Destin Croisé Tome 2: New moon (histoire terminé)

Chapitre 4: La chasse aux Horcrux

Point de Vu Arwen:

14 septembre, dans le salon du QG de l'ordre de phénix.

-Bon, vous êtes prêt? Leur dis-je.

-Oui, dire-t-ils en cœur.

Harry, Ron et moi bûmes le polynectard, chacun son personnage. Ils nous fallait un subterfuge pour entrée dans le coffre de Bellatrix, et étant donné que ce maudit Gaublin qu'on avait libérée de chez Voldemort, c'était fait la mal avec l'épée sans tenir sa promesse en nous aidant a entrée, on a dû improviser. on avait donc décidé de se présentais en mangemort, et d'y aller à l'artiste (improviser au moment venu).

-Souvenez-vous a qu'une heure, leur rappelais-je.

Après un dernier hochement de tête nous transplanâmes devant Grigots, la banque des sorciers. Ça me faisait bizarre de dévaliser une banque, mais pas le choix. Aux grands maux les grands remèdes. Même si une part de ce plan est suicidaires.

Au moment où je montais les marches, je me figeai sur place, je voyais Edward en face de moi, c'est impossible? Comment?

puis il s'évapora comme un mirage! Je secouais la tête pour chasser son visage de mon esprit, ce n'était pas le moment d'être déconcentré. Au moment où je montais la dernier marche il réapparut a mes côtés, je dois rêver, je décidai donc d'ignorai ce mirage.

"Ne fais pas ça Bella." Dit une voix que connaissait que trop bien, elle était furieuse, belle, veloutée malgré ses accents courroucés. C'est sa voix. Son ténor.

Je tournais la tête vers cette voix, et je vis Edward. Je me frottais les yeux pensant rêve et en les réouvrant, il était parti.

-qu'est-ce qui se passe demanda Harry

-Rien, désolée allons-y

"j'avoue être perplexe face a ce qui se passer, c'est comme si son esprit veillez sur moi et me mettait en garde, voulant toujours me protéger même si des milliers de kilomètres nous séparer. Même s'il ne m'aimait plus et ne se souvenai pas de mon vrai moi par ma faute..." je secouais une nouvelle fois ma tête pour le chasser, pourquoi je pense à lui. Faut que j'arrête. Ce n'est qu'un amour de jeunesse, rien de plus. En pensant ça, je me foutais une baffe intérieurement, car je savais que je me mentais, il était plus que ça, un part de moi savez que j'avais trouvé mon âme sœur, et que je l'avais perdu. une vague de mélancolie me submergea de nouveau, telle un ras de marée qui envahissais mon cœur, ou du moins ce qu'il en rester. Pourquoi est-ce toujours si douloureux de perdre les gens qui nous sommes chers, pourquoi ça fait aussi mal. mais en même temps je savais que c'étais vouer a l'échec je me suis mis dans ce pétrin des que je l'ai laissé entrer dans ma vie alors que c'était et c'est un bordel monumental, que la fin ne pourra pas être changer, je le savais déjà comment finirais la guerre, comment je mourrais, avant même de foutre un pied a Forks. Qu'elle idée d'écouter ce putain de cœur que je croyais avoir barricadé dans un mur en béton armé. Pas si solide que ça, finalement, il est entré dans ma vie, il a juste pausé un doigt et toute ma muraille que je construis depuis des années et tomber en des milliers de morceaux en l'espace d'un instant."

"Arrête ça tout de suite Bella, dit-il face à moi toujours aussi mécontent. pas de bêtise, tu as promis."

Je secouais la tête pour le chasser de mon esprit, faut que j'arrête ou je vais tout foirer, ce n'est pas le moment de rêvasser, ou de se prendre pour Jane d'Arc, me grondais-je intérieurement

En entrant dans Grigotts, on pouvais remarquer deux mangemorts qui surveiller les lieux. On s'avança lentement, j'avais la tête et le regard le plus hautain et dédaigneux qu'il m'était permis de faire, je ne devais pas griller mon identité, j'étais Bellatrix pour cette heure, donc je devais me comportais comme elle. Arrivé au guichet, je toussais pour indiquer ma présence au gobelin, il releva sa tête me regardant de toute sa hauteur.

-Je souhaiterais accéder à mon coffre-fort, dis-je d'une voix hautaine

-Il me faudra une pièce d'identité.

-Je doute fort que cela soit nécessaire.

-Madame Lestrange

-Je n'aime pas être retardé, me plaignis dédaigneuse.

-Impéro, poursuivis-je tout bas.

-Entendu Madame Lestrange, si vous voulez bien me suivre, dit-il envoûté.

-Bien jouer, chuchota Ron