❝royal❞ ━ jeon jungkook

qυαrαɴтe-eт-υɴ

n/a : ok les gars, préparez vous bien : ce chapitre est le dernier, avant l'épilogue qui sera publier à son tour dans la soirée avec les remerciements. je savais que j'avais dit qu'il en restait un de plus, mais j'ai changer la fin prévu au début... dans tout les cas, on ce retrouve au mot de fin de chapitre ! bonne lecture !

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R o y a l
( chapitre quarante-et-un ) - « le véritable bonheur »

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(mettez la musique!)

point de vue de jungkook

Depuis aussi loin que je m'en souvienne, ma vie a toujours était contrôlé. Mon père, mon grand-père, les domestiques, mes professeurs, mes frères... Ils ont toujours fait en sorte de me transformer en prince parfait, en héritier digne. Quelqu'un de froid, d'impassible, d'imperturbable, d'intransigeant, possédant un calme olympiens - ou presque - et qui fait passer les envies des autres avant les siennes et ceux seulement pour le bien du pays. Je ne leurs en veux pas, après tout, ils n'ont pas fait attention ; ils n'ont jamais compris qu'en me modélisant en leurs idéals, je perdais la personne que je suis - non : que j'aurais aimer être. Qu'est-ce qu'un rêve ? Une ambition ? Je n'ai jamais compris ces mots, peut-être car dès ma naissance on ma restreint dans la case « roi à venir » sans échappatoire. J'ai toujours était condamné à être à la tête du pays, sans n'avoir rien à redire. Mais je ne trouvais pas ça dérangeant ; je voulais être la fierté de ma mère. Peut-être que si, de là haut, elle me regardait diriger, elle et ma famille pourrait me pardonner d'être la source de leurs malheurs, leurs solitudes.

Je n'ai jamais vu autre sentiment que de la haine, de l'indifférence, de la colère, de la crainte ou bien du dédain, dans les yeux de mes proches. J'ai toujours eu l'impression d'être cette anomalie, celle qui les dégoûtait. Après tout, j'avais réduis les chances de Namjoon d'être un jour roi, celle de Taehyung de vivre avec la femme qu'il aime, de Yoongi de vivre un amour maternelle qu'il attendait sûrement le plus des trois, à mon père d'avoir une femme à ces côtés, de continuer à vivre son grand amour. Ma seule présence suffisait à anéantir à chacun ce qu'ils auraient aimer avoir le plus. Suis-je un monstre ? Je ne mérite pas le bonheur, je me suis toujours conformer à cette idée. Après tout, qui ça dérangeait ?

Puis, j'ai rencontrer Mimi. Est-ce que je l'aime ? Je ne pense plus. Je ne sais même pas si je les un jour, vraiment aimer. Mais je ne pourrais jamais nié le fait que oui, un jour, j'ai ressentie quelque chose pour elle : je ne saurais dire si c'est un amour profond, mais c'était plus qu'une simple affection pour elle. Ces yeux reflétait un éclat qui brillait dans ces orbes : de l'admiration, mélangée à un jolie sentiment ; de l'attirance. C'est sûrement ce qui m'a charmé, pourquoi j'ai voulu être à ces côtés. Car j'avais l'impression, d'être important pour quelqu'un. Cette idée me réconfortait, elle apaisait mes tourments.