Edinson Cavani x Mesut Özil || Paroles Paroles ||

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NDA : Je précise avant de commencer que cette OS est un pur délire avec ma meilleure amie. Nous nous sommes jouer cette chanson avec deux de nos copains samedi dernier alors que nous avions légèrement trop picolé... Ne vous inquiétez donc pas du langage très « Vieille France » employée dans ce One Shot ni du couple et encore moins du déroulé !

J'espère qu'il vous plaira quand même 😉


***


Edinson Cavani





Je sirote tranquillement mon verre de vin, regardant à travers ma fenêtre la pluie tomber. Octobre et ses températures changeante. Je ne sais pas quand je pourrais retourner sur un terrain de foot et pourtant dieu seul sait à quel point j'en meurt d'envie. Chaque jour est une torture supplémentaire.


-Edinson !


Je me tourne et pose sur la table de mon bureau mon verre de rouge. Mes coéquipiers et leurs idées stupide d'organiser un diner... chez moi. Soi-disant qu'Edinson l'homme de glace leur fait de plus en plus peur. Et que me sociabiliser serait une bonne chose. Bande d'idiot.

Je descends les marches tranquillement, entendant déjà leur rire exaspérant. Marquinhos et Carol, Angel et Jorgina, Verratti et sa pouffe... Pardon son adorable compagne. Draxler et...

L'homme se tourne, tendant sa veste noire à l'un de mes employés : Mesut Özil. Nos regards se croisent et mon cœur loupe un battement. Mais qu'est ce que...


C'est étrange,

Je ne sais pas ce qui m'arrive ce soir,

Je te regarde comme pour la première fois.





Les yeux d'Özil ne quitte pas les miens et le sourire du Gunner s'agrandit quand il remarque ma gêne soudaine. Non ! Je ne dois pas me laisser allez de cette sorte ! Je ne peux pas le regarder comme... Comme s'il m'attirait.

Un éclat de voix résonne derrière nous et le Gunner et moi nous détachons notre échange de regard pour apercevoir Carol, sa robe magnifique dévoilant ses courbes parfaites, tendre sa veste à Marquinhos, le regardant avec désespoir :


-Encore des mots toujours des mots, les mêmes mots


-Carol, Je n'sais plus comment te dire,


-Rien que des mots


-Mais tu es cette belle histoire d'amour... que je ne cesserai jamais de lire.


Elle le regarde avec dédaignèrent avant de se diriger vers Julian et passer son bras autour de ses épaules :


-Julian... Dit à Marquinhos que les paroles ne me suffisent plus. Je veux des actes, des vrais... Comme avec toi.


Attendez... Julian et... Carol ?





-Marquinhos... tes mots sont toujours les mêmes ... Des mots faciles des mots fragiles, C'était trop beau


-Tu es d'hier et de demain Carol. Julian n'est rien pour toi. Je suis ton mari !


-Bien trop beau de toujours ma seule vérité.

Mais c'est fini le temps des rêves. Les souvenirs se fanent aussi quand on les oublie


-Tu es comme le vent qui fait chanter les violons et emporte au loin le parfum des roses ma chérie.





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