Rumeurs

Chapitre 7

Son père n'ayant pas convaincue sa fille de l'accompagner jusqu'à son nouvel établissement il devait donc se contenté du portail du manoir.

- tu est sure que je ne peux pas t'accompagner juste un bout de chemin ? Demandait t-il une fois de plus

- ça ira papa, je suis grande. Bon j'y vais à ce soir

- oui bonne journée

- merci

Ellipse

Notre blonde se trouvait devant la porte de la salle où sa nouvelle classe se préparait à l'accueillir.

- tu peux entrer

Elle inspire un coup avant d'entrée, la nouvelle Lucy allait voir le jour.

Le CPE la présente

- voici votre nouvelle camarade de classe Lucy Heart, je te laisse te présenter.

- Bonjour, je m'appelle Lucy Heart j'ai 18 ans.

Se fut bref et surtout froid.

- Heu.. je compte sur vous pour lui faire un bon accueil sur ceux je vous laisse.

Sans plus le CPE quitte la classe. Le professeur prend le relais.

- Je suis monsieur Makarov le professeur d'histoire et le prof principal.

- d'accord.

- Je te laisse t'assoir au deuxième rang

Sans plus elle y va et sort ses affaires et le cour poursuit malgré les chuchotements. Tout ce passait comme elle le voulait.
Son identité resterait cacher en gardant seulement la moitié de son nom de famille pourquoi ici et pas dans son ancien lycée vous demandez vous ? C'est simple, l'influence de sa famille était connus de tous ici alors que l'as bas il y avait moins de risque d'être découverte.

À la pose déjeuner un attroupement c'était créé autour d'elle mais elle ne répondait que par des oui non et faisait des phrases les plus courtes que possible.

Elle se lève pour sortir de la salle toujours entourée

- tu va t'acheter quelque chose pour le déjeuner ?

- Mais nan elle a un bento

- Je vais acheter une boisson

- je peux t'accompagner si tu veux

- non

- ohw d'accord à tout à l'heure

- hm

Ils pensaient qu'elle allaient les rejoindre après mais ce n'était qu'une excuse. Elle avait un bento qu'elle comptait manger seule dans son coins dans un parc non loins.

[...]

- j'espère qu'ils abandonneront vite l'idée de sympathiser, au moins je passe dans le décore. Atchoum !

- À tes souhaits

- Merci

Elle regarde vivement autour d'elle mais personne n'était là. Soudain apparaît devant elle une personne qui venait de sauter du haut de l'arbre !

- De rien

Il lui faisait un grand sourire puis son attention se porte sur quelques chose au loin.

- Ohlala Face de frigo ma trouver je dois y aller à plus !

- face de...

Il était déjà parti la laissant dans l'incompréhension

Qu'est-ce qui venait de ce passé ? La blonde cligne plusieurs fois des yeux avant de se reprendre.

- Ça ne me concerne pas de toute façon.

Elle quitte le parc les cours n'allait pas tarder à reprendre.

Le reste de la journée c'était passé assez rapidement elle était de retour à la maison.

- Bonsoir papa

- oh  bienvenue ! T'as journée c'est bien passer ?

- oui normal

- Comment ca normal je veux plus de détails

- Eh bah les autres essayent de sympathiser mais comme je te l'ai dit la solitude de tue pas donc je préfère garder mes distances.

- Je sais que tu est têtue alors je ne dirais rien de plus mais juste avoir des amis c'est pas mal.

Elle soupire légèrement avant de changer de sujet

- ah aussi un psychopathe à sauter du haut d'un arbre avant de courir car une certaine fasse de frigo était à sa poursuite je n'ai pas vraiment compris.

Son père se mit à rire

- hahahaha ça doit être un sacré personnage. Il ressemblai à quoi ?

- hm heu.. à vrai dire je ne m'en rappelle pas ça c'est passer trop vite. Je sais juste qu'il a un grand sourire...

- tu sera peut être amené à le recroiser

- je m'en passerai je pense, bon je vais aller dans ma chambre

- d'accord

Durant les semaines qui suivirent le profile de Lucy était déterminé, elle n'était pas méchante mais elle n'aimait pas qu'on la dérange et préférait rester seule. Son plan avait réussi, garder son anonymat et rester tranquille dans sa solitude.

1 mois c'était déjà écoulé, l'adolescente a retrouver une vie normale ses journées étaient calme et se ressemblait ce qui n'était pas pour lui déplaire surtout quand elle pensait à ce qu'elle avait vécu.