Destin Croisé Tome 2: New moon (histoire terminé)

Chapitre 1: une fête

On aurait dit que j'étais une nouvelle fois depuis cette été, prise au piège d'un cauchemar terrifiant, un de ceux où l'on est forcé de fuir, courir jusqu'à en perdre l'allène, mais sans pour autant avancer rapidement, comme si l'espace temps était au ralenti. vous savez comme dans ces vieux films des année soixante, où l'on voit l'amant qui va ce faire tuer, et son aimée qui essais de courir après où chaque geste est fait au ralentir, pour tenir en alêne le public en se demandant "Va-t-elle arriver a temps? " Non ça va être trop tard, il l'aura tué". c'était a l'instant T ce que je vivais, l'impressions de courir le plus rapidementqui m'était possible de donnée, tout ayant la sensation d'avoir du plomb dans l'aile, mais jambes paraissaient s'engourdir au fur et à mesure que je me frayer un chemin dans cette immense marrer de gens, dans une petite ville qui me faisait pensais a celle de voltera, étrange. Tandis que je "courais" les aiguilles de l'horloge, elles, ne ralentissaient pas leur course. Animées par une force implacable, elles tournaient, indifférentes, se rapprochant inexorablement de la fin - la fin de tout.

Ce n'était qu'un rêve pourtant, je n'avais pas l'impression que cela en était un et pour une fois, je ne courrais pas pour sauver ma vie, mais quelque chose de beaucoup plus précieux, d'une valeur inestimable.

J'entendais Alice me dire que nous avions de forte chance de mourir peut-importe le temps qu'il restait. n'est-ce pas ce qui nous attend tous, pourtant moi qui avait l'habitude de ce genre de scénario, j'était mortifier, j'avais peur, je me devais d'arriver avant le soleil, or j'était incapable d'avancer plus vite. Lorsque la cloche se mit a sonner l'heure, déclenchant des vibrations sous la plante de mes pieds maladroits, je compris que j'arrivais trop tard, pourtant je continuais de courir et après avoir pousser quelques gens, je me retrouvais sans que je comprennes pourquoi dans une forêt, en l'occurrence une clairière, cela où Edward m'avais emmener le jour où nous nous étions avouer nos sentiments. Qu'est-ce que cela signifiée ? Je vis Edward approcher vers moi, avec son sourire bienveillant, et me tendit la main, je souris à mon tour et courus vers lui.

-Bella, attends-moi, je te rejoins, dit-il en passant a travers moi, comme si j'étais un fantôme.

Nous retrouvant alors devant une grand porte près de la place de Voltera, un grand soleil briller au dessus de nos têtes, et je vis les Volturi arrivée derrière nous, Edward ce m'étant à genoux, avant de se faire arracher la tête.

-Non!! Criais-je en me réveillant en surcote le corps en sueur. Je passai ma main sur mon visage puis dans mes cheveux et je me lever, décidant de prendre une douche pour me remettre les idées en place.

Tendis que l'eau chaude ruisseler sur mes cheveux et ma peau, je me mis a revisualiser mon cauchemar, j'étais sur a quatre-vingts-dix-neuf pour-cent que ce n'était qu'un rêve et ce pour une bonne raison, la seul chose qui pouvais tuer Edward était la guerre, si j'effaçais c'est souvenir il ne souviendrai plus de moi, il serai en sécurité pour toujours et ne fera pas la fin a la roméo et juliette. Ainsi, je voyais difficilement comment cela pouvait être une vision, d'autant qu'Aro ne ferai jamais cela en sachant que j'aime Edward, enfin, je crois ?

Je laissai échapper mon premier soupir, décidément, depuis août, j'enchaîne les cauchemars, peut-être est-ce du parce qu'au fond de moi, je sais que la guerre est proche et la fin imminente ? Peut-être parce que j'ai peur de le perdre lui ?

Je décidais de laisser mes craintes de côté et de sortir de la douche. Après mettre sécher et vêtus, je pris mon sac de cour et descendis au salon

-Bonjour papa, dis-je a charlie

-Bonjour Bella, as-tu bien dormi? J'ai cru t'entendre crier ce matin.

-oui juste un léger cauchemar avouais-je

-Tu veux en parler? demanda-t-il soucieux

-Non ce n'est rien, de tout façon je l'ai presque oublié.