Un héritier pour le pays ~Tome 1~

Chapitre 62 : Décisions

-c'est toujours mieux que de voir quelqu'un qu'on aime dans cette état.

^*^

-Majesté ? L'interpellais-je.

L'homme se retourne vers moi et me fixe.

-Depuis quand êtes-vous là ?

-Depuis quelque minutes. Je ne voulais pas vous déranger...

-Qu'avez-vous entendu ?

-Rien majesté.

-Bien.

Un blanc s'installe avant qu'il ne reprenne.

-Avez vous réfléchis à ce que je vous ai proposer ?

-Je...

Non

-Pas vraiment...

-Comment ça pas vraiment ?

-Bah ma belle sœur est enceinte de six mois, j'ai du l'accompagnée pour les vêtements du bébé, étant la marraine j'étais obligée.

-Vous voulez me faire croire que votre belle sœur vous a monopolisé sept jours sur sept, vingt-quatre heure sur vingt-quatre depuis un mois ?

-...

-Je vais discuter avec votre frère. Quand je reviens je veux ma réponse. Est-ce clair ?

-Limpide.

PDV d'Alexander.

Je sors de la chambre d'Anna et me dirige vers le bureau du directeur.

Comme il y a un mois j'entre sans frapper.

L'homme est assis sur le canapé avec deux personnes en face de lui. Deux adolescents je dirais.

Les trois civils se retournent vers moi et se lèvent en me voyant.

-Majesté, heureux de vous voir. Puis-je vous proposez d'attendre le temps que je finisse avec ces pauvres enfants ?

-Bien sûr.

Intriguer par ce qu'il se passe je me mets à écouter et à regarder le bureau. Je m'approche d'une bibliothèque et fais semblant de m'intéresser au livre.

-Votre maman à besoins d'une greffe de poumon tout de suite. Si dans vingt-quatre heure elle n'en a pas nous ne pourrons plus rien faire.

Un sanglot se fait entendre, sûrement l'un des enfants.

-Je suis désolé mais il serait incroyable de trouvez une paire de poumon à cette heure, les délais sont trop juste.

La porte claque violemment, je me retrouve, l'adolescente n'est plus là.

-Excusez là, elle ne sait pas comment le gérer... C'est dur pour elle, elle est folle unique et personne ne la soutiens.

-Vous êtes là vous.

-J'essaye.

-Allez rejoindre votre petite amie, je suis sûr qu'elle a besoins de vous.

Le garçon quitte la pièce en nous saluant.

-Horrible histoire. Souffle le directeur.

-J'ai cru comprendre.

-Je peux vous aidez sire ?

-Oui, après mur réflexion j'ai décidé de donner l'ordre de débrancher Anna.  

Corrigé le 08/12/2018