• Chapitre 79 •

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Quelqu'un s'était projeter chez moi sans me rendre. J'étais sous le choque, le cœur palpitant mille à l'heure, j'avais peur, mais qui sa peut bien être. Cette personne se dirige vers la salle de bain, juste à côté de l'interrupteur mais avant de l'allumer, j'appuie directe sur la lampe de chevet. Par peur j'avais fermer les yeux, quelque secondes après, je l'es ouvres et aperçois Omer avec le peu d'éclairage. Sans attendre une seconde de plus, je court et lui saute dans les bras, j'étais soulagée. Je ne sentais plus mes pied sur terre, il m'avais soulever, je le sentais me serrais la taille fort très fort:

Moi: j'ai eu la peur de ma vie
Lui: j'ai t'es fait peur ?
Moi: pourquoi t'es entrée comme un voleur, t'es fou ! Dit-je en
Lui: j'ai voulue te faire une surprise
Moi: c'est sa que t'appelle faire une surprise toi ? Je croyais que j'allais faire une crise cardiaque

Je recule et m'avance vers mon lit, j'étais dégoûtée, j'avais mal à la tête à cause du stresse:

Moi: pourquoi t'es rentrée si tôt ?
Lui: pourquoi tu voulais que je reste encore plus longtemps ?
Moi: non... mais j'ai crut que tu resterai jusqu'à dimanche.

Quand je parlais, Omer admirait mon corps, je vais pas mentir mais avec cette nuisette, mes formes était ressortie, mais jamais j'aurai crut qu'il sera là:

Lui: tu met sa pour dormir sans ton marie ?
Moi: Omer yapma ( arrête ), dit-je gênée

Mais celui ci fait qu'à sa tête, il s'approche de moi, alors que je recule. Tout à coup, je sens le pied du lit coller à mes mollets. Omer m'attrape la taille, et nous tombons sur le lit, j'atterris sur le dos et Omer au dessus de moi:

Moi: ne oldu sana ( qu'est ce qui t'arrives ) ?
Lui: j'ai eu l'impression que ces 1 semaine, prenais l'allure d'une éternité
Moi: ta faits des progrès
Lui: mais toi non à ce que je sache....
Moi: tu sais très bien que je rigole

Sans me rendre compte, je le regarder le visage, sa barbe qui avais pousser, ses yeux aussi brillants que la premières fois, je me rend compte si il m'avais réellement manquer lui aussi. Je reprend mes esprits et murmure:

Moi: tu as faim ? Je vais aller te préparer quelque chose, dit-je en essayant de me sauver.
Lui: j'ai pas faim...
moi: tu peut me lâcher ?
Lui: pourquoi ?

Je n'avais pas de réponse, je voulais rester prêt de lui, mais je pouvais ressentir une angoisse, je le regarde dans les yeux, très longtemps:

Lui: madame apprécie de me regarder ?
Moi: je m'étais pas rendus compte mais....
Omer: mais quoi ? Cette fois ci je te lâcherai pas sans avoir la réponse Elif.

Quand il avais dit cela, je sentais qu'il tenais fermement ma taille:

Moi: mais tu m'à manquer aussi
Lui: je suis dans un rêve là ?
Moi: non...

On se regardais longuement, Omer souriait, ce qui me faisait sourire aussi:

Lui:  j'ai crut que c'est 7 jours n'allais pas ce finir, la preuve j'ai réussi à rester loin de toi que 5 jours. Ta présence, ton sourire, ta voix, tes yeux tout mon manquer.
Moi: tout ?
Lui: vraiment tout...

Il s'approche et m'embrasse le front, à cette instant je ferme directe les yeux, je ne contrôlais plus rien. Je sens se décoller puis embrasser, la tempe, la joue, mon nez, il lâchais un petit baisser sur chaque partis de mon visage. Alors que pour moi, cela me faisait rire.
Il se redresse et me regarda dans les yeux, il voulais m'embrasser, je le voyais de son regard, sans attendre il colle sauvagement ses lèvres contre les miennes et glisses ses mains au dessous de ma taille.
J'avais les yeux fermer, je n'osais pas le regarder, j'enroule met bras autour de son cou et continua à savourer ce moment.

🕊 Mon amour 🕊Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt