PARCE QUE JE VOULAIS LE SAUVER tome 2

CHAPITRE 1. LA GARDE RAPPROCHEE

- Je viens avec vous ! Gronda Sirius.
- C 'est hors de question ! Répondit Molly Weasley.
- Mais pourquoi ?
- Parce que tu es encore mineur.
- Et Alors ?
- Alors tu ne vas nulle part. Tu attends  ici.
- Mais je veux aider. Je n' ai pas de marque, puisque je viens d'une autre époque.
- J'ai dis non.
- Mais je serais majeur dans trois mois.
- Justement, il sera bien temps, alors, de te mettre en danger. Mais pour l'instant, tu restes là.
- C'est vraiment injuste.
- Mon mari et mes fils vont escorter Harry au péril de leur vie. Et toi tu  parles, d'injustice parce que je refuse que tu risques ta vie. Tu vois Sirius c'est ça qui est injuste.

Il se tut, conscient qu'elle avait raison.
Il aimait bien  Molly, mais elle avait tendance à le couver comme s'il était son fils, et ça finissait par l'étouffer.

Elle le confinait à l'intérieur, parce que disait elle, depuis que Bellatrix savait qui il était, il était devenu une cible. Mais tout le monde, dans cette maison, était une cible.

Mais si Sirius insistait tant pour  participer à cette mission, c'est d'une part parce qu'il s'agissait d' evacuer Harry de chez les Dursley, sa famille moldue, car les protections mises en place par Dumby, lorsqu'il avait déposé le bébé de un an devant chez eux, Et celles que le sacrifice de  Evans avait laissé sur son fils, cesseraient dès qu'il aurait atteint la majorité, soit dix sept ans, le 30 juillet. Mais également parce que Hermione ferait parti de la garde rapprochée de Harry, et il avait peur pour elle.

- C'est idiot ragea t'il, je connais mieux qu'eux les sortilèges de magie  noire, je sais me  battre, je pourrais leur être utile.
- Tu as ton eu ton permis de transplanage ? Demanda Ginny.

Il soupira.
- Tu sais bien que non.
- Alors tu ne peux pas aller avec eux.
- C'est..
- Pas juste, je sais. Tu l'as déjà dit. Mais c'est comme ça. Tu crois pas, que moi aussi j'aimerais y être ? Tous mes frères, à l'exception de cet imbécile de Percy, y sera. Et moi je suis coincéé ici. Même Fleurk, est avec eux.

Sirius sourit. Il aimait bien Ginny, elle était futée cette gamine.

Ils assistèrent, frustrés et anxieux au départ des Weasley.
- Hermione. Appela Sirius. Surtout sois prudente.
- Je le serais. Je te le  promets.
- Je t'aime.
- Moi aussi.
Elle l'embrassa. Et à ce moment là, plus rien d'autre ne comptait.

Lorsqu'ils se détachèrent l'un de l'autre, ils croisèrent les regards surpris des uns et des autres. Hermione rougit et Sirius, leur adressa un sourire en coin.

Ron sortit brusquement, furieux.

Et l'interminable attente débuta.
Les aiguilles de l'étrange horloge de Molly, portaient toutes les  noms des membres de sa famille pointaient presque toutes sur en danger de mort.

Le temps passait lentement, et l'angoisse montait inexorablement.
Molly tricottait, ou faisait semblant ant, car ses yeux se tournaient fréquemment vers la pendule.

Ginny et Sirius avaient bien tenté de jouer à la bataille explosive, mais  ni l'un ni l'autre, ne parvenait à se concentrer suffisemment, aussi abandonnèrent ils très vite.
Sirius commença par faire les cent pas. Puis, il sortit fumer  une cigarette.

Cette fois, Molly le laissa faire. D'habitude, dès qu'il sortait, elle surgissait tout à coup et lui confisquait son paquet.
- Tu es beaucoup trop jeune pour t'empoisonner avec ça. Disait elle.
Elle l'avait surpris une fois, alors qu'il buvait une gorgée de sa flasque  de Whisky pur feu, elle lui avait aussitot arraché des mains

- Et puis quoi encore ? S'était elle écriée. De l'alcool, à ton âge ?
Il n''avait pas osé lui dire qu' elle n'était pas sa mère, et qu'il n'avait pas d'ordre à recevoir d'elle. Il s'était contenté de lever les yeux au ciel, et n'avait pas protesté.