Ténèbres du sort ~suite~ [Riren]

Chapitre 29: Piège rassurant (1)

Pour mes 22 ans, il m'embarque dans un raod trip dans les États Unis. Il avait loué une simple voiture tout terrain.

Nous enchaînions les villes dans s'arrêter. J'ai découvert l'agitation de New York, le quartier d'Hollywood, Manhattan, Chicago, le Texas...

Une culture complètement différente mais qui me fascinait. Je n'ai jamais pris autant de photo de ma vie, Livai en avait marre de me voir sans cesse avec mon appareil.

Il me le piquait pour que j'ai son attention et je l'embrasse. La voiture avait intérêt à être grande...

~~~

Je remet d'instictement ma cravate et regarde d'un mauvais œil le gratte ciel qui est devant moi. L'entreprise Kelly, tenue par cet enfoiré de James McGilles.

Je grille ma cigarette en observant du coin de l'œil Hanji dans son costume et Erwin qui se tenait plus loin à une voiture.

Mike est certain de ses hommes son dans l'immeuble, pour intervenir en-cas où cela tournerait mal.

Le plan initiale est de faire parler McGilles sur Kenny. On n'arrive pas à savoir où il se cache car il change rapidement de planque.

Surtout qu'il possède une arme qui a fait plus d'un mort. On compte 34 décès de monstre depuis 1 an. C'est beaucoup trop. Livai fait parti du compte.

Je regarde Petra qui sort de la voiture auprès d'Erwin. Elle va le voir et l'embrasse tendrement.

Je souris et fais signe à Hanji pour lui que je suis prêt. Hanji entre dans l'immeuble et je la suis quelques minutes après.

Les gens se bousculaient sans se regarder. Les hôtesses d'accueil étaient débordées au téléphone. Je vois Hanji suivant un groupe dans l'ascenseur. Je me dirige vers le comptoir.

Une demoiselle au chignon excessivement tiré, était entrant de se rasseoir avec un cappuccino à la main. Elle soupira avant de lever la tête et de me faire un faux sourire commercial.

- Bonjour Monsieur, que puis-je faire pour vous?

- J'ai rendez-vous avec M. Karl.

- À quel nom, demande t elle en se penchant sur le registre.

- Jaeger.

Ne pas utiliser le nom de Livai, ne pas insinuer de faire partir des Ackerman. Ils ne connaissent pas mon nom de naissance.

La jeune regarde son ordinateur quelques instants en fronçant les sourcils. Elle me regarda un instant. Ne pas paraître étrange.

- Vous avez une pièce d'identité?

- Bien sûr, répondis je en lui tendant ma carte sortie de ma poche.