Nb : Bonjour à tous ! Désolée pour l'attente, mais je me rachète avec deux chapitres au lieu d'un ! Je les publie en même temps, ils sont importants tous les deux ! Sur ce, bonne lecture !
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Samedi 12 octobre 2019, Suzuka au Japon, 10h :
PDV Max :
De ❌ :
Ce n'est pas parce que le typhon vous empêche de rouler aujourd'hui qu'il y a à paresser. Tu dois avoir un bon résultat demain pour conserver ta troisième place au championnat.
Ne me déçois pas.
Je relis ce message à tonalité extrêmement sympathique, les yeux ronds. Si j'avais su qu'il serait au Japon ... il avait pourtant une exclusion partielle du paddock !
Oui, partielle Max, pas entière ! Je pense soudain, répondant ainsi à ma propre question.
Je soupire, assis sur mon lit et contemplant le paysage de ma fenêtre, malmené par le typhon dehors. Demain, ça va être chargé avec les qualifications le matin et la course l'après-midi. J'espère pouvoir ramener un bon résultat à l'équipe et à Honda, qui nous donne des moteurs ultra-performants : ça serait bien de marquer le coup dans leur Grand-Prix national.
Pourtant, je m'affaisse un peu plus contre le coussin de mon lit, me sentant un peu plus en sécurité.
Putain, mais pourquoi ça me travaille autant ?
Je ne comprends pas pourquoi j'ai toujours l'impression de ressentir son emprise. Je me sens étouffé rien que par ses mots, une partie de moi m'empêche de rester serein.
En même temps, je pense à moi, aux événements récents ... à Daniel. Et j'ai peur. Des réactions, des regards. Malgré ma réputation du je m'en foutisme. Les mots me percent comme une lame acérée, ils restent profondément ancrés en boucle dans mon esprit.
C'est même pire que les coups.
Les marques sur mon corps, petit ou maintenant, ne m'ont finalement jamais fait autant de mal que les paroles. Quoique je ne m'en rends compte seulement depuis quelques temps.
J'ai ce souvenir de mon père qui me tabasse et m'engueule après m'être déguisé avec des costumes de ma petite sœur, Victoria, plus jeune de 3 ans. « Tu retires tout de suite ces vêtements de fille ! Tu ne peux pas faire ça ! » m'avait-il crié en me giflant avec force, alors qu'on s'amusait ensemble. J'avais 7 ans. Et c'était un des rares moments où je pouvais la voir. Pour ma carrière, je vivais avec mon père, et Vicky était restée chez ma mère. Je me souviens de son regard effrayé, elle qui s'était collée contre le mur sans savoir quoi faire. Elle avait pleuré, et mon père a justifié son geste par « ma bêtise », et que c'était de ma faute si je l'avais mis dans cet état.
« N'agis pas comme toutes ces petites pédales qu'on commence à autoriser dans notre société. »
Une phrase qui m'était restée, gravée dans mon esprit. Bien qu'à l'époque, je ne l'avais pas forcément compris.
En grandissant, j'ai très vite compris que quelque chose coinçait lorsque j'étais avec une fille. J'ai pu faire certes de merveilleuses rencontres, comme avec Dilara, mon ancienne petite amie que je considère maintenant comme une meilleure amie ; mais je me voyais aussi attiré par des personnes de la gente masculine. À laisser traîner quelques regards par-ci, par-là, ni vu ni connu. Mais j'avais la phrase qui me revenait en tête. Malgré mes fantasmes.
Malgré un certain bonheur.
Mon bien-être.
Et pourtant, j'aimerais essayer, et même seulement essayer s'il le faut, avec Daniel. Parce que j'ai compris le sens des touchettes dissimulées, des attentions cachées, de la tension pas seulement due à la colère ... j'aimerais tellement.
Mais je ne m'autorise pas à vivre pleinement, à savoir ce que je veux réellement ... pour mon géniteur qui m'a toujours bassiné que « c'est mal d'être avec une personne du même sexe ». Je me rappelle plus jeune, j'étais mal à l'aise à cause de ça, en soirée je ne savais pas comment réagir quand un mec s'approchait de moi. Après j'ai mûri et j'ai relativisé, bien qu'encore incertain.
Puis en début 2018, j'avais invité Pierre à venir s'entraîner à la maison avant le début de la saison. Il était venu avec Caterina, sa copine de l'époque avec qui il s'entend toujours très bien aujourd'hui. Tellement de bons souvenirs à 4 restent gravés dans ma mémoire car je me sentais bien avec eux, mes amis et ma copine. Je me rappelle d'une certaine matinée où les filles étaient parties pour courir, tandis que Pierre et moi avions notre séance de travail de jambes à réaliser. Nous étions alors restés seuls sur le balcon, fait notre entraînement avant de nous désaltérer, nos regards penchés vers la rue où plusieurs personnes se baladaient.
Souvenirs d'un matin de février 2018, Monaco :
PDV Max :
« Max ! Tu le mates ou quoi ?! »
« Hein ?! Mais de quoi tu parles, Pierre ? »
« Du mec brun que tu fixes depuis tout à l'heure ! »
« Mais t'es fou ?! Je suis en couple je te signale ! »
« Être en couple ne veut pas dire que tu n'as pas le droit d'admettre une vérité ... les filles le font aussi, si ça peut te rassurer ! » s'exclame Pierre en buvant de moitié sa gourde.
Je déglutis : comment ai-je pu baisser ma garde à ce point ?! J'étais totalement perdu !
« Tu sais que je ne vais pas te juger, tout va bien ! Tu as le droit d'être attiré par des mecs aussi mais sans faire d'approches ! » reprend Pierre.
« Je ne le matais pas ! »
« Tu rougis tellement qu'on pourrait te voir de la Normandie ! »
« Ça ne m'aide pas ! »
« Non, c'est sûr que tu ne t'aides pas toi-même ! » et il me pose une main rassurante sur l'épaule.
Il m'encourage du regard, et je soupire, ne sachant plus trop quoi faire pour éviter tout embarrassant :
« Oui ... on peut dire qu'il n'est pas mal ... de loin on dirait Daniel d'ailleurs ... »
« Haha ! » me coupe-t-il : « Tout de suite un rapprochement ! Eh beh Max ! »
« Nan Mais ils se ressemblent, idiot ! Calme-toi mec ! »
« Excuse-moi de constater que tu fais directement le lien avec ton coéquipier qui plus est ton ami depuis minimum mi-2016, ainsi que la personne la plus drôle et la plus allusive du paddock ! » dit-il en haussant les épaules.
« Je fais avec ce que je connais, voilà tout. »
Pierre hoche la tête, qu'il lève ensuite pensivement vers le ciel du Sud, un regard sérieux s'étant maintenant installé dans ses yeux. C'est alors que je me décide à lui poser une question qui me trotte dans la tête depuis quelques temps :
« Tu as déjà eu une expérience ... autre qu'avec une femme, je veux dire ? »
Ce qui visiblement le ramène parmi nous, sur Terre, et il me répond :
« Hum ... oui, ça m'est arrivé ... »
« Et c'était comment ?! » je m'exclame vivement en le coupant.
Il m'observe, étonné par mon ton employé :
« Euh ... différent ? Je suppose ... agréable en soi ... après, il n'y avait pas vraiment plus de sentiments que ça, tu vois ... »
« Oh ... ok. » est ma seule réaction.
« J'en déduis que tu n'en as pas eu à part avec des filles ? »
Je secoue la tête dans le sens du non. Pierre ne semble pas vraiment étonné par ma réponse.
« Disons que ça aide à se trouver ... à clarifier son esprit ... quand on ne sait pas trop ... » rajoute-t-il comme un conseil, mais sans plus.
« Caterina est au courant ? »
« À l'époque, on ne se connaissait pas, on s'est rencontré l'été dernier donc rassure-toi ... »
« Je n'ai jamais dit que tu la trompais ! » je le coupe pour éviter un malentendu.
« Je remets les choses au clair. Non, jamais je n'aurais fait ça alors que je suis avec Cate, et avec qui que ce soit d'autre. Et il se trouve que nous avons beaucoup discuté quand on s'est mis ensemble, ce qui nous a été bénéfique. Comme ça, on est sur la même longueur d'onde ! »
« Oh ... d'accord ... » je réponds, sidéré par cette mise au clair.
C'est sûr que de mon côté, je n'ai que peu à raconter niveau expérience ...
« Le meilleur conseil que je puisse te donner, c'est de beaucoup parler avec Dilara. Vous méritez votre bonheur à tous les deux. »
« Merci Pierrot, toi aussi. »
Les filles rentrent de leur footing, nous voilà coupés dans notre conversation, mais pour de bonnes raisons. Cate vient doucement embrasser Pierre, mon ami répondant joyeusement à son attention.
Je me concentre sur ma Dila à qui je dépose également un baiser sur ses lèvres. Je l'adore profondément, je suis tellement reconnaissant de l'avoir rencontré et je ne vois pas comment j'aurais pu faire certaines choses sans elle. C'est tellement réconfortant d'avoir quelqu'un avec qui évoluer.
Pourtant, les mots de mon ami se ressassent dans ma tête, comme un refrain. Et très honnêtement, ça me travaille.
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Souvenirs de Décembre 2018, après Abou Dhabi :
PDV omniscient :
Max se laissait bercer par l'étreinte avec Dilara, assis tous deux sur le canapé de l'appartement du premier. La jeune femme était et reste l'un de ses points repères dans sa vie, elle l'avait aidé à évoluer et à se découvrir de plus en plus. Il ne se voyait pas continuer dans la vie sans elle. Pourtant, avec le recul, il se disait qu'elle avait toujours compris sa véritable orientation peut-être.
« À quoi penses-tu ? » lui demande-t-elle délicatement.
« Rien de précis ... juste que j'avais la chance de t'avoir. Tu es la meilleure amie dont je puisse rêver, je t'aime et j'aime tout ce que l'on partage ensemble. »
« Ce n'est pas rien alors. Moi aussi, je trouve ça top d'avoir une relation aussi fusionnelle avec son meilleur ami, je suis tellement heureuse ! » s'exclame-t-elle en souriant, avant de rajouter dans un murmure : « Mais nous ne sommes pas fait pour être en couple, je crois qu'il est temps pour nous de reprendre notre "liberté" de notre côté. »
« Ça fonctionne plutôt bien, pourtant. Je ne veux pas que ça change notre relation. »
« Max, on vient naturellement de se qualifier de meilleurs amis il y a à peine dix secondes ! » et les deux rient allègrement de bon cœur, avant que Dilara reprenne : « On s'aime, mais pas comme ça. On ne partagera plus l'intimité, mais sinon on sera toujours "Dila et Max", meilleurs amis complices et inséparables ! Loufoques et dingos pour le secret ! Mais crois-moi que tu ne te débarrasseras pas facilement de moi, Max Emilian VERSTAPPEN ! »
« Quoique tu fasses, je te soutiendrais toujours Didi. Et je te souhaite tout le bonheur du monde. » répond Max, ému.
« Avis partagé ! Quant à toi, fais-moi le plaisir d'être heureux en trouvant ta propre voie ! Et rappelle-toi que je suis là pour te donner conseil ! »
Ils se resserrent dans leur étreinte et Max trouve en quelques sortes un début de paix en lui. Dilara est finalement l'une des seules personnes à l'avoir totalement compris.
Fin de souvenirs
PDV Max :
La réaction de mon père après ma rupture : « J'aurais préféré la garder en belle-fille. Elle est belle et gentille : décidément, tu ne t'y connais réellement pas en amour Max. »
Je m'en rappelle trop, encore une fois.
Et cela dit par un homme qui a eu des caractères violents envers ma mère.
Mon père y voit des opportunités, pas des passions.
C'est en partie ce qui m'effraie.
Il est 11 heures.
Et j'ai promis de participer au tournoi de FIFA sur PS4 ...
... que j'ai lancé hier à Carlos [SAINZ JR].
(Nb : voir vidéo !)
Il va aussi y avoir Lando, Checo, l'autre Carlos (le cousin de Carlos ... perturbant) ... et Daniel.
Je soupire : si mon géniteur n'a pas fait moins que gâcher ma matinée, j'espère que ça ne m'occupera pas trop l'esprit.
17h35, sortie du bowling de l'hôtel :
PDV Max :
« Nan mais si vous saviez ! Franchement, j'ai cru à une blague au départ ! » s'exclame Esteban alors que tous les pilotes se séparent en petits groupes après la sortie du bowling, dans lequel nous avons passé littéralement 3 heures.
« Mais en quoi ça t'a dérangé ? » demande Pierre avec paresse, Charles attiré contre lui par les bras qui l'entourent.
« Les gars, vous avez juste fait la pire erreur de débutants qui soit ! C'est même pire que des débutants à ce stade ! »
« On peut savoir ce qui s'est passé pour que ça fasse les journaux ?! » ironise Daniel, qui pose sa main sur mon épaule, contact auquel je rougis bêtement.
« J'allais chercher les deux zigotos, qui ne connaissent pas le concept d'être à l'heure, pour aller au bowling. Comme je savais qu'ils étaient chez Pierre, je suis allé toquer à la porte. On m'a répondu « Entre ! », bien que j'ai tilté après que ça avait été dit en français. Après j'ai quand même trouvé ça bizarre qu'on me dise d'entrer, alors j'ai attendu à la porte une fraction de secondes avant de me rendre compte qu'elle était en réalité mal fermée. Donc j'ai cru qu'ils n'étaient pas loin de la porte, qu'ils allaient sortir au moment où ils l'ont ouvert et qu'ils prenaient un truc. Je suis rentré : et après avoir entendu un peu d'agitation, j'ai compris sur quoi j'ai failli tomber en arrivant au niveau du lit ! Charles sur Pierre, les deux sous la couette et me regardant d'un air innocent ! Inutile de préciser qu'il y avait des vêtements par terre ! »
« Sérieux ?! Avec la porte ouverte ?! » je réplique, mi-désespéré, mi-amusé.
« Este, sans vouloir être réducteur, toi aussi tu en as une, qu'est-ce que ça t'aurait fait ? »
Mais ... Charles, mesdames et messieurs ...
« Justement, j'apprécierais n'avoir que la mienne en vision dans mon esprit, merci ! Si on pouvait éviter d'aller au-delà dans nos relations amicales, Charles ! » soupire Esteban.
Je me dois d'avouer être d'accord avec lui aussi.
« Pourtant tu as dû en voir d'autres, hein ? » s'élève une voix comique derrière nous avant que Lance apparaisse soudain et prenne le bras d'Esteban.
Je vois ce dernier tourner précipitamment le regard à l'opposé du Canadien, semblant embarrassé, et tente des mouvements comme pour le ... repousser ? Ok, j'ai dû rater un épisode !
« Ferme-la Lance ! » s'exclame soudain Pierre sous un ton se voulant ironique, mais j'arrive à distinguer comme un sens caché derrière ça, alors que les deux Français échangent un regard rempli de ... compréhension ?!
Et le plus âgé arrive à éloigner Esteban du plus jeune. J'ai définitivement loupé quelque chose !
Mais Daniel fait sortir tout le monde cette ambiance étrange en déclarant d'un ton sérieux :
« Franchement, faites attention la prochaine fois. Si ça n'avait pas été Esteban, ça aurait pu mal finir ! »
« Je confirme, on n'a pas pu terminer ... » marmonne Pierre alors que Charles met ses mains de manière possessive au niveau de son bassin.
« Soyez sérieux deux minutes ! En plus, il y avait de la musique à fond dans la salle de bain ! » rétorque Esteban.
« C'est sûr que c'est un plaisir d'admirer Charlie se mouvoir sous la douche et qui fredonne "Adores you" de Harry Styles (Nb : jsp si vous avez la ref :)) ... » chuchote Pierre au creux de l'oreille dudit qui rougit à cette mention.
« Encore UNE SEULE allusion sexuelle et je vous CASTRE tous les deux ! » déclare un Esteban passablement agacé depuis tout à l'heure pour le rabâcher à longueur de journée.
Pierre et Charles le regardent avec un air interrogateur, et Esteban soupire. Je dois avouer que je suis d'accord avec l'asperge pour une fois. Bien que ça m'horripile de le dire.
« Pourtant, le grand Max VERSTAPPEN est un spécialiste dans la matière ! »
Daniel vient de sortir ça calmement en passant son bras sur mes épaules ... et moi qui n'a absolument RIEN compris.
« De quoi tu parles ? »
« Bah tu sais, les vidéos marketing avec Red Bull ! "Let's talk about sex, baby ! Let's talk about you and me !", tu connaissais ma réf ! Et puis, dernièrement "I don't want to go fully in.", je l'ai bien compris ! Ou la manière dont tu tâtais les fruits dans la vidéo "Doesn't it feel familiar ?!" ! Je comprends TOUT ! »
Je réfléchis rapidement : cette vidéo promotionnelle de Singapour avec Alex avait été amusante, mais je ne pensais pas que ...
« Attends deux minutes ... tu regardes les vidéos de l'équipe ?! » je m'exclame vivement.
« Euh ... non ... je ... je suis tombé dessus ce matin en ouvrant YouTube, voilà tout ! » balbutie Daniel avant de retirer son bras et prétendre devoir se dépêcher pour une session à la salle de sport.
« On se revoit ce soir ! » ajoute-t-il rapidement avant de partir, me laissant quelque peu troublé.
Dimanche 13 octobre 2019, Grand du Prix du Japon au Circuit de Suzuka, avant le départ de la course :
PDV Max :
Je pars 5ème. Je peux finir sur le podium, si ce n'est pas pour la victoire. L'objectif du jour.
Je sors de ma salle personnelle pour me diriger vers la grille, quand je me fais arrêter par quelqu'un juste avant de sortir du garage.
« Alors Max, on ne dit pas bonjour à son père ? »
Je me raidis sur place avant de redresser ma tête. Je vois de loin Christian qui me regarde d'un air inquiet, mais je le dissuade d'approcher, même si je sais que sa présence me rend plus tendu, plus nerveux.
« Bonjour Papa, je n'ai pas pu te voir avant, c'est pour cela. »
« N'oublie pas que tu as le potentiel pour aller chercher la victoire. Écrase tes concurrents ! » me sort-il.
« On verra comment se comporte notre voiture, j'ai fait au mieux avec le 5ème chrono, connaissant les puissances Mercedes et Ferrari ... »
« Tu aurais pu tout de même glaner 3/4 dixièmes ! HAMILTON a été mauvais aujourd'hui et t'a quand même collé 5 dixièmes dans les dents ! Le fait que ce sont potentiellement de meilleures automobiles n'est pas une excuse ! » me coupe-t-il sèchement.
C'est dingue comme j'ai l'impression de parler à un mur.
« Eh bien, je ferai tout ce qui est possible ! »
« C'est cela, en attendant, ne me déçois pas ! Déjà qu'on m'empêche souvent de venir, il faut bien avoir de la satisfaction quand on est présent ! » me dit-il avant de me lâcher le bras pour me laisser partir.
Je préfère partir directement plutôt que de m'embrouiller plus avec ça. De toute façon la course semble bien se profiler, non ?
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La suite de ce chapitre est déjà là ! 👇👇