Shiroi

CHAPITRE 1

Bonjour, je m'appelle Shirohara Shiroi mais vous pouvez m'appeler Io. À vous de voir. Cela fait longtemps que je suis dans un orphelinat, depuis mes huit ans. J'aurai seize ans demain. À première vue, je suis une personne froide, calculatrice. C'est ce que tout le monde dit. Ils disent aussi que je porte malheur, que je ressemble aussi à un fantôme. Pour ce qui est de porter malheur je ne sais pas et en ce qui me concerne comme étant un fantôme c'est vrai, ma peau est d'une pâleur extrême qui touche le blanc. Ne parlons pas de mes cheveux qui sont aussi blanc que la neige. Pour ce qui est de mes yeux...je ne peux rien dire pour l'instant. Il sont cacher par mes cheveux en fait, et sa fait longtemps que je me suis pas coiffer mais ne vous en faite pas je les brosse un fois par semaine et les lave tous les jours. Mais il n'y a pas que ça : mon intelligence sans limite dans le domaine des calcule, scientifique et dans celui de l'ingénierie. J'ai déjà eu affaire avec des grandes entreprises. 15 en tout mais j'ai arrêté l'année dernière pour me concentrer sur ce que je vais faire à l'avenir. Ce qui m'a mis encore plus a l'écart des autres. Je cuisine et mange seul. Tout le monde me voie comme un extraterrestre alors que je ne suis qu'un être humain comme eux. Sauf la directrice des lieux. Elle me voit tel que je suis et m'aime comme elle aime ses propres enfants. A cause de ça elle ma donner une chambre à par pour ne pas subir encore les brimade des autres à ma troisième année ici. Je n'ai personne à qui parler appart mes livres depuis un certains temps. Certes j'avais eu des amies mais elle sont parties sans plus me donner de nouvelle après avoir quittée l'orphelinat. Depuis je n' espères rien d'elle depuis le temps.

Je lève la tête et regarde le ciel. La lune est particulièrement belle ce soir. Bon maintenant au lit. Demain c'est journée d'adoption...et mon anniversaire aussi. Bonne nuit.

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Me voila encore une fois dans la grande salle à attendre qu'un famille viennent me voir mais rien. Personne...personne ne vient me voir. Remarquer, qui voudrait d'une fille comme moi. je ne ressemble à rien, mon visage est stérile, sans émotion, mes yeux encore moins. je suis comme sa depuis six ans , depuis que je me suis vraiment aperçut qu'on ne voulais pas de moi et que j'ai compris que je resterais toujours seule.

Alors que je suis entrain de me morfondre sur mon cas, quelqu'un s'approche de moi sans que je ne sache.

???: bonjour, excuser moi...etes-vous Shirohara Shiroi?

Moi:(voix sans émotion) c'est bien moi.Qu'y a-t-il?

???: Ah enfin....excusez-moi cela fait un certain temps que l'on vous cherche. Aujourd'hui je vous ai retrouver....enfin retrouver. Il m'a chargé de venir vous chercher. 

Je n'en crois pas mes oreilles. Quelqu'un a enfin penser à m'enlever de cet enfer. Ah! quel bonheur. Bien sur que je suis heureuse c'est juste que je ne le montre pas c'est tout. Qui ne le serai pas? La seule chose qui le montre n'est autre que mon cœur qui bat à 1000 kilomètres à l'heur.

Mais c'est bizarre qui écumerai les orphelinat pour me retrouver? Une personne de ma famille ou bien quelqu'un qui cherche la renommée? Non je ne pense pas. Mais en tout cas je suis super heureuse.

???: (étonné du manque de réaction) n'êtes vous pas heureuse?

Moi: (toujours d'une voie sans émotion) bien sur que je le suis. qui ne le serai pas ce n'est pas tous les jour qu'on apprend une nouvelle comme celle-là.

Le pauvre, il ne comprend rie. Normale qu'il ne comprenne rien : ma voie est comme mon visage. Aucune émotion ni chaleur même quand c'est un forte émotion comme maintenant. Elle est toujours plate. on ne sait jamais si je plaisante ou pas.

je suppose que c'est un majordome vue comment il est habillé.

???: (pas confiant) d'accord. Excusez moi encore, j'oubli tous mes bonne maniéré. Au fait je suis le majordome de monsieur qui vous a adopté, appelez moi Hans.

Moi: (voie plate) d'accord. Et quand partirai-je?

Hans: on viendra vous chercher la semaine prochaine. Plus précisément samedi prochain.

Moi: dans ce cas je vous dis au revoir.

Il fait de même et s'en vas.

L'intendante me regarde avec son habituel regard noir tous spécialement pour moi alors que la directrice semble sur le point de pleurer. L'intendante elle ne m'a jamais apprécier depuis mon arrivée. Pour la directrice c'est normal qu'elle pleure, elle a tant espéré que je trouve moi aussi ma place dans une famille qu'aujourd'hui son vœux s'exauce enfin. Elle sera triste parce que j'était la seule a discuter franchement avec elle et à aider ses enfants dans leurs scolarités.