Chapitre 28. ⚠ ✔️

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— Insulte-moi encore une fois et je t'assure qu'il y aura des conséquences.

— Tu me menaces de la même façon que lui. Chose qui change, c'est que Liam a demandé à quelqu'un d'autre de le faire.

Il sourit.

— Liam ne l'a pas fait car il est faible, mais je te garantis qu'il n'y aura pas une seule partie de plaisir d'avoir mon pieu dans tes parties intimes.

— Vous savez que la pédophilie est un crime puni par la loi ?

Il détourne le regard, comme agacé que je ne cède pas, puis il sourit et se lève en s'appuyant sur son genou. Avec ces deux mains, ils enlèvent les deux lames, mais ça fait encore plus mal que de les planter. Le sang coule encore plus. Il se tourne vers mon frère et jette les deux objets tâchés loin de lui. Il prend un chiffon et essuie ses mains sales.

— Bien. Je pense que je vais changer de technique.

Il me détache entièrement de la chaise ensanglantée. Me tire par le bras pour me lever. Je trébuche et une poigne de main, sous le regard de mon frère, me soulève et m'oblige à avancer. Il me sort de la pièce en me traînant comme un sac à patate, j'essaye de l'arrêter mais rien à faire.

Arrivés dans une pièce, il me jette au sol et referme la porte derrière lui. Il me saisie à nouveau le bras et me lève. Il me pose sur un lit et m'attache les mains. Puis les pieds. Et enfin mon âme dans cet enfer.

Un bruit de ceinture s'entend. Mon pou s'accélère, l'oxygène qui rentre dans mes poumons commencent à manquer. Je recule, le plus loin possible alors qu'il chope ma jambe et me rapproche le plus proche de lui.

Il me surplombe, m'allonge de force alors que j'essayais par tous les moyens de m'enfuir de sa prise. Ses doigts remontent mon ventre, effleurent ma poitrine. J'ai peur et j'essaye de me débattre.

Son souffle saccadé touche mon oreille et sa voix mielleuse susurre :

— Crois-moi Aurélie, tu ne risques pas d'oublier cet instant avant longtemps.

Son pouce effleurant le bas de ma poitrine et son petit doigt le haut de ma culotte. Mes yeux sont remplis de larmes. Une de ses mains tient les miennes au-dessus de mon crâne. J'espère toujours que Liam me vienne en aide, ou même Hugo, Leon, n'importe qui.

Il m'empoigne par les cheveux et m'oblige à mettre ma tête en arrière pour lui laisser la place sur ma nuque. Tout s'effondre. Je crie désespérément, hurle de toutes mes forces jusqu'à ne plus avoir de voix, pleure jusqu'à que son corps se dessèche.

— Chut, glisse-t-il à mon oreille, avant de la mordiller. Relax... On prend du bon temps...

Je le laisse retirer mon bas, avant qu'il ne vienne déposer ses lèvres brutales sur le sillon de ma poitrine. Je ferme les yeux et essaye d'oublier cette scène qui se produit. Je tente de penser à une personne que j'aime bien, que je suis sous le soleil.

Il a commencé à m'embrasser l'épaule, le cou, pendant qu'une même action se répète plusieurs fois. Ses doigts rentraient en et sortaient alors que je murmurai d'arrêter. Je voudrais pouvoir me réveiller. Le dire que tout cela n'était qu'un rêve. Seulement, comment faire lorsque l'on a perdu tout espoir ? Un vide se créé en moi. Rester entre la vie et la mort est la pire des choses. On ne ressent plus rien, mais on continue à vivre... Quelle pire façon de mourir...

Maladroit et brutal, il m'arrache des cris, mais il s'en fout. Il a commencé à bouger et je n'arrive pas à me dire que je ne suis pas là, je continue de le supplier encore et encore, alors que ça ne servait à rien. Il me retient sous lui. De force. Ses mains se baladent le long de son dos, puis descend un peu plus, venant agripper mes fesses, les serrant un peu plus entre ses doigts, s'enfonçant un peu plus loin, bien que je sois sèche comme un papier de verre. Mes cuisses tremblent, mes lèvres aussi. Il gémit et moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons.

PURSUED [terminée]Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora