Chapitre 1

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Nous sommes en 2019
En raison de l'expansion du numérique et de l'ouverture des pays sur l'extérieur. Il est de plus en plus fréquent pour les jeunes africains de solliciter une université en Europe pour poursuivre leurs études. Il existe de nombreuses raisons différentes pour lesquelles les étudiants migrent, la qualité de la formation peut être évaluée en fonction du type ou du niveau de formation qui pourrait ne pas exister dans le pays d'origine. Par ailleurs, il est possible d'acquérir une expérience professionnelle à l'international avant de rentrer dans son pays d'origine.

Bien que ces formations ne soient pas toujours garantes d'un emploi à la clé, il est toutefois important de noter qu'elles peuvent parfois ouvrir les portes à plusieurs opportunités.

Point de vue de Katia Cissoko
Mon nom est Katia Cissoko et je suis l'une de ces jeunes qui ont pris la décision de poursuivre leurs études à l'étranger. Je suis une jeune femme de 22 ans, extrêmement séduisante avec de belles courbes sans être vaniteuse. Ma scolarité se déroule actuellement dans une université à Toronto, où je suis en troisième année.

En tant que membre d'une grande famille, je réside à Bamako, la capitale du Mali, et je suis l'ainée de la famille. Anna, ma petite sœur, a 12 ans. Elle occupe une place prépondérante dans ma vie et dans mon cœur. Mon père, Ali Cissoko, est spécialisé dans le domaine de l'agriculture et possède également une entreprise au Congo. Je ne me suis jamais intéressée à ses activités. Toute l'année, il est là-bas, sauf pendant les fêtes où il vient à la maison. Ma mère, Hasna Bathily, une mère aimante et adorable qui n'avait un rêve ultime : avoir un fils, malheureusement elle n'a eu que deux petites diablesses. Pourtant, ma sœur et moi sommes vraiment aimés d'un amour fou par notre mère.

Même si je ne connais pas la majorité des membres de ma famille, elle est extrêmement large. Nous résidons en compagnie de ma tante Fatou, la petite-fille de mon père, elle est incroyablement adorable. Depuis six ans, elle partage notre vie et ne manifeste aucun désir de se remarier. Elle a été détruite par son dernier mariage, son époux l'a plongée dans une véritable tourmente jusqu'à ce qu'elle perde son bébé à cinq mois de grossesse. Suite à ce traumatisme, elle prend la décision de mettre fin à son mariage et de ne plus jamais avoir de relation avec un homme. J'ai deux deuxièmes parents, mon oncle Rachid et sa femme Natouma, ils m'aiment tous les deux avec un amour inconditionnel, tout comme les autres membres de ma famille.

Je suis une personne très ouverte aux autres, j'ai deux amies avec qui je suis très proche, Rosa et Fatou, mes merveilleuses sœurs nées d'une autre mère. Il y a un an, Fatou s'est marié et pour Rosa, cela fait déjà quatre mois. Malheureusement, je n'ai pas pu participer au mariage de Rosa, même si celui-ci a été un événement très discret.
J'ai d'autres amies telles que Djita, Neissa... mes préférées mais c'est avec elles que je suis très proche.

Actuellement, je suis au Canada pour mes études mais nous nous parlons de temps à autre. J'ai également des amies ici mais bon ça reste juste des camarades de classe.

Amour mouvementé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant