Sur les chemins de la raison. Tome 1 (Réécriture.)

Chapitre 4 [Hayley]

On dit qu'il suffis d'une rencontre pour que tout change dans notre vie. Je n'y croyais pas mais pourtant c'est bien le cas.

Ma rencontre avec Amy à été un bouleversement. Je ne devais pas m'attacher mais comment faire lorsque la fille la plus chiante mais attachante décide de devenir votre meilleure amie ?

Une meilleure amie, voila une étiquette que j'evitais de coller sur n'importe qui. Ma seule meilleure amie avait été ma sœur et depuis qu'elle n'est plus là aucune autre personne n'a eu cette place.

Amy est très attachante c'est certain mais pour le moment je la considère seulement comme une copine et encore. Si je dois m'en aller je l'oublierais aussi facilement que cette ville.

Je ne dois pas avoir d'attache mon passage ici n'est qu'éphèmere, je trouve seulement ce qu'il me faut et je m'en vais.

Pour remplir mon objectif il faut que je commence dès maintenant, avec mon entrée au lycée j'ai déjà perdu beaucoup de temps. Hors le temps j'en ai pas.

Pendant ma pause de midi je suis aller a la bibliothèque, il me fallait un endroit neutre qui n'est pas mon lieu de vie pour pouvoir effectuer mes recherches correctement sans risquer de me faire chopper.

Voilà 2h que je suis ici, j'ai réussi à trouvées quelques infos mais pour le moment rien de concret réellement.
Ce que je recherche c'est un moyen d'entrer en contact direct avec le chefs des Kings. Il est le seul qui peut m'aider à l'heure actuelle.

-BORDEL !
-Miss Stevenson, je vous prierais de vous taire.
-Oui m'dame.

Je me suis déconnecter, récupérer mes affaires et je suis sortie de la bibliothèque. La seule chose que je sais c'est que demain soir il y a une course de voiture organisée par les Kings. Et je vais y participer mais il faut que je prévienne Davon de ne pas donner mon surnom ni mon nom.

Sur la route à une vitesse peu conventionnelle, je me détend, ma cigarette toujours en bouche et ma tête qui s'anime au rythme de la musique. C'est cette vie là que je souhaite pour toujours, une ambiance tranquille, sans danger c'est cette vie là que je veux.

Je rêve d'une vie paisible, avec un copain fidèle, des amis, une famille.
Mais il faut que la dure réalité me ratrappe me criant que je suis seule et que je le resterais toute ma triste vie. Et puis de toute façon pourquoi avoir des projets lorsqu'on sais que notre vie va s'arrêter d'ici quelques heures.

Voilà 2heures que je roule sans savoir où aller. Il est à présent 23h30 lorsque je met de l'essence dans ma voiture. Il faut absolument que je gagnes cette stupide course, il me faut de l'argent je suis bientôt a sec et il m'en faut beaucoup  au cas ou ils me retrouvent. 

Sur les lieux l'euphorie est présente ainsi que l'alcool ou les putes, comme je déteste cette ambiance. Je vois Davon au loin, celui ci me sourit et s'approche. 

- Ce que s'est bon de te revoir ma beauté. 

- J'avouerais que tu m'as presque manqué. 

- Aller tais-toi et vient par ici. 

Je sens les gros bras de mon ami se resserrer au tours de ma petite taille, il m'a vraiment manqué mais je ne peut pas toujours être avec lui surtout avec toutes  les emmerdes que je me trimballe depuis 2ans. 

-J'espere que tu m'as inscrite correctement pour la course, j'ai vraiment besoin d'argent... 

-Oui ne t'inquiète pas, je t'ai donné le nom d'Arizona pour que personne ne fasse le lien entre ton visage et ton prénom, cependant fait attention car beaucoup de jeune sont présent ce soir ne grille pas ta couverture bêtement. Pour ce qui est de l'argent tu sais très bien que tu aurais pu me demander de l'aide. 

- Oui je sais mais il est hors de question que je te demande de t'impliquer là dedans encore plus quand je sais que tu peux risquer ta vie. 

-Arrête un peu Dark tu sais bien que je suis constamment en danger alors un peu plus ou un peu moins. 

- NON, regarde toi tu es sortis de tout ça tu fais ta petite vie avec Mary alors tu me laisse gérer mes problèmes toute seule. 

Le début de la course resonne, c'est dans un bruit sans pareil que nous nous dirigeons vers ma voiture, je prend une dernière clope. 

- Mouais aller petite sœur en piste, puis tu passes quand tu veux à la maison. Fait attention a toi. 

je rentre dans la voiture, embraille la  première, ma fenêtre ouverte je lui cris : 

- Hé Davon ! Je t'aime mon frère. 

Celui-ci me sourit une dernière fois puis je vais me positionner sur la ligne de départ. Vous ne devez pas réellement comprendre, Davon je le considère comme mon propre frère il m'a aider quand j'en avais besoin, il est à présent  le seul qu'il me reste et en qui j'ai confiance. malheureusement je ne le vois pas assez mais il sait que c'est pour le protéger. 

Une femme vraiment très vulgaire ce place entre toutes les voitures pour annoncer le début de la course, celle-ci après une danse encore plus vulgaire que sa tenue baisse le drapeaux. 

Mon pied reste coller fortement à l'accélérateur, les autres participants semble aussi déterminer que moi. Putain sa risque d'être plus compliqué que prévu. 

J'enchaine les virages et les voitures que je dépassent s'enchainent. J'arrives a remonter à la seconde place avec un peu de difficulté je l'avoue mais j'y arrive quand même. 

Le premier est une Lamborghini rouge magnifique je dois l'avouer mais il va falloir que je l'abime un petit peu si je veux remporter cette course. 

Je décide de commencer simplement je vais tout simplement coller la voiture de façon a lui cacher toute visibilité, la réaction du conducteur est immédiate celui ci tente d'accélerer encore mais malheureusement pour lui ma voiture en a plus sous le capot que ce que monsieur a l'aire de penser. 

J'accélère encore et encore jusqu'à arriver a la hauteur de sa fenêtre, celui ci la descend tandis que moi non je ne prendrais pas de risque ce soir il peut simplement distinguer les formes alors je lui ai fait un jolie doit d'honneur avant de le dépasser en envoyant la pleine puissance de ma voiture. Et oui mon petit pote ma voiture est le model juste au dessus du tien. 

c'est donc toute fière mais surtout en première position que je passe la ligne d'arriver.

 A moi les cinquante mille dollars.