Racisme.

Chapitre 37

✨ Hello everybody ! Avant de commencer ce chapitre je tiens à vous souhaiter un Joyeux Noël ( avec du retard mais on s'en fou ) et une bonne année ❤ . ENFIN bref de bonnes fêtes. J'espère que cette année à été bonnes pour vous, il est vrai que nous avons rencontré certains événements, personnes , situations tragiques et tristes mais cela ne doit pas nous empêcher d'avancer, au contraire , ça doit nous donner la pêche d'aller plus loin ! Enfin bref je prie pour que le Seigneur étende sa main sur chacun d'entre nous afin que nous puissions non seulement voir mais également vivre pleinement cette année 2019. Bisouuuuuuuus ✨.

Précédemment :

Il prend place sur une chaise en face de moi. Ses cheveux sont plaqués à cause de l'eau. Il porte une simple chemise et un pantalon mais je le trouve élégant. Comme si il avait enfilé un costume , son regard est neutre.

Tristan : Jeremi a raison Betty.

Pardon ?

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Moi : Qu..quoi ? Comment ça ?

Il souffle puis passe ses mains dans ses cheveux .

Tristan : On ne peut pas continuer à vivre ainsi , caché , comme si nous étions des criminels Betty.

Moi : Mais c'est ce que nous sommes. Des criminels. Ici une telle union est considérée comme un crime Tristan. Ton père risque de devenir fou , de me tuer et par la même occasion ma famille. De mon côté mon frère ne va jamais l'accepter. Il pourrait même me renier..et tu sais à quel point je tiens à lui.

Tristan : On a pas le choix.

Moi : Si !

Tristan : Non. Jeremi va revenir et crois moi il va se faire un plaisir de tout raconter. Dans ce cas vaux mieux que ça soit nous qui parlions avant.

Il n'a pas totalement tort..mais c'est trop tôt, je transpire déjà tellement cette situation me préoccupe. Comment vont ils réagir ? Mon frère que va-t-il faire ? Et les esclaves du domaine comment vont ils appr...

Je sens des bras m'envelopper . J'ai pas besoin de me retourner pour savoir qu'il s'agit de Tristan. Il passe sa tête dans mon cou et son souffle chaud frôle ma peau... Il y dépose un baiser ce qui, malgré moi , m'a fait frissonner.

Moi : Tristan..

Il me retourne de sorte que nous soyons face à face , ses magnifiques yeux scrutent chaque recoin de mon visage avant de s'attarder sur mes lèvres.

Nous restons ainsi un bon moment puis il brisa le silence.

Tristan : Betty , je sais que tu as peur et que tu dis que ce que nous nous apprêtons à faire est une grosse erreur. Mais je tiens à toi, ton absence durant ce week-end ma fait comprendre que je ne pouvais pas me passer de toi , c'est pourquoi je ne veux pas prendre de risque et parler à mon père.