XI ✨

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Me voilà sur son palier, je suis dégoutée de ce que Sab vient de me dire. Wallah on dirait que les mecs d'en bas il n'ont rien a faire de leurs vie. J'espère que ce n'est pas Ayoub qui a parler pour rien. Mouhim, je toque chez So. Sa mère vient m'ouvrir.

-Rhalté: Selem aleikoum benthi labess ?

-Moi: Aleikoum selem, oui sa va hamdoulillah et toi rhalté ?

-Rhalté: Al hamdoulillah, So il est pas encore revenu du restaurant

-Moi: Rhalté c'est le kebab.

-Rhalté: Hala va dans le sala, va boire li thé.

-Moi: Non ne t'embete pas Rhaltè, je vais boire de l'eau.

-Rhalté: Arrête d'harcheum, va t'asoire dipeche toi !

MDRRR l'accent de bledarde qu'elle ont nos darones c'est trop marrant, mouhim on se posse elle et moi dans le salon, on boit du thé, on mange du pain, du mesmen. Une trentaine de minute plus tard monsieur So revient du kebab.

-So: Wech tu es déjà là toi ?

-Moi: Selem monsieur !

-So: Lève toi gros cul, on va grail dans ma chambre.

-Moi: Rhalté à toute à l'heure.

-Rhalté: Ok benthi, pas les bêtises, et si se hmarle y t'embette tu me le dit.

-Moi: T'inquiète rhalté.

On se pose dans sa chambre, ont est mort de rire, comme d'habitude wallah, c'est abusé narhl'sheitane lorsqu'on est ensemble rien qu'on rigole, des vrais gamins. Mouhim je lui raconte tous ce que Sab ma dit toute à l'heure.

-So: Wallah si c'est Ayoub qui à parlé pour rien, je le tue.

-Moi: Ne t'inquiète pas je vais lui en parler.

-So: T'inquiète pas, moi aussi je vais faire mon enquête, il ta prit pour sa keh pour parler sur toi.

-Moi: Je ne pense pas que c'est lui.

On finit de manger, mais du coup l'ambiance n'est plus au rendez vous. Je suis tellement dégoutée d'Ayoub. Je suis obliger de lui envoyer un texto.

✉ -Moi: "WECH ON CE VOIT TOUJOURS? CAR IL FAUT QUE JE TE PARLE"

Pas de réponse, avec So on parle presque plus, du coup il est sur sa PlayStation et son portable, il ne me calcul plus, j'ai trop envie de me barrer, les mecs c'est trop une prise de tête.

-Moi: Vas y je bouge So, à plus incha allah.

-So: Tu vas ou ? vas y reste là.

-Moi: Je vais rentrer, j'ai envie d'aller dormir.

-So: Bah vas y à demain incha allah.

Je lui fais un bisous, sur sa joue, et je me casse. Enfin c'est vite dit, après vingt minute a négocié avec sa mere. Je sais pas pourquoi nos mères sont comme sa, elles veulent jamais que tu partes, reste, aller assis toi, attent 2 min, encore un thé ... Je sors de l'appartement je dévale les escalier. Les mecs d'en bas me regarde tous trop chelou. Putin tfouu, tous sa à cause de sa gueule. Tiens quand on parle du loup, il est assis avec eux, normal, avec sa bouteille d'alcool. Je le fixe, j'arrive même pas à le lâcher du regard, j'ai envie de lui arracher le visage, envie de lui faire payer tous le mal qu'il c'est amuser a raconter. Bref s'accélère le pas, quelques minutes plus tard, je me retrouve dans mon hall.

Un Thug Qui Va Périr Pour Elle. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant