Chapitre 8.

9.3K 531 57
                                    

Moi : C’EST BON !!! Je ne savais pas que ma disparition t’avais autant préoccuper. Tu as été c’elle qui a commencé mon enfer. Tu as raison, tu as changé, mais je suis rancunière alors je ne te pardonne pas, on aura une conversation sur toutes ces années t’inquiète pas. Mais pour moment je vais passer sur sa et je vais faire un effort pour Maxence.

Elle me sourit, Matéo et Maxence ne comprenne rien, leur tête est assez drôle. Matéo me prend dans ses bras et me dit :

- Tu me raconteras tout ?

Moi : Mais tu sais déjà tout. Tout se que je t’ai raconté à toi et à Maxence c’est elle qui a commencer. C’était ma meilleure amie.

Il me regarde choquer et me fait un bisou.

Moi : Mais il y a pas de souci pour que tu dormes avec moi se soir.

JE lui fais mon plus beau sourire et il rigole.

Matéo : On dort au studio ?

Moi : D’accord

-Alexis parle d’elle depuis environ 30 minutes… elle a dit que sa faisait 4 mois qu’elle avait déménagé et que plus tard elle voulait être enseignante dans la petite enfance. Elle a beaucoup changer d’avis, avant elle voulait devenir infirmière, comme moi…

Alexis : Et toi Sara ça fait 2 et demi que tu vis ici ?

Moi : Non bientôt un an

Alexis : Ah et tu étais ou pendant un an et demi ?

Moi : A Amsterdam

Alexis : Et pourquoi tu n’y es pas rester ?

Moi : L’Amérique et ma famille me manquais donc je suis revenu.

Elle n’a plus rien dit, elle a vu que je suis agacé. Le reste de la soirée je n’ai plus rien. Matéo me tenais par la taille ou par les épaules pour m’encourager à sourire. Mais je souriais, mais juste à lui, car en tournant la tête et en voyant Alexis mon sourire s’évaporait… On est tous dans la voiture et Maxence me dit :

- Je te ramène chez toi Sara ?

Moi : Non, chez Matéo si te plait.

Il me lance un regard noir et regarde la route. Arrivé devant chez Matéo, on dit au revoir et on monte rapidement.

Je suis assise sur son lit à attendre qu’il me donne un t-shirt, quand il me le donne, je me presse d’enlever ma robe et d’enfiler son t-shirt. Vous vous dites ouais sans gêne la meuf ben ouais sans gêne. Lui c’est vraiment mon meilleur ami, je sais que tant que je lui saute pas dessus, il le fera pas non plus. On parle un peu de la soirée et la il me sort :

- Non mais tu as vu son cul ? On dirait deux coussins déformé par la vieillesse, tu sais comme ceux qu’il a chez ma grand-mère.

Moi : Les rouges ?

Matéo : Oui les rouges HAHAHAHAHAHAHAH

Moi : AHAHAHAHAH Je ne sais pas moi, perso je ne regardais pas son cul

Matéo : Ouais mais moi je suis un homme c’est normal.

Moi : t’es pas un homme, tu es un bébé.

Matéo : Mais je t’emmerde Sara Rose Peter.

Moi : Matéo Jacks fais la gueule.

Matéo : Un peu…

Moi : NONNNNNNN JE T’AIMEUHHHHHHH. Dis-je en lui tirant le bras

Matéo : Et après c’est moi le bébé ? Dit-il a la limite du fou rire.

You ? AHAHAH, No sorry.Where stories live. Discover now