIXANTE-DIX-SEPT
SOIXANTE-DIX-HUIT
QUATRE-VINGT
QUATRE-VINGT-UN
QUATRE-VINGT-DEUX
QUATRE-VINGT-TROIS
QUATRE-VINGT-QUATRE
QUATRE-VINGT-CINQ
QUATRE-VINGT-SIX
QUATRE-VINGT-SEPT
QUATRE-VINGT-HUIT
QUATRE-VINGT-NEUF
QUATRE-VINGT-DIX
QUATRE-VINGT-ONZE
QUATRE-VINGT-DOUZE
QUATRE-VINGT-TREIZE
QUATRE-VINGT-QUATORZE
QUATRE-VINGT-QUINZE
QUATRE-VINGT-SEIZE
QUATRE-VINGT-DIX-SEPT
QUATRE-VINGT-DIX-HUIT
QUATRE-VINGT-DIX-NEUF
รฉpilogue
merci ร  vous๐ŸคŽ
TABLE DES MATIรˆRES
BONUS 1
BONUS 2
BONUS 3
BONUS 4
BONUS 5
BONUS 6
BONUS 7

t2 // SOIXANTE-DIX-NEUF

4.7K 208 763
De thirtyheart

𝙰𝚜𝚝𝚛𝚒𝚍 𝙿𝚊𝚟𝚊𝚛𝚍 𝙷𝚘𝚌𝚔

" I Want You To Stay" - Stay, Rihanna


- Termines de manger chéri.

Aaron - Je vérifie que Théna finisse son assiette.

- Je m'occupe de ça, t'en fais pas. souriais-je en passant ma main dans ses cheveux. Papa va pas tarder à venir vous récupérer, on active monsieur et mademoiselle. ma fille se mettait à gazouiller à côté de moi et je continuais de lui donner son petit pot.

Aaron - Tu seras là pour mon entraînement de judo vendredi ?

- Je termine trop tard mon ange, mais papa sera là.

Aaron - Moi je voulais trop que papa et toi soyez là. boudait-il, me faisant resserrer mon cœur.

- Désolée bébé, j'ai des joueurs à examiner pour leurs rendez-vous médicaux.

Aaron - Théna elle sera là ?

- Bien sûr, vous passez le week-end avec papa. Ça va être bien non ?

Aaron - Ouais.

Je passais ma langue sur mes lèvres en regardant mon fils qui avait perdu sa bonne humeur d'un coup. Et je m'en voulais de travailler tard et de ne pas pouvoir assister à ses entraînements parce-que je savais que ça lui tenait à cœur en plus. C'était comme si je marchais sur des œufs depuis que Benjamin et moi avions décidé de nous séparer.

Et le pire c'était qu'Aaron n'était pas encore au courant, on avait fixé une date avec le bavarois pour faire ça bien, pour lui annoncer. On digérait en premiers la nouvelle et après on en parlait à notre fils.

Une vingtaine de minutes plus tard alors que j'étais posée sur mon canapé, mon fils contre mon épaule et ma fille sur les cuisses, la sonnette retentissait et je savais qu'il s'agissait de Benjamin qui venait récupérer ses enfants.

Je lui disais simplement que c'était ouvert et il entrait dans la seconde d'après. Vu que ma porte d'entrée était juste en face du salon, Benjamin tombait direct sur nous. Il était encore en tenue de sport, signe qu'il avait fini son entraînement il n'y avait pas si longtemps que ça.

Aaron - Coucou papa. souriait-il en descendant du canapé avant de courir vers son père.

Silencieusement, je regardais la scène et préférais baisser mes yeux vers ma fille qui dormait contre moi pour ne pas avoir à affronter ça encore longtemps. C'était dur, trop dur.

- Chéri, va prendre ton sac, je pense que papa ne veut pas tarder.

Benjamin - J'ai rien de pressé t'inquiètes.

- Oh d'accord... Tu veux manger quelque chose ? lui proposais-je en me levant, calant bien Théna contre ma poitrine qui était en train de faire dodo.

Benjamin - Hum... Ouais- Ouais si ça te dérange pas.

Il buguait devant la vision de sa fille et de moi et je le comprenais, ça me faisait la même chose quand il était avec Aaron ou Théna.

- T'as de la chance, elle devrait pas être trop énervée ce soir. souriais-je doucement en me rapprochant du bouclé qui passait son doigt sur la joue de la petite.

Benjamin - Elle a mangé ?

- Ouais.

Benjamin - Et elle rampe toujours pas ?

- Non. soupirais-je. Le pédiatre a dit que ça pouvait prendre du temps. Surtout avec ce qu'il s'est passé pendant la grossesse, pas la peine de stresser pour ça Benou- Ben.

Benjamin - Hmm, t'as raison. J'espère juste qu'il y aura pas trop de problèmes.

- Pareil, je pense que là, ça suffit niveau soucis. avouais-je dans un murmure avant de lui donner sa fille et de me diriger vers la cuisine pour faire réchauffer les pâtes et la dinde pour Benjamin.

Benjamin - Dis, je pourrais avoir les enfants aussi le week-end prochain. me demandait-il en s'asseyant sur un tabouret après avoir posé Théna dans son parc à jouets, alors que je fronçais les sourcils en mettant l'assiette dans le micro-ondes et de me tourner vers le bouclé.

- Le week-end pro ? Je croyais que t'avais match et entraînement.

Benjamin - Ça a été annulé à cause des intempéries là-bas et mes parents vont descendre à Munich pour me voir... Et voir les gosses aussi.

- Bah ouais... Si tu veux.

Benjamin - T'inquiètes, je te donnerai un week-end à moi pour équilibrer le truc... Le temps qu'on trouve un arrangement. 'Fin tu vois ce que je veux dire.

Le passage devant le juge pour la garde des enfants.

Aaron - Papa, regardes ce que j'ai fait à l'école !

On se regardait dans les yeux avec Benjamin jusqu'à ce que notre fils arrive à ses jambes, s'asseyant telle une furie à ses côtés et lui montrant son magnifique dessin.

Benjamin - Oh c'est beau. C'est qui tout ce monde ?

Aaron - Alors j'ai fait parrain, tata Camille, Aleyna, Lola, Kendro, Rylès et Hilona. Là y a tonton Naël avec sa copine Emma, mamie Yaya, papi, mamie Lolo et là, y a Nana, maman et toi.

Benjamin - Pas mal du tout. avouait-il en faisant une petite moue avec ses lèvres.

Aaron - Et t'as vu, je me suis dessiné avec une tenue de judoka parce-que je vais devenir un athlète professionnel. Comme toi papa.

Benjamin - Je suis sûr que tu vas l'être champion.

Aaron - Avec maman, je vous ai mis en tenue de mariage, comme sur la photo qu'il y a dans ta chambre !

Je pinçais fortement mes lèvres entre elles, heureusement au final que je n'étais pas tombée sur le dessin, j'aurais pu me mettre à pleurer juste devant ça.

Benjamin - C'est joli mon cœur, va regarder la télé dans le salon, je mange et on y va.

Aaron - D'accord. Je peux mettre Théna sur mes genoux ?

- Seulement si tu fais attention.

Aaron - Promis !

Je souriais en le regardant partir en courant vers le salon et soupirais doucement en faisant un peu de rangement sous les yeux attentifs de Benjamin qui ne me quittaient pas. J'étais un peu gênée là tout de suite, c'était frustrant comme situation par rapport à tout ce qu'il se passait autour de nous deux.

Le bip du micro-ondes me sortit de ma transe et je prenais l'assiette en attrapant une fourchette avant de donner le tout à Benjamin qui me remerciait silencieusement. Je laissais mon dos reposer sur le plan de travail face à lui et regardais mes pieds en jouant avec, j'avais rien de mieux à faire de toute façon.

Benjamin - C'est sympa je trouve comme appart. me confiait-il une poignée de minutes plus tard.

- Ouais, j'avais peur de pas avoir un logement vite mais... Merci de m'avoir aidé.

Benjamin - Y a pas de problèmes, je t'avais dit que tu pouvais rester à la maison le temps d'acheter quelque chose.

- Hmm je sais mais... J'avais besoin.

Benjamin - Je vois.

Voulant à tout prix échapper à la situation plus qu'étrange que je vivais actuellement, je m'éclipsais dans le salon pour rejoindre mes deux enfants qui étaient collés l'un à l'autre. J'adorais comment Aaron jouer le grand frère protecteur envers sa sœur. On appelait la petite "la survivante", j'avais tellement cru ne pas y arriver ce jour-là au moment de l'accouchement.

Il avait été beaucoup plus compliqué que mon premier et j'avais eu peur de ne pas réussir à rentrer avec ma fille dans mes bras. Mais c'était une battante, une petite Pavard.


(...)



Les bras sous ma poitrine, je souriais à mon fils à travers la fenêtre de la voiture de Benjamin et lui faisais un petit signe de la main à lui et à Théna. Le grand bouclé ouvrait sa portière avant de se pencher vers le siège passager pour en tirer une enveloppe marron.

Et de suite, le mal au ventre revenait en flèche, je savais ce que contenait ce cadeau empoisonné.

Benjamin - Le rendez-vous est prévu pour dans deux semaines.

- D'accord. je prenais d'une main tremblante la longue enveloppe.

Benjamin - Tu devrais peut-être... Regarder ça avec quelqu'un, pas toute seule.

- T'inquiètes, je vais le faire avec un grand verre de vin. tentais-je de rire alors qu'il n'y avait aucune blague dans ce que je venais de dire.

Benjamin - Ouais, j'ai fait pareil de mon côté hier en lisant tout ça. Mais j'ai pas signé ni rien.

- Pourquoi ? je fronçais les sourcils en le regardant dans les yeux qui me rejetaient juste du mal-être.

Benjamin - Je sais pas, je te laisse commencer.

- D'accord. Bah je te ramènerai ça avant le rendez-vous.

Benjamin - Passe à la maison la veille. je hochais de la tête. Bon, je vais y aller.

- OK, profites bien avec eux. je posais ma main sur son épaule pour lui faire la bise et m'attardais de trop sur ses joues, quelle conne.

Benjamin - D'ailleurs, si tu veux venir quand y aura mes parents, tu peux hein, ma mère serait contente.

- Je pense pas que ce soit une bonne idée. avouais-je en caressant mes avants-bras avec mes paumes de main. Il serait peut-être bien que... De mon côté je commence à mettre un peu de distance avec ta famille, je vais pas supporter sinon.

Benjamin - Ouais je comprends. Bref, je te dépose les enfants dimanche soir.

- D'accord, Aaron va être excité ce week-end je te préviens, il était pressé de passer du temps avec toi.

Benjamin - Moi aussi, ça va me faire du bien de les retrouver un peu, ils m'ont manqué.

On se souriait doucement, ne sachant pas quoi faire de plus, c'était beaucoup trop gênant comme situation là. Il finissait par reculer en me regardant avant de monter à bord de sa voiture et de quitter sa place qui était juste devant mon grand immeuble allemand.

Je suivais du regard le quatre roues qui s'éloignait de plus en plus de moi et me mordillais l'intérieur de la joue, pourquoi j'étais pas avec eux dedans, avec ma famille ?



(...)



FLASHBACK

Violemment, je claquais la portière de la voiture derrière moi avant de rentrer dans la maison, les nerfs à vif. On revenait d'un match du Bayern avec mon mari et sur la route, on avait déposé nos enfants chez ma mère pour qu'elle puisse les avoir le week-end.

Et durant tout le trajet où les mini-Pavard n'étaient plus là, je m'étais encore engueulée avec Benjamin, pour ne pas changer. Ces derniers jours c'était de pire en pire, on s'embrouillait pratiquement tous les temps et des fois pour des sujets complétement cons.

Benjamin - Astrid. il refermait la porte de la cuisine après m'y avoir suivi et je soufflais longuement, comprenant que la discussion n'était pas terminée.

- Laisse-moi tranquille.

Benjamin - Non. je me tournais vers lui en le fusillant du regard alors qu'il faisait de même. Maintenant ça suffit, faut que t'arrêtes d'être comme ça.

- D'être comment ?

Benjamin - Comme t'es là, sans vie. Tu rigoles plus, tu souris plus, t'es juste là pour Aaron et Théna et dès qu'ils sont au lit, tu te mets en mode veille et on se calcule plus de la soirée. Là je reviens d'une défaite et-

- Et quoi ? T'aurais aimé que je pleure sur ton sort alors qu'on a perdu un enfant ?

Benjamin - Arrêtes de parler de ça ! je sursautais en entendant son haussement de ton. Arrêtes de faire comme si moi je m'en foutais de la mort d'un de mes enfants ! On a l'impression que tu portes tout le deuil sur le dos alors qu'on est deux ! On est même quatre, oublie pas ceux qui sont là ! Moi j'en ai marre ! J'ai l'impression d'avoir un zombie au lieu de ma femme à chaque fois !

- Oh, désolé monsieur d'avoir vécu un décès à même dans ton corps sans le savoir ! J'ai le droit de ne pas tout le temps être de bonne humeur ! Désolée de ne pas être aux petits soins avec toi quand tu perds un malheureux match de merde ! Tu te rends compte de ce que t'es en train de dire là putain ?! Mais vas-y pas de problèmes. Mon chéri, je suis tellement triste que toi et ton équipe n'ayez pas gagné ce match amical, c'est vraiment le pire truc qui nous soit arrivé ces derniers temps !

Benjamin - Mais qu'est-ce que tu racontes ! Astrid tu dérailles merde ! T'es pas toute seule dans l'histoire !

- J'ai l'impression que si !

Benjamin - Je te demande pardon ?! C'est qui qui a passé des nuits blanches pendant que tu dormais pour vérifier que t'aies pas de problèmes durant ton sommeil ?! C'est qui qui a dû annoncer à Aaron qu'il n'allait peut-être pas avoir de petits frères ou de petites sœurs ! C'est pas toi Astrid, pas toi !

- T'as vécu un quart de ce que j'ai surmonté Benjamin, un quart ! je faisais un minime écart entre mes doigts.

Reprenant ma respiration, je fixais Benjamin qui faisait de même. On était épuisé l'un l'autre.

Benjamin - J'abandonne, il soupirait en passant une main sur son visage. C'est bon, je jette l'éponge.

- Pardon ?

Benjamin - Je peux plus continuer comme ça, je peux plus nous entendre nous crier dessus continuellement, je peux pas. C'est pas nous. je me mordillais la joue pour éviter des larmes de couler, pas maintenant.

- Dis clairement ce que tu penses.

Benjamin - On fonce dans un mur, on va pas réussir à surpasser ça, tu crois pas ?

- Je sais pas.

Benjamin - Je veux pas qu'on se bousille jusqu'à ce qu'on en puisse plus Astrid... Je crois qu'on a fait le tour du problème, il se résoudra jamais.

- Benjamin dis-le franchement.

Benjamin - On devrait... On devrait se- se séparer.

Le début des emmerdes commençait.

-----------------------------

putain vous datez !!

vous vous en êtes remis depuis la dernière fois ??? c'est normal d'ailleurs si vous avez eu que très peu d'infos, tout sera expliqué là dans ce tome

donc la pour remettre vite fait dans le contexte, Benjamin et Astrid se sont séparés, c'est pourquoi Titi à encore ses bagues et se fait appeler madame Pavard et pas mademoiselle Hock. ensuite donc seulement 1 des bébés a survécu et c'est une petite fille du nom de Théna

maintenant niveau post, on va revenir sur le rythme de départ, soit le mardi et le vendredi, avec ma rentrée faut que je lève un peu le pied si je veux pas être trop vite débordée :)

je vous préviens donc dès maintenant que ce tome 2, c'est quelque chose hein niveau émotion, si vous avez trouvé le t1 dur, je trouve que le 2 est bcp + hard niveau sentiment, je vais un peu tester vos limites ptdrrrrrrrr

niveau chapitres je me suis pas encore décidée, j'ai pas de plan, juste des idées et j'écrirai jusqu'à ce que panne d'imagination s'en suive (c'est pas encore pour le moment, je vous l'assure)

SINON comment ça va ??

- avis ?

- la séparation de Benjastrid ?

- Aaron ?

- Théna ?

- la situation de benjastrid ?

- le flashback ?

- autres ?

chloooooooooé

Continuฤƒ lectura

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