Un héritier pour le pays ~Tome 1~

Chapitre 81 : Préparation

-C'est le quotidien des personnes qui sont connus, si non, pourquoi vous êtes vous énervée dans cet l'ascenseur ?

^*^

-Je n'aime pas la manière dont ils me parlent.

-Qui « ils » ?

-Le patron de l'hôtel, le personnel... tout ce qui vous parles de moi comme si j'étais une enfant et que je ne pouvais pas prendre mes décisions seule.

-Ce n'est pas le cas, c'est seulement comme ça que ça se fait depuis des siècles. Ce sont les codes.

-Et bah c'est nul et ça rabaisse les gens pour pas grand chose.

-Je vois. Je prend en compte votre ressentis, je vais voir si je peux changer les choses.

-Vous êtes le roi, bien sûr que vous pouvez changer les choses.

-Comme je viens de vous le dire ce sont des codes, qui sont encrez dans notre société même si je suis roi je ne peux pas changer les mentalités.

-Vous avez fait accepter la fermeture des frontières de l'Australie pendant cinq ans et vous ne pouvez pas faire passer une règle comme quoi il faut s'adresser à moi quand on a besoin de me parler ?

-Soyez prête pour vingt heure. Je vous ferais apporter votre tenue.

Il décide de changer de sujet.

-Bien je serai prête.

Il hoche la tête et sors de la chambre.

Quelque minutes plus tard on toque à la porte.

-Oui ?

La porte s'ouvre et le jeune homme de toute a l'heure apparaît.

-Je viens vous apportez ce paquet madame, c'est de la part du roi.

-Merci, posez le sur le lit s'il vous plaît.

-Bien madame.

Le jeune homme pose le paquet sur le dessus du lit et s'en va.

J'ouvre la boîte et découvre une robe courte à volant d'un léger rose pâle.

Je souris en m'imaginant la portée. J'espère que je ne ferais pas boudin dedans.

Lorsque l'horloge électronique affiche vingt heure quinze je commence à m'inquiéter. Est ce qu'il fallait que je descende ?

Mais pour aller où ?

Soudain un bruit sourd résonne dans la chambre.

On toque à la porte.

J'espère que c'est lui.

J'attrape la petite pochette qui était donné avec la robe.

J'ouvre la porte et découvre le roi habillé d'un éternel costume. Même si celui là semble plus chic que ceux de d'habitude.

Il me regarde de haut en bas.

-Je vois que vous êtes prête. C'est bien. Dépêchez vous nous sommes en retard.

Je ne serai pas dire pourquoi à ce moment précis je me mets à rouge, est ce que ce serait à cause de cette tenue.

-Quelque chose ne va pas ? Me demande-t-il.

Je lève les yeux quelque seconde vers lui, je ne décèle aucune moquerie dans sa voix ou dans ses expressions faciales.

-J'ai... j'ai peur de la robe ne me fasse ressemblé à un boudin humain.

Le roi fronce les sourcils avant de baisser les yeux sur la robe que je porte, pendant ces quelque secondes j'analyse son visage, il ne laisse rien paraître.

Il trouve que ça me grossis trop ?

-Non elle vous va parfaitement.

PDV d'Alexander

Arr les femmes... Elles sont toutes comme ça ou c'est moi qui n'ai pas de chances ?

Bon non, c'est pas trop vrai, Anna ne s'en occupais pas jusqu'à que je la charrie avec. Ça s'est de ma faute.

Comme sûrement tout ce qui lui ai arrivé de mauvais dans sa vie.

Anna... tu me manques.

-Non, je suis sûr que vous dites ça pour être gentil. Je ne veux pas que vous soyez gentil. Je veux que vous me dissiez la vérité.

Arrr... on va vraiment être en retard.

-Vous voyez, vous ne répondez rien. C'est que j'ai raison. Cette robe me rang grosse. On dirait que j'ai pris dix kilos en l'enfilant.

Ah non on va pas partir sur ce débat.

-Oui, vous avez raison. Maintenant venez, nous allons être vraiment en retard.

Je me retourne et avance, j'entends la porte claquée derrière moi mais pas de bruit de talons qui me suit. Je jette un coup d'œil derrière moi et ne vois personnes.

Qu'est ce qu'elle nous fait là ?

Corrigé le 08/12/2018